Reference : DLE11RT
ISBN : 9782373950045
Parigramme Broché D'occasion bon état 20/10/2016 200 pages
Fenêtre sur l'Asie
M. Alexis Chevalier
49 rue Gay Lussac
75005 Paris
France
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1946 Soft Cover Fine
IN 3-PARIS, CAPITALE DE LA PAIX, PAR AURELIEN PHILIPP-CONVERSATION SUR L'HISTOIRE, PAR PAUL VALERY-PARIS, CAPITALE DE LA JOAILLERIE, PAR LOUIS CHERONNET-PARIS, CAPITALE DE LA MODE, PAR ISABELLE DE BROGLIE-PARIS, CAPITALE DES PARFUMS, PAR JEAN LESSAY-PARIS, CAPITALE DE LA DANSE, PAR ANTOINE GOLEA-PARIS, CAPITALE DU MUSIC HALL, PAR PHILIPPE SOUPAULT-PARIS, CAPITALE DES LIVRES RARES, PAR PIERRE SCIZE-PARIS, CAPITALE DU THEATRE, PAR JACQUES HEBERTOT-PARIS, CAPITALE DES MARIONNETTES, PAR GHISLAIN LAFOLLYE-PARIS, CAPITALE DE LA GASTRONOMIE, PAR LEO LARGUIER-PARIS, CAPITALE DES FLANEURS, PAR ROGER GABERT-PARIS, CAPITALE DU CINEMA, PAR MYLE-PARIS, CAPITALE DE L'ANTIQUAIRE, PAR JOS DELARNOUX-PARIS, CAPITALE DE L'ART MODERNE, PAR LO DUCA-PARIS, CAPITALE DES GRANDS CRUS, PAR BERNARD SILVE-COUVERTURE LEGEREMENT FROTTEE EN 2 POINTS-(EM523)
France-Soir. 1970. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. légèrement pliée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 19 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc, dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire :Colombey, capitale de la France. Paris, capitale du monde, par André Plutard et Patrick Salomon - L'aviatrice Amelia Earhart disparue en 1937 est vivante, par A. de Segonzac - Un réflecteur laser français serait à bord de Luna 17, par Robert Clarke - etc Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Perrin, 2003, gr. in-8°, 638 pp, 16 pl. de gravures en noir et en couleurs hors texte, notes, biblio, reliure souple illustrée de l'éditeur, bon état
Entre 1814 et 1852, d'un Empire à l'autre, Paris fut un aimant pour les hommes et les idées. Là, les grands débats du temps entre révolution et royalisme, nationalisme et cosmopolitisme, capitalisme et socialisme, classicisme et romantisme, athéisme et catholicisme, se jouent sous les yeux de l'Europe. Paris est la capitale de la pensée européenne, autour de Rossini et Heine, le foyer de la création française, avec Berlioz ou Chateaubriand. Mais c'est aussi la capitale de la pensée politique avec ses cohortes de Polonais, Britanniques, Allemands, Italiens ou Espagnols : que l'on songe au retentissement de la révolution de 1830 qui inspire à Metternich le jugement célèbre : "Quand Paris éternue, c'est la France qui s'enrhume." Philip Mansel retrace avec un sens aigu du portrait et de la mise en scène le choc de la double rencontre en 1814-1815 avec les Européens ; il fait revivre le Paris des étrangers, celui des plaisirs et des hôtels du faubourg Saint-Germain, comme celui des taudis ouvriers. Il brosse la fresque des "Trois Glorieuses" et le décor de ce "paradis de la liberté" qui inspire les écrivains ou les artistes. C'est le Paris d'un âge d'or, disparu dans les décombres de la défaite et de la Commune en 1871, qui apparaît ainsi, par le rayonnement d'une ville capable de transformer les événements politiques et les destins individuels, à la fois en France et en Europe.
PARIS CAPITALE. 2022. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 98 + XVIII pages illustrées en couleurs.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Le Passage, 2013, in-12 rel. cartonnée, 443 p., illustrations, jaquette, très bon état.
Au XIXe siècle, Paris gagne ses galons de capitale mondiale des plaisirs. Lorettes, grisettes et courtisanes, conquérantes et victorieuses, règnent alors sur la Ville Lumière. Et derrière elles, une myriade de congrégations, aussi nombreuses que les petits noms secrets et affectueux susurrés par les amants à l’oreille de leurs maîtresses, se réclamant des États de la prostitution. S’il existe une typologie des femmes publiques aussi riche, la responsabilité en revient au premier chef aux journalistes, chroniqueurs, échotiers, illustrateurs et caricaturistes, écrivains oubliés ou à jamais illustres qui ont dénommé les filles qu’ils croisaient sur les trottoirs de la capitale, le long des boulevards ou dans les faubourgs, au théâtre, au bal ou à l’Opéra, dans les cafés, sur les Champs-Élysées et au sein de quelques salons. Mais si les catins parisiennes de l’époque ont eut le bonheur d’entrer dans l’histoire, cela tient d’abord à leur fortune littéraire. Les frères Goncourt, Baudelaire, Eugène Sue, Théophile Gautier, les Dumas, père et fils, Tristan Corbière, Huysmans, Zola, Balzac, Flaubert, Maupassant, Barbey d’Aurevilly ont tous témoigné, à des degrés divers, de leur intérêt vis-à-vis de ces dames, les dégageant des vils clichés auxquels elles étaient réduites et contribuant à changer le regard que la société leur portait jusque-là. Ces grands noms, le lecteur les connaît. Leurs ouvrages – Nana, La Dame aux camélias, Splendeurs et misères des courtisanes… –, il les a parfois lus à un âge et dans un cadre – scolaire et donc pudique – qui ne lui ont pas toujours permis de saisir qu’ils avaient tous pour sujet… les lorettes ! Voir le sommaire sur photos jointes.