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Zundel Maurice
Ouverture sur le vrai
Reference : CZB34SD
ISBN : 9782718904009
Desclée Broché D'occasion très bon état 12/09/1999 142 pages
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Fenêtre sur l'Asie
M. Alexis Chevalier
49 rue Gay Lussac
75005 Paris
France
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Chronique Musicale. [ Manuscrit autographe signé de 12 pp. in-8, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860 ] "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique."
Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique."
Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).
"La revue nationale de la Chasse n°588 - Sept. 96 - L'ouverture ! 136 pages d'émotions pures -Henri Fourdin, ""tailleux d'blettes in bos"" - Sur les traces du vrai Raboliot - Combien nous coûte la chasse - Du faisan nature - Pour sauver la perdrix grise - Le"
La revue nationale de la Chasse. 1996. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 136 pages - nombreuses photos en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 799.2-Chasse
"Sommaire : L'ouverture ! 136 pages d'émotions pures -Henri Fourdin, ""tailleux d'blettes in bos"" - Sur les traces du vrai Raboliot - Combien nous coûte la chasse - Du faisan nature - Pour sauver la perdrix grise - Les prédateurs peu connus du lapin - Le gibier à plumes - Avec Henry Koehler - Il ne faut pas vendre la peau du lièvre - de la plus sur le poil - Le marais Vernier sauvé par les chasseurs - La charge de la cartouche légère - Jouez le 16 - Field mode d'emploi - Le basset fauve de Bretagne.. Classification Dewey : 799.2-Chasse"
"Le vrai & le faux - essai d'ontologie topologique - Collection "" ouverture philosophique "" - dédicace de l'auteur."
L'Harmattan. 2002. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos plié, Intérieur frais. VI+347 pages - dédicace de l'auteur sur la page de faux titre (photo disponible) - petite étiquette collée sur le dos.. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
"Collection "" ouverture philosophique "". Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi"
Le Vrai guide du conducteur parisien. ou Le Plus nouveau, le plus complet et le meilleur indicateur des étrangers, des curieux et des promeneurs dans Paris ; précédé d'une esquisse historique sur Paris ; les églises, palais, édifices, musées, statues, établissemens publics, institutions, manufactures, hôpitaux, hospices, sociétés philanthropiques : les jours et heures d'audience des ministres, tribunaux, administrations ; heures d'ouverture des bureaux, d'entrée dans les monumens, les bibliothèques, musées, hôpitaux, séances académiques, spectacles, jardins, curiosités ; avec le prix des places aux différens théâtres : les formules de cérémonial, les places et prix des fiacres, cabriolets et omnibus, les départs des courriers et diligences : les adresses des principaux banquiers, agens de change, changeurs, avocats, libraires, cabinets de lecture, hôtels, restaurans, cafés, tailleurs, bijoutiers, chapeliers, cordonniers, coiffeurs, modistes, lingères, etc., etc. Orné de 22 planches représentant les monumens de Paris et un nouveau plan de cette capitale, suivi d'un dictionnaire topographique et descriptif des environs de Paris, et de la nomenclature alphabétique des barrières, boulevards, rues, quais, ponts, passages, marchés, etc. Nouvelle édition, comprenant tous les changemens nécessités par la révolution de juillet, et considérablement augmentée. Par MM. Richard et ***
Paris, chez l'auteur et éditeur, Haut-Coeur Martinet, Terry, et chez tous les libraires, 1832 in-16, VIII pp., 352 pp., 48 pp., typographie en petit corps, avec 22 planches hors texte, sans le plan de Paris qui manque généralement, demi-basane bouteille, dos lisse orné de dent-de-rat, guirlandes et urnes dorées, tranches citron (reliure de l'époque). Coins abîmés.
La première édition est de 1830. Une dernière sera publiée en 1833. L'attribution à Audin est de Quérard.Au CCF, exemplaires seulement à la BnF, Sainte-Geneviève et Strasbourg. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
DISQUE VINYLE 33T OUVERTURE, TOUS VEDETTES, J'APPRENDS LA VIE, LOVE IS GOING TO HAPPEN, C'eST PAS VRAI, EST-CE QUE T'AS VU CE QUE J'AI VU ?, LE L.A, L'AMOUR ET LE METIER, MAINTENANT J'AIME LA PLUIE, ON A RIEN OUBLIE, PARIS PARIS, TOUS VEDETTES/FINAL.
PHILIPS. non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, réalisation musicale: ROLAND HILDA. Bande originale du film de MICHEL LANG.. . . . Classification : 410-33 Tours
Disque n° 9101 281 Classification : 410-33 Tours
