Reference : BWF97SD
ISBN : 9782082115476
Flammarion Broché D'occasion bon état 10/11/1993 514 pages
Fenêtre sur l'Asie
M. Alexis Chevalier
49 rue Gay Lussac
75005 Paris
France
01 43 29 11 00
Par correspondance ou en librairie. Envoi possible par Mondial Relay (nous le signaler).
Paris, Imprimerie Impériale [Nationale] et Albin Michel, 1862-1964, in-4, 9 volumes, soit 6 vol. en maroquin vert de l'époque, dos à cinq faux nerfs et fleuronnés, dentelle d'encadrement sur les plats, têtes dorées, roulette sur les chasses [Kaufmann-Morglois] ; et 3 vol. brochés modernes, I. Traité élémentaire de chimie. Opuscules physiques et chimiques. 1864. Portrait, [4]-XI-728 pp, 16 pl. depl. ; II. Mémoires de chimie et de physique. 1862. [4]-828 pp, 8 pl. dont 1 depl. ; III. Mémoires et rapports sur divers sujets de chimie et de physique pures ou appliquées à l'histoire naturelle générale et à l'hygiène publiques. 1865. [4]-795 pp, 12 pl, dont 10 depl. ; IV. Id. Pièces relatives à l'histoire de l'Académie et au bureau de consultation des Arts et Métiers. 1868. [4]-775 pp, 4 pl. doubles ; V. Mémoires de géologie et de minéralogie. Notes et mémoires divers de chimie. Mémoires scientifiques et administratifs sur la production du salpêtre et sur la régie des poudres. 1892. [4]-III-749 pp, 12 pl. depl. ; VI. Rapports à l'Académie, notes et rapports divers. Économie politique, agriculture et finances, commission des poids et mesures. 1893. [4]-III-717 pp. ; VII. Correspondance. 3 volumes, Fascicule I (1763-1769), 1955 - Fascicule II (1770-1775), 1957 - Fascicule III (1775-1783), 1964 ; 758 pages en numérotation continue. Portrait, 54 planches gravées par Paulze et Lavoisier d'après E. Wormser, un tableau. Cette publication fut décidée par l'État dès 1861, à l'initiative de Dumas, le président de l'Académie des Sciences. Le second volume, qui regroupe essentiellement des mémoires de chimie et de physique publiés dans les Mémoires de l'Académie royale des sciences, parut avant le premier, qui contient les oeuvres majeures : le Traité élémentaire de chimie de 1789 et les Opuscules physiques et chimiques de 1774. Le troisième volume réunit divers mémoires et documents touchant à l'histoire naturelle ou l'hygiène publique de même que le quatrième, qui y ajoute des pièces touchant à l'Académie des sciences et au Bureau de consultation des Arts et Métiers. À sa mort en 1884, Dumas confia la suite de l'édition à Debray, qui s'épaula de Grimaux, le biographe de Lavoisier, pour publier les tomes 5 et 6. L'un porte sur la géologie, la chimie et les poudres et salpêtres, tandis que l'autre regroupe des rapports de l'Académie des sciences et des documents relatifs à des questions d'économie politique, d'agriculture ou de finances et à la Commission les poids et mesures. Splendide exemplaire des oeuvres du père de la chimie moderne, rare avec le 7e volume de correspondance : ce dernier est l'un des exemplaires hors série, imprimés en marge des 1500 exemplaires numérotés ; exemplaire nominatif du chimiste Charles Dufraisse (1885-1969) de l'Académie des sciences. Ex-libris manuscrit Dufraisse sur les titres des 6 premiers volumes. Bolton, p. 605, Duveen & Klisckstein n° 338 et 760. Couverture rigide
Bon 9 volumes
Paris, Carnevillier ainé, 1824, in-8, XII-368 pp. et 5 pl, Pleine basane de l'époque, dos lisse, tranches marbrées, Rare première édition en français, traduite de l'italien par C.M. Urano, avec quatre gravures d'après les dessins originaux dans la correspondance de Christophe Colomb, "l'homme immortel qui a reculé les limites du monde". Coiffes et coins un peu fatigués. Couverture rigide
Bon XII-368 pp. et 5 pl.
1920 1920-1924, 1949. 18 pages. Encre noire. CORRESPONDANCE AUTOGRAPHE SIGNÉE COMPOSÉE DE 11 LETTRES. - 7 lettres sont adressées à l'historien et bibliographe Louis-Raymond Lefèvre et traitent du travail d'écrivain de t'Sertevens, inspiration, écriture, publication - 4 sont adressées à un couple très proche de l'auteur, Joachim et Marcelle (Lefèvre ?). Deux longues missives datant de l'été 1924, traitent d'une virulente brouille au sujet d'une maison de vacances dans laquelle t'Serstevens avait fait d'importants travaux. La dernière lettre, écrite de Tahiti en 1949, montre un écrivain apaisé, très détaché du milieu littéraire et éprît de voyages. - Lettre autographe signée, Lerici, 15 juin 1920, 2 pages et demi, in 8 : "Votre lettre me fait cher confère le plus grand plaisir. Jaurais tort, nest-ce pas ? De dissimuler sous des phrases conventionnelles la joie que jéprouve à sentir que mon travail et mon désintéressement matériel mapportent tout de même une récompense morale et que je commence à avoir des amis inconnus. Mais ne me parlez pas trop didéal. Cest un point que nous atteignons que par hasard, à condition que nous ne le cherchions pas. Je me le suis souvent dit en étudiant, à Sienne, les uvres de Duccio, qui fut le plus Gand peintre de la Toscane : il fait des chefs duvre et des des médiocres avec la même inconscience. Certes, lorsquil a crée cette sublime descente de croix, dont je vous montrerai un jour la photographie, il ignorait absolument la valeur incomparable de son uvre et lui préférait peut-être son Hérode qui ne vaut rien. Nous navons, de plus, contre nous, nétant pas religieux ni moines, la vie âpre et tenace daujourdhui. Il nous faut quelquefois - en dehors de livre qui est notre rituel - écrire des choses que nous nécririons pet-être pas si nous nen tirions de quoi écrire dans la paix les pages que nous aimons. Cest mon cas du moins, étant pauvre et nayant que ma plume pour vivre. Il faut donc me pardonner quelques pages qui ne paraîtront jamais en volume ; jessaie de men tirer par le style, la bonne humeur et la méchanceté. Ce sont évidemment ces pages-là de ma main que le public préfère. Elles me coûtent malheureusement un temps considérable, jusquà 20 et 30 heures de travail, car je ne leur donne pas moins de soins quà celles que jaime et que jécris en toute piété. [] Un apostolat qui vient de paraitre dans la Revue de Paris, sortira, en volume, en septembre, chez Albin Michel. Je publierai le même moi, chez Camille Bloch, «Les Petites Trilogie» recueil de poèmes en prose qui ont paru à droite et à gauche. Jaurai grand plaisir à vous envoyer des deux volumes, avec le rappel de mon amitié. [] -Lettre autographe signée, Mercredi soir, une page et demi in-8 : Je suis rentré depuis quelques jours et me voilà déjà pris dans lengrenage littéraire. Je vous est fait ce matin la dédicace et lenvoi de Un Apostolat qui vous recevrez bientôt. Cest un livre sur lequel je compte beaucoup. Écrit de front avec Les Sept à partir de janvier 1913, il en diffère totalement par le style, le décor et la méthode. Cette antithèse- je nai pas besoin de vous le dire - est voulue, dautant plus quil sagit de deux livres écrits en même temps. Jespère montrer par là ce que peut la volonté portée dans des sens différents, à la même époque. Un Apostolat nest , au surplus, quune autre face du problème des Sept, lindividu contre la société. Mais ici cest la société qui triomphe, tandis que dans les Sept cest lindividu qui triomphait. [] -Lettre autographe signée, 8 novembre 1920, une page et demi in-4 : "Au milieu des articles certes toujours aimables mais pas toujours compréhensifs que ma valu «un Apostolat», je me palis à relire le vôtre, mon cher ami, et tout ce quil renferme de sympathique et debien vu. Car il ny a pasde plus grande voie pour un écrivain dont le faible est de philosopher un peu, que celle de se sentir compris comme mon livre lest pas vous. Votre conclusion surtout «Dans les Sept lindividu triomphait. Mais à côté de la société et non contre elle ! Marcel chante surtout « jai tuer mon amour de lhomme» , Pascal pourrait dire : LHomme à tuer mon amour pour lui. Voilà bien la différence morale des deux livres, et vous êtes mon cher ami, le premier à le voir. [] Jai été très ému aussi de ce que vous dites au commencement de votre belle étude. Nous nous retrouverons sur le terrain de la détresse, car cest évidemment de là que tout le livre est parti.[] -Lettre autographe signée, 1er Mars 1921, une page et demi in-8 : - Votre article ma été au coeur, mon cher oui , parce que vous êtes un vrai poète, avec la sensibilité et les moyens de lexprimer, et je suis heureux que mon petit livre ait été loccasion de très beau poèmes que vous nous donnez sous forme de critique. Certes, il ne sera jamais parlé de mes poèmes en prose avec lindispensable grâce que vous y avez mise ! Je dis indispensable parce que jaime mieux le silence quune forme différente de la votre. Singez aussi que presque personne nest capable de discerner la poésie de la prose française, et tout ce quelle renferme de musique délicieuse, en sorte que jamais instrument plus parfait ne fut donné à un artiste. Vraiment, jai aimé les minutes qui ont suivi laccomplissement de ces petits morceaux dont certains mont couté des semaines de travail (La Sirène à 47 pages de brouillon) et peut-être y a-t-il là plus de moi-même que dans tout ce que jai écrit dautre part.[] - Lettre autographe signée, Rovello 13 août 1921, deux pages in-8: Je suis très touché, mon cher ami, du bel article que vous mavez consacré à propos de mes soliloques. Cela va, vous pensez bien, au delà de la satisfaction damour propre, car le bien ou le mal que lon dit de moi ne change rien à la manière de penser que jai à mon propre sujet, et qui est une complète ataraxie. Je suis, en ce qui me concerne, plus pyrrhonien que Trouillogan lui-même. Cest ainsi, comme cous le dites si bien, que jai trouvé la paix. Mais je suis touché bien plus vivement pas votre amitié qui ne perd jamais une occasion de sexprimer, et par la générosité de votre esprit qui vous porte à savoir faire une étude sur un poème de 15 lignes aussi bien que sur un roman de 400 pages. Cela est beaucoup plus curieux que vous ne le pensez. [] - Lettre autographe signée, Bonassola - 16 mai 24, deux pages in-4: Pour Joachim,Mon cher Vieux, Comme nous ne voulions plus retourner à Lerici, parce que la terre est belle à découvrir, nous avons dû chercher misérablement. Je vous assure que trois ou quatre fois nous avons failli rentrer à Paris : nous ne trouvions jamais ce que nous cherchions. [] Eh bien, nous avons trouvé, ou pour mieux dire, Marcelle a trouvé, []. Cest un grand Palazzo dont nous occupons tout un étage. Tout autour sétend un jardin de citronniers chargés comme des lustres. Je pense que le paese na jamais vu un étranger. Nous avons la plus belle bonne qui soit au monde, une ragazza de dix-sept ans, fraîche comme un abricot et aussi blonde de chair : cest aussi Marcelle qui la trouvée. Mes yeux len remercient, car pour le reste, je nai pas lintention de gâter mon séjour en courant le jupon. Je me contente de regarder vivre ce bel animal coloré par le soleil, et dune grâce un peu lourde, et je vous assure que cest aussi délicieux que si je la caressais. -Lettre autographe signée, Paris 9 juillet 1924, deux pages et demi in-4 : Faits moi, mon cher Joachim, le crédit de penser que je nai adressé à Marcelle que la juste part des reproches que je métais proposé de lui faire, et que je vous en réservais un bonne partie. Ne vous ayant pas trouvé à Paris, je nai parlé de vous quincidemment, me proposant de vous prendre à partie quand vous rentreriez. Vous devancez cette entrevue. Je vous laisserai donc mémoire de ce que jai à vous dire à lun et à lautre.Il y a eu dans votre conduite à notre égard (aussi bien à légard de Marcelle Sch.) un ensemble de petits mensonges, réticences, dhypocrisies, dont je ne consentira jamais à maccommoder. Si vous aviez quelques reproche à me faire, il est de la plus simple amitié de men faire part : nous ne sommes pas parfait. Au lieu de cela, cest étonnant ce quil y a eu de lettres perdues, doccupation accablantes, de contre temps fâcheux, de retards postaux, de sais-je ! Toute la kyrielle de petits prétextes est rentrée en jeu. Enfin, il y a laffaire des Chaumettes, dont je vous rends responsables lun et lautre, par défaut de connaître le véritable.[] Tout cela me navre au tréfonds de moi-même. Cest misérable et petit bourgeois. Cela me ramène aux considérations dune misanthropie qui nest nullement maladive mais le résultat de quelques incursions dans le domaine saharien de lamitié. Puisque vous tenez tout à «compter pour quelque chose» prenez de ces reproches la part qui vous revient. - Lettre autographe signée, Paris 11 juillet 1924, un page in-4 : Je suis très heureux de vous avoir amené à baisser le masque et à me dévoiler la vieille rancune que vous aviez contre moi. []Cest un peu le sentiment que Rousseau devait avoir pour lErmitage. Vous ne lavez pas compris. Vous avez été pris de je ne sais quelle peur panique, comme si je voulais vous dépouiller de cette propriété : cest ce sentiment que jai le droit dappeler vil et petit bourgeois. [] - Lettre autographe signée, Tahiti, Février 1949, 2 pages in-4 : [] Jai terminé le 26 janvier le livre sur les îles qui à 900 pages-machine. Jy ai travaillé 9 mois et qqs courtes évasions aux Australes jusquà Rapa et aux atolls du centre des Tuamotu, ce dernier voyage en cotre. Toujours avec Amandine, bien entendu, car elle est une voyageuse parfaite. Il est bien amusant le destin de cette parisienne, née à Paris de toute une ascendance de Parisiens de Paris, qui navaient quasiment pas quittés la France (Baleares, Londres) et qui devient du premier coup globe-trotter, navigue sur des sabots, partout à cheval Moorea, les Marquises, vit familièrement avec les indigènes et va rendre visite au cannibales de Malicolo. Elle a bien de la chance davoir encore de nombreuses années à vivre pour se délecter dincomparables souvenirs. Il est evident que la rencontre du monde tropical et des races primitives modifient profondément nos manières denvisager lexistence. Cest une inimaginable révélation et un complément indispensable à la compréhension de lêtre humain. Il devient impossible de considérer comme essentielles toutes les choses qui, en Europe, occupent les esprits.[] Je ne crois pas rentrer à Paris allégresse. Je me suis terriblement détaché de tout ce qui mappartient, y compris des livres. Je rentre parce quil faut bien mais ce ne sera que pour préparer un nouveau voyage.[] Tse, dit Tetvini Toato papa parau, cela veut dire Homme qui écrit des mots, belle définition de lécrivain. Bel ensemble.
Signé par l'auteur
Paris, C. Reinwald, 1888, in-8, 2 vol, front, IX-701-[2] pp, 1 pl. + front, [4]-794 pp, 1 pl, 20 pp. de cat. éd, Toile verte moderne, Première édition française, rare. Au total, elle comprend 3 portraits de Charles Darwin, dont 2 en frontispice, le fac-similé d'une page de notes manuscrites et 1 figure dans le texte représentant le navire "le Beagle" échoué dans la rivière Santa-Cruz. Vie et correspondance de Charles Darwin (1809-1882) par son fils Francis (1845-1925). Francis Darwin, botaniste spécialisé en physiologie végétale, collabora avec son père à partir de 1875, notamment pour la rédaction de The Power of Movement in Plants (1880). Il enseigna à Cambridge à partir de 1884 et y occupa la chaire de botanique de 1888 à 1904. In fine: catalogue de la librairie Reinwald pour mars 1888. Ex-libris manuscrit sur le faux-titre du t. I. Auréole en pied des feuillets du tome II. Couverture rigide
Bon 2 vol., front., IX-701-[2]
Paris - Rangoon, 1900-1901, in-8, 9 LAS et notes, , Correspondance entre Jules Claine (1856-1939), consul de France à Rangoon en Birmanie, et les professeurs du Muséum d'histoire naturelle, dont le directeur Edmond Perrier (1844-1921). Elle concerne la récolte d'échantillons en Birmanie et contient des instructions pratiques transmises au diplomate pour opérer au prélèvement de spécimens d'animaux et de minéraux : les espèces à privilégier, la manière de les conserver, de les étiqueter et de les envoyer. Claine, ancien artiste et photographe, mena une carrière diplomatique brillante, en dépit de ses origines modestes. Il effectua de nombreux séjours à l'étranger, notamment au Mexique, avant de faire son exploration chez les Batak dans le nord de Sumatra. À partir de 1894, il accéda aux fonctions consulaires et tint ses postes à Madagascar, au Cap, en Argentine, en Birmanie, en Azerbaïdjan, en Russie, en Grèce puis en Finlande. Au cours de ses voyages, il assembla des collections à destination de plusieurs institutions françaises : Trocadéro, musée Guimet, Société d'Anthropologie de Paris, Muséum, etc. En 1936, il fit don de sa collection personnelle à la Ville d'Épernay. L'ensemble que nous présentons est précieux pour comprendre la mécanique d'enrichissement des collections du Muséum, en montrant les desiderata exprimés par les professeurs à la figure aventurière de Claine. ? Échanges entre Jules Claine et Edmond Perrier : - PERRIER, 28 février 1901 : LAS à Claine sur papier à en-tête du Muséum. 4 pages. Le directeur s'excuse auprès de Claine du retard de ses instructions, en raison d'un imbroglio concernant la nomination du diplomate. - PERRIER, 20 mars 1901 : LAS à Claine, sur papier à en-tête du Muséum (rédigée par un secrétaire). 1 page. "(...) j'ai l'honneur de vous transmettre les instructions que Messieurs les Professeurs du Muséum m'ont fait parvenir". - CLAINE, 26 mars 1901 : LAS envoyée depuis Rangoon, adressée à Edmond Perrier ("Monsieur et cher directeur"), en réponse à la lettre précédente [28 février]. 2 pages. Le consul exprime son "désappointement" face au retard des instructions reçue; "Ce contretemps est d'autant plus fâcheux que cet imbroglio me rend impossible toute excursion sérieuse en ce moment (...) C'est donc pour le mois d'octobre qu'il me faudrait pouvoir organiser mes voyages de chasses pour vous, en combinaison avec ceux touchant à mes fonctions consulaires". Évocation de l'appui qu'il souhaiterait obtenir pour la Légion d'honneur. - CLAINE, 21 octobre 1901 : LAS envoyée depuis Rangoon, adressée à Edmond Perrier, sur papier de remploi. 1 page. Claine évoque sa rémission à la suite d'une attaque de malaria; il repense à la mission évoquée dans son courrier précédent [26 mars 1901], auquel il n'a pas reçu de réponse. Il prie Perrier de "hâter autant que possible la décision de la Commission des Missions". Il attend la "pacotille" qui lui permettra de faire plus de récoltes et évoque l'envoi prochain de caisses. ? Instructions des professeurs du Muséum - Stanislas MEUNIER, 6 décembre 1900 : LAS à Edmond Perrier ("Monsieur le directeur"), sur papier à en-tête du Muséum d'histoire naturelle. 2 pages. Meunier fait la liste des instructions que Claine devra respecter pour la collecte et l'envoi d'échantillons géologiques. - Léon-Gaston SEURAT, 6 janvier 1901 : LAS sur papier à en-tête du Muséum. 4 pages. Les vers parasites "seront mis dans un bocal d'alcool, avec l'indication écrite au crayon de l'hôte"; les insectes gallicoles seront recueillis avec le rameau, "on fait sécher ces échantillons dans du sable, on met ensuite le rameau entre deux feuilles de papier"... - Auguste CHEVALIER, 7 janvier 1901 : LAS sur papier à en-tête du Muséum . 4 pages. "M. Chevalier recommande spécialement à Monsieur Claine la récolte des plantes offrant quelque intérêt économique"... - Ernest Couverture rigide
Bon 9 LAS et notes