Reference : DWB19JR
ISBN : B003B42QM2
Bellenand 1952 in-8 Broché D'occasion état correct 01/01/1952 100 pages
Fenêtre sur l'Asie
M. Alexis Chevalier
49 rue Gay Lussac
75005 Paris
France
01 43 29 11 00
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Imprimerie nationale. 1951. In-4. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 307 pages - nombreuses planches en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 708-Galeries, musées, collections d'art
Sommaire : Buste du Musée du Louvre provenant de Carthage - les représentations figurées sur les stèles de Carthage - à propos d'une monnaie du Musée de Constantine - inscriptions juives de Carthage - épigraphie romaine - chapiteaux byzantins de Numidie actuellement au Musée de Carthage - Saint-Louis de Carthage 1830-1950. Classification Dewey : 708-Galeries, musées, collections d'art
1995 AFAA, Paris Musee, 1995. Format 24x30 cm, broche, couvertures a rabats, 319 pages. Catalogue de l'exposition au Musee du Petit Palais du 9 mars au2 juillet 1995. Etat neuf.
Au sommaire de l'ouvrage : Préambule - I La Carthage Punique : Didon et Enée, la fondation de Carthage - Splendeurs de Carthage - Des guerres puniques à la chute de Carthage. II La Carthage romaine : La Méditerranée avant la destruction de Carthage - La renaissance de Carthage - Saint Augustin.Ainsi qu'une belle bibliographie.
Payot, 1950, in-8°, 264 pp, 8 croquis et 10 photographies, biblio, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Bibliothèque historique). Peu courant
"(...) La Carthage romaine qui, après le siècle et demi de mort imposée par Scipion et maintenue par la volonté de Rome, fut intégrée dans l'Empire au même titre que d'autres grandes villes de province. Dès lors son histoire, mêlée à celle de l'Empire, nous est connue depuis longtemps, à la différence de celle de Carthage punique. Mais de multiples découvertes archéologiques sont venues compléter ou confirmer les faits connus par l'histoire et la coordination des deux sources d'éléments ont permis aux auteurs de faire oeuvre utile et même originale, spécialement en ce qui concerne la Carthage des IVe et Ve siècles de notre ère, dont les traces de destruction et de rétrécissement sont visibles dans le sol même. Après avoir traité de Carthage sous les Vandales, sous les Byzantins et enfin de la suppression de la ville par l'Islam, les auteurs abordent les problèmes ardus de Carthage chrétienne. Problèmes ardus, car si les trouvailles abondent, elles sont souvent en contradiction avec les textes. Mais les auteurs se sont astreints avant tout à l'étude historique des communautés chrétiennes. Déjà avant le IIe siècle, le christianisme semble s'être introduit à Carthage dans toutes les classes de la société et l'histoire de ces communautés nous est connue surtout par Tertullien. On sait la vie mouvementée de l'église d'Afrique qui, jusqu'au IVe siècle, connut les persécutions et les hérésies, mais c'était une gageure d'arriver à ramasser tous ces points, sans les simplifier trop. Voilà certes de la vulgarisation de qualité." (G. Faider-Feytmans, Latomus, 1952)
Marseille, Imprimerie Giraud et Richelme, 1909, in-8°, 80 pp, broché, couv. un peu effrangée, scotch au dos, discret C. de bibl., état correct, envoi a.s.
Saint Eugène, évêque de Carthage de 480 à 484, et de 487 à 495, fut persécuté sous les rois vandales Hunéric et Gunthamund, et mourut dans un monastère du Languedoc près d'Albi en 505. On l'honore le 13 juillet. Eugène est élu à l'unanimité évêque de Carthage en 480 pour succéder à Deogratias (mort en 457). L’élection épiscopale, reportée 23 ans en raison de l'opposition de Genséric, fut, à la fin, autorisée par le roi Hunéric à la requête de l'empereur Zénon et de Placidia, parents de sa femme Eudoxie. Sa bonne administration, sa charité, son style de vie austère et son courage lui ont valu l'admiration des ariens. Dans sa défense intransigeante de l'orthodoxie, il est imité par ses fidèles, dont beaucoup seront exilés avec lui, en 484. Début 484, le roi organise, à Carthage, une conférence entre théologiens ariens et évêques orthodoxes. La conférence, tourne court avec le départ du chef des évêques ariens sur le prétexte qu'il ne comprend pas le latin. Hunéric est furieux, il exile, quarante-six évêques en Corse et trois cent deux dans les déserts africains. Parmi ces derniers se trouve Eugène, qui, sous la garde d'un homme nommé Antonius, est déporté dans le désert de Tripoli. Au moment de partir, il écrit une lettre de consolation et d'exhortation aux fidèles de Carthage. Gunthamund, qui succède à Hunéric en 484, permet à Eugène de retourner à Carthage et de rouvrir les églises, en 487. Après huit années de paix, Eugène est arrêté et condamné à mort, en 495, mais la peine est commuée en exil à Vienne, près d'Albi, où règne l’arien Alaric. Eugène y construit un monastère sur le tombeau de Saint-Amaranthus, et mène une vie de pénitence jusqu'à sa mort le 13 juillet 505.
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