‎Robert de Luppé‎
‎Écrits pour la ville‎

‎La Chine en construction n°11 21e année novembre 1983 - Ecrits choisis de Deng Xiaoping un guide pour connaitre la Chine d'aujourd'hui - un nouveau mouvement déclenché dans l'apl - Suzhou une ville jardin - la politique en matière de développement ...‎

‎La Chine en construction. 1983. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 72 pages agrafées - nombreuses illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

‎Sommaire : Ecrits choisis de Deng Xiaoping un guide pour connaitre la Chine d'aujourd'hui - un nouveau mouvement déclenché dans l'apl - Suzhou une ville jardin - la politique en matière de développement urbain - le développement des P. et T. en Chine - 1983 l'année mondiale des communications en Chine - les jeunes du village de Zhufang - le pays du thé Longjing - une préfecture jadis pauvre actuel grenier à grains - les populations des minorités nationales chinoises - les Jingpo - des cloches en série après deux mille ans de silence - un médecin chinois au Mali - des journalistes australiens visitent la campagne chinoise - le poulet en daube de Dezhou - l'essor des gymnastes chinois - un hôtel de style traditionnel. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

‎Marcel-Lenoir, peintre et fresquiste, ses écrits Paris, cahiers de la douce France, n°2, 1928, in 8°, broché, 108 pp., couverture défraîchie, intérieur bel état par ailleurs. Bien rare Marcel-Lenoir , pseudonyme de Jules Oury , né le 11 mai 1872 à Montauban et mort le 6 septembre 1931 à Montricoux , est un peintre , fresquiste , bijoutier , enlumineur , graveur et dessinateur français . Né dans une famille d'orfèvre, Marcel-Lenoir se rend à Paris en 1889. Il y fréquente l' École des arts décoratifs , et les cours du fresquiste Paul Baudoüin à l' École nationale supérieure des beaux-arts , puis découvre les artistes du Moyen Âge français et italiens au musée de Cluny puis au musée du Louvre . Passionné par le symbolisme , il fréquentera le poète Paul Fort et les milieux Rose-Croix , il découvre dans le même temps les ouvres du Suisse Arnold Böcklin , de l'Anglais Edward Burne-Jones et de Pierre Puvis de Chavannes . Il abandonne le symbolisme vers 1902-1903 pour une inspiration plus proche de la nature : la matière de ses ouvres devient plus empâtée, les teintes plus vives, la perspective se déforme progressivement, la couleur est posée en à-plat avec un effet d'étagement vertical de la composition, audaces formelles imaginées par les Nabis vingt ans auparavant. Puissant coloriste dont les effets de matière évoquent les Fauves notamment d'Europe centrale. En recherche perpétuelle de nouvelles solutions stylistiques, son ouvre est une recherche d'un âge d'or qui ne cesse de parcourir la peinture française depuis la fin du xix e siècle. Ayant atteint la notoriété de son vivant, il fait figure aujourd'hui de ces artistes délaissés, il est vrai que son attitude intransigeante et même provocante jusqu'à l'excès ne favorisera pas sa diffusion. Pratiquant dans sa vie personnelle l'austérité matérielle voire l'indigence avec sincérité, il ne cessa de railler les critiques et les institutions officielles 1 . Personnage excentrique promenant à Montparnasse une silhouette de Christ pour cabaret artistique, il fut d'une ambition au-dessus de ses forces et hanté de grandeur inaccessible 2 . En 1913, il s'installe à Bruniquel , louant une grange, monte une équipe de six maçons pour travailler à ses fresques de grandes dimensions. Il y réalise 27 fresques durant l'année 1916. Il change de technique et la composition de son mortier ce qui donnera à son travail une grande douceur dans les tons. En 1920, Marcel-Lenoir fonde « L'Institut d'Esthétique Contemporaine » dans son atelier du n o 115 de la rue Notre-Dame-des-Champs à Paris et y réalise l'année suivante une exposition. Il transfère cet atelier au n o 86 de la même rue en 1928. Il reçoit, en 1920, la commande du Couronnement de la Vierge pour l'Institut catholique de Toulouse. Il y incorpore une série de portraits des notables de la ville, ainsi que son propre portrait et ceux de sa femme et de son fils. Monseigneur Germain Breton y est représenté en prêtre, en tête de la procession. D'autres personnalités de Toulouse ou de ses connaissances comme Camille Soula , le comte Henri Bégouen , Henri de Lingua de Saint-Blanquat ou Jacques Adrien Crouzel , y figurent. Il meurt le 6 septembre 1931 et repose dans le cimetière de Pechcausen. Il était marié et père de famille. Le musée Marcel-Lenoir au château de Montricoux à Montricoux ( Tarn-et-Garonne ) conserve un important fonds de son ouvre. Merci wikipédia‎

‎"Dumaine, Louis, Victor, Abbé,? ?Tinchebray et sa Région au Bocage normand Paris, Honoré Champion, 1883-1887, 3 volumes, broché (couvertures en l'état, dos fendus, cahiers lâches),( la pagination du premier tome s'arrête à la page 362, il manque donc les feuillets de ce volume jusqu'à la page 538 pour qu'il soit complet), 428 & 570 pages, intérieur assez bien conservés néanmoins. ?Tome I, 1883, : jusqu'au Etats Généraux de 1789,Consacré à l'histoire de Tinchebray en tant qu'elle se rattache aux grands faits de l'histoire générale. On y trouve les développements et les détails divers concernant la châtellenie royale, la paroisse et le baillage qui avaient leur siège en ce lieu, planche de blasons en chromolithographie, sous serpente Tome II, 1887, : Sergenteries, Tabellionages, Aveux, Glossaire, Le second volume est surtout consacré aux sergenteries, aux tabellionages, aux aveux, à la bourgeoisie et aux villages. On y trouve un exposé de patois bas-normand avec un glossaire, planche de blasons en chromolithographie, sous serpente, Tome III, 1885, : Période révolutionnaire - Temps actuels, (1789 - 1884),Le troisième volume renferme la période révolutionnaire, le colonnes mobiles républicaines et la chouannerie bas-normande, sous la conduite du comte Louis de Frotté ayant eu une réelle importance dans la contrée, planche des drapeaux de la ville en chromolithographie , dont la grande vue de Tinchebray montée en tête, planches dépliantes : le baillage de Mortain, plan de la ville & quelques illustrations hors texte "" L'Abbé fit ses humanités à Sainte-Marie de Tinchebray et au Séminaire de Sées, il découvrit et alimenta son amour de l'archéologie et de l'histoire auprès de Léon de La Sicotière, dont on a dit que sa tête semblait pencher sous la charge de ses connaissances.Vicaire général et chanoine du diocèse de Sées, membre actif de la société archéologique et historique de l'Orne, ses rares moments de loisir lui permettent de rédiger et publier ses trois volumes sur Tinchebray. Ses livres sont pensés et écrits, après ses heures consacrées à l'administration diocésaine, dans son bureau au milieu de ses livres et de ses collections dans son hôtel louis XIV rue des Cordeliers. ""Bibliographie : La cathédrale de Sées, La sainte Épine de la cathédrale de Sées, La vie des champs, Le pater du laboureur et l'angélus, Mgr Louis d'Aquin, évêque de Sées"‎

‎LA NORME, LA VILLE, LA MER, Écrits de Nantes pour le doyen Yves Prats, Textes réunis par Jean-Claude Hélin, Alain Supiot et Yann Tanguy, Préface de Yann Tanguy‎

‎, Paris, Éd. de la Maison des Sciences de l’Homme 2000, in-8, br., portrait hors texte du récipiendaire, très bon état, 297p.‎