Reference : BDZ1GM
ISBN : B071W91LZB
Stock Broché D'occasion bon état 01/01/1949 150 pages
Fenêtre sur l'Asie
M. Alexis Chevalier
49 rue Gay Lussac
75005 Paris
France
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[CURIOSA]. OLIVIA (pseudonyme de Dorothy Bussy-Strachey). [MARTIN DU GARD Roger].
Reference : 3888
Editions Stock. 1949. In-8° broché. 188 pages. E.O. 1/600 sur vélin du Marais, seul grand papier.
Bon état.
Paris, Stock, 1951. In-12, broché, 188 pp.
Dorothy Bussy, née Dorothy Strachey,(1865-1960) est une romancière et traductrice britannique, proche du Bloomsbury Group. Elle était l'une des dix enfants du général Sir Richard Strachey et de son épouse, Lady Jane Marra Grant. L'écrivain Lytton Strachey et le psychanalyste James Strachey, premier traducteur de Freud en anglais, étaient ses frères cadets. " Ce roman, semi-autobiographique,se déroule dans un pensionnat de jeunes filles près de Fontainebleau. Il décrit la passion dunejeune pensionnnaire pour sa directrice Mlle Julie (qui doit beaucoup à Marie Souvestre directrice de la célèbre pension des Ruches à Fontainebleau),Gide à qui Dorothy Bussy avait montré Olivia de nombreuses années auparavant n'y avait guère prêté attention. Le relisant pendant que Roger Martin du Gard le traduisait, il fit son mea culpa : « Une manière de chef d'uvre ; j'étais ravi, et confus de ma cécité première. Que j'aime cette décence dans la hardiesse et réciproquement. »En 1949, Roger Martin du Gard traduit, conjointement avec son auteur Dorothy Bussy, l'unique roman de l'écrivaine, Olivia, chez Stock.Olivia est un film français de Jacqueline Audry sorti en 1951. Il s'agit de l'adaptation du seul roman de Dorothy Bussy, Olivia. Photos sur demande.
Paris, Stock, 1949. in 12, broché, non coupé. 188 pp., [1] f.
ÉDITION ORIGINALE. Tirage à 600 exemplaires numérotés sur alfama. L’édition originale parut à la Hogarth Press en 1949. Dans ce roman semi-autobiographique qui se déroule dans un pensionnat de jeunes filles, Bussy décrit la passion d’une jeune pensionnaire pour sa directrice Mlle Julie (qui doit beaucoup à Marie Souvestre directrice de la célèbre pension Les Ruches à Fontainebleau, où elle développait des méthodes pédagogiques novatrices). Son succès fut considérable. Dorothy Bussy mit quinze ans avant de publier ce livre devant le peu d’enthousiasme que manifesta son ami André Gide à sa lecture. Le relisant pendant que Roger Martin du Gard le traduisait, Gide fit son mea culpa : « Une manière de chef-d'œuvre ; j'étais ravi, et confus de ma cécité première. Que j'aime cette décence dans la hardiesse — et réciproquement. »