Reference : END44AP670
ISBN : B09TBCN9PY
Générique Broché D'occasion bon état 01/01/1908 133 pages
Fenêtre sur l'Asie
M. Alexis Chevalier
49 rue Gay Lussac
75005 Paris
France
01 43 29 11 00
Par correspondance ou en librairie. Envoi possible par Mondial Relay (nous le signaler).
London, Institute of Romance Studies, 1996 fort in-8, LXXII-592 pp., tableaux dépliants, bradel toile rouge sous jaquette illustrée (reliure de l'éditeur). Envoi de E. Williamson.
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Paris, Calmann-Lévy, s.d. (1914) in-8, [3] ff. n. ch., IV-536 pp., percaline Bradel bleue, monogramme sur le premier plat (reliure de l'époque). Cachets et monogramme du Cercle de l'Union Artistique. Trace d'étiquette au dos.
Une des deux thèses de l'auteur. Second ouvrage de Henri Beyle, L'Histoire de la peinture en Italie (1817) figure parmi les titres oubliés de l'auteur, alors même que celui-ci lui accordait une grande importance à l'intérieur de son oeuvre. Spécialiste de Stendhal, Paul Arbelet (1874-1938) fait une autopsie d'un texte étrange, apparemment incohérent et mal composé, qui en éclaire le dessein et la fabrication. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
broché - 16 x 24 - pages 105 à 207 - 32 ème année - N°126 - revue trimestrielle 15 janvier 1990 - revue publiée avec le concours du centre national des lettres " BEAUREGARD" 3, montée Maurice GIGNOUX 38000 GRENOBLE.
Exemplaire conservé dans sa pleine reliure de l’époque signée de Doll, condition des plus rares. Paris, Delaunay et Pelicier, 1817. In-8 de 366 pp., (1) f. d’errata. Plein veau havane, filet noir encadrant les plats, dos lisse avec pièce de titre de maroquin olive, tranches marbrées, charnières légèrement frottées. Reliure de l’époque signée de Doll. 201 x 126 mm.
Édition originale, très rare. C'est dans cet ouvrage qu'apparaît pour la première fois, imprimé sur la page de titre, le pseudonyme "M. de Stendhal". Vicaire, I, 452; Fléty, p. 60. «Rare». Clouzot, 256. «Ouvrage rare et important». Carteret, II, 346. Fruit des divers voyages de l'auteur en Italie, ce livre est le premier ouvrage signé du nom de Stendhal, pseudonyme auquel il devait conférer tant d'éclat (Martineau).Pour la première fois, H. Beyle utilisait le pseudonyme à consonance germanique à l'abri duquel il pouvait, en « hussard de la liberté » multiplier les critiques sur les fâcheuses conséquences du Congrès de Vienne pour le destin de l'Italie (Stendhal et l'Europe, catalogue de l'exposition à la Bibliothèque nationale, 1983, n°162).La préface n'a pas été reproduite dans les éditions postérieures. «Œuvve que Stendhal publia en 1817 ; l’auteur, ‘officier de cavalerie’, ‘qui a cessé de se considérer comme Français depuis 1814’, y prend le pseudonyme sous lequel il devait devenir célèbre. Le récit s’attache à l’itinéraire fictif d’un voyage que l’auteur aurait fait en 1816 et 1817, de Milan à Bologne, Florence, Rome, Naples, et par la suite de Rome à Florence, Bologne, Ancône, Padoue, Venise et Milan. En réalité, Beyle vit Padoue et Venise en 1813 et en 1815… L’Italie de ce temps permettait au jeune auteur de croire qu’il allait au-devant du bonheur : le magnifique développement des arts, la légèreté et tout à la fois le caractère absolu des sentiments, haine ou amour, les habitudes d’une société galante et pleine de vie le rendent intensément attentif au présent et curieux de cette civilisation séculaire. Rome, Naples et Florence lui semblent être les trois villes de l’esprit, pour la liberté des entretiens, l’activité des peintres et des musiciens, et la beauté des femmes. En proie aux transports d’un hédonisme raffiné, Stendhal passe avec ravissement d’un lieu à un autre, des lacs lombards aux rives de l’Arno, et au Vésuve, ne celant point son dédain pour les ‘âmes sèches’ qui ne comprennent pas la beauté de la création artistique et l’agréable vie d’une société qui n’a de compte à rendre qu’à elle-même et qui aspire aux plus hautes destinées. Et c’est dans son éloge de Milan que le livre atteint à une parfaite originalité, sur le plan littéraire. Plus tard, Stendhal devait compléter ce brillant aperçu sur l’Italie au XIXe siècle par ses ‘Promenades dans Rome’ ». Dictionnaire des Œuvres, V, 823. Précieux exemplaire de cette rare édition originale de Stendhal conservé dans sa pleine reliure de l’époque signée de Doll, condition des plus rares. Provenance: Auguste Lambiotte (n° 96 de la 4e vente Lambiotte de décembre 1977).
, Diane de Selliers, 2002 hardcovers, 2 vols, Couverture originale de l'éditeur, 708 pages + notes, 26 x 8.2 x 34 cm, Texte en Francais, Illustrations en couleurs en noir & blanc nombreuses illustrations dans et hors texte. ISBN 9782903656270.
Stendhal est passionné par l'Italie qu'il découvre en 1800 lors des batailles napoléoniennes. Tout dans ce pays le séduit, l'émeut. « Mes voyages en Italie me rendent plus original, plus «moi-même». J'apprends à chercher le bonheur avec plus d'intelligence. » Cette Italie mythique, décrite par Stendhal, dans Rome, Naples et Florence et Promenades dans Rome au rythme de ses élans et de ses émotions, s'accompagne ici de 316 peintures romantiques de 123 peintres européens du début du XIXe siècle et de 45 chefs-d'oeuvre antérieurs, admirés par l'auteur.316 peintures du début du XIXe siècle entraînent le lecteur mot à mot et pas à pas dans Rome, Naples et Florence, mais aussi dans Milan, Bologne, Parme, Piacenza ou les lacs italiens. Ces Voyages en Italie ressuscitent la rencontre profondément romantique entre Stendhal et les 120 peintres européens, contemporains de l'auteur, présents dans l'ouvrage. Turner, Ingres, Corot, Caffi, Friedrich... nous font découvrir l'Italie à travers leur sensibilité d'artiste. Leurs oeuvres témoignent d'une grande diversité et d'une richesse picturale en étonnante symbiose avec les récits de voyage de Stendhal. 45 peintures antérieures au XIXe siècle aimées de Stendhal : celles de Michel-Ange, Raphaël, Corrège, Guido Reni, le Caravage... accompagnent également les Promenades dans Rome. Chaque image suggérée se retrouve en regard du texte à l'endroit précis où Stendhal en parle, renforçant ainsi la magie et la puissance de l'évocation.