Reference : BWD9RT
ISBN : B004T8O9SS
Editions Ode Relié D'occasion très bon état 01/01/1955 150 pages
Fenêtre sur l'Asie
M. Alexis Chevalier
49 rue Gay Lussac
75005 Paris
France
01 43 29 11 00
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[Belgrade], Institut Historique de l'Armée de la République Populaire de Yougoslavie, (Vers 1947-1950). 515 g In-8, reliure éditeur, 41 pp., cartes et tableaux dans le texte, et 5 grandes cartes dépliantes en couleurs.. Petites taches sur les plats. . (Catégories : Yougoslavie, )
P.Ivic N.Samardzic A.Yelen P.Maurer S.Despot
Reference : R100057964
(1992)
ISBN : 2825103551
L'age d'homme. 1992. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 135 pages.. . . . Classification Dewey : 949.7-Yougoslavie
Collection Yougoslavie questions et arguments. Classification Dewey : 949.7-Yougoslavie
Lausanne, L'Âge d'homme, 1994, in-8°, 175 pp, traduit du serbe, broché, couv. illustrée, bon état
Dobritsa Tchossitch, le Dostoïevski et le Tolstoï de notre temps (selon Geoges Haldas), aime à se définir comm le « biographe des destinées humaines en terre serbe au XXe siècle ». Son œuvre est la vive mémoire d'un peuple – le peuple serbe – que cinq décennies de communisme avaient privé de son histoire et de sa spiritualité. C'est donc sur la recommandation immense autorité intellectuelle et morale que Dobritsa Tchossitch fut élu, en juin 1992, président de la nouvelle Yougoslavie (Serbie et Monténégro). Il héritait d'un pays épuisé par le blocus, assailli de réfugiés et harcelé de l'extérieur par une campagne de calomnie jamais vue. C'est sous la menace permanente d'une agression internationale et dans un climat de profonds déchirements internes que cet homme paisible dut gouverner, tant bien que maI, l'Etat le plus haï au monde. Il n'en reste pas moins que, pendant l’année que dura sa présidence, la Yougoslavie fut dirigée par la plus éminente figure intellectuelle qu'on pût rencontrer à la tête d'un Etat. A la différence d'autres intellectuels-présidents, Tchossitch ne fut guère salué par ses collègues européens. Ni l'importance de son œuvre, ni son passé de grand dissident, ni la générosité de ses idées, ne suffirent à briser le boycott qu'on lui opposa. Privé de soutien extérieur, il fut destitué au bout d'une année par l'aile extrémiste du Parlement. Ce livre retrace l'épopée politique de Dobritsa Tchossitch. Depuis ses mises en garde précoces sur l'éclatement de la Yougoslavie titiste jusqu'à ses derniers discours, en temps de guerre, devant ses concitoyens ou devant le Parlenænt européen. On y trouve les réponses d'un esprit universel aux questions les plus douloureuses de la destinée yougoslave : le problème des sécessions, la question serbe hors de Serbie, le sort futur du Kosovo. On y découvre surtout le drame d'un homme imbu de justice et de raison à une époque qui ne reconnaît que le langage de la force et de la haine. — Dobritsa Tchossitch, né en 1921, participa à la lutte antifasciste de 1941 à 1945 puis occupa de hautes fonctions dans la Yougoslavie communiste. Devenu écrivain. il se distança de l'idéologie régnante et devint, dès 1968, le premier dissident du pays. Paru dans les années 70, “Le Temps de la Mort”, son roman épique sur la Première guerre mondiale, marqua le réveil de la conscience nationale serbe.
Publications de la fédération touristique de Yougoslavie. non daté. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 30 pages agrafées - nombreuses photos en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 949.7-Yougoslavie
Classification Dewey : 949.7-Yougoslavie
Hachette, 1956, in-8° carré, 128 pp, 62 pl. en noir et 8 pl. en couleurs hors texte, une carte, reliure éditeur, jaquette illustrée, bon état (Coll. Les Albums des Guides Bleus)
"Située aux confins des pays slaves, baignée au sud-ouest par une Adriatique longtemps dominée par les trirèmes romaines puis par les vaisseaux des puissants doges de Venise, avec, au sud, cette Macédoine encore tout imprégnée d'Islamisme, la Yougoslavie, petite par sa surface, grande par son histoire, a su amalgamer, dans le creuset ardent de ses champs de bataille, blonds Slovènes aux yeux bleus, Serbes intelligents et rétifs, géants monténégrins aux fortes moustaches, pêcheurs dalmates à la faconde méditerranéenne, placides bergers macédoniens vêtus des peaux de leurs moutons et jouant du pipeau à deux branches comme le dieu Pan, et même ces Musulmans de Titograd qui, le soir, abandonnant la cotte bleue pour les culottes bouffantes et le boléro soutaché, se rendent à l'appel rituel du muezzin. Visiter plusieurs pays en un seul, tel est l'avantage du tourisme en Yougoslavie. Franchissez quelques kilomètres, et, d'une république à l'autre, moeurs et coutumes changent comme par enchantement. Loin de nous cette Yougoslavie ? Non pas : elle est à deux jours de voiture de Paris, à un jour de Nice, à vingt heures de chemin de fer, à quelques heures d'avion..."