Reference : AFA5228
ISBN : 9782070216581
Gallimard Broché D'occasion bon état 28/11/1951 160 pages
Fenêtre sur l'Asie
M. Alexis Chevalier
49 rue Gay Lussac
75005 Paris
France
01 43 29 11 00
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Rochefort, Imprimerie d'Aug. de Labouisse, 1848, In-8, demi percaline verte, titre doré, 692 et 104 pp.( Acte d'accusation).
Bien complet des deux plans et de la lettre en fac-similé.Louis Bonafous (le Frère Léotade) fut accusé en 1847 du viol Cécile Combette, 15 ans , retrouvée morte dans le cimetière de Saint-Aubin.
P., se trouve à l'Art Catholique, 1918, In-12, br., cordelette, non paginé.
Edition originale tirée à 815 exemplaires numérotés, celui-ci sur vergé d'Arches.
Mémoires de Cécile, écrits par elle-même, revus par M. de la Place Guichard, Eléonore Cet ouvrage connut un grand succès à l'époque puisqu'il fut réimprimé plusieurs fois dans les années suivantes et ce pendant plus de vingt ans. C'est l'histoire véritable (sans doute quelque peu romancée et arrangée) de Mademoiselle Eléonore Guichard. "M. de La Place vient de nous donner un roman qui n'est pas de lui, mais d'une jeune dame morte depuis quelque temps. Il est intitulé Mémoires de Cécile écrits par elle-même. Cécile est exposée d'abord après sa naissance sur un grand chemin. Elle est recueillie par un chevalier de Malte qui lui donne une éducation parfaite. Ses talents, sa beauté et sa vertu la font aimer passionnément d'un neveu et d'un petit neveu du chevalier. Le neveu, homme sans politesse et sans mœurs, n'oublie rien pour la corrompre, et n'en peut venir à bout ; son fils est plus heureux, parce qu'il est plus digne de l'être. Le goût que Cécile a pour l'un et l'aversion très-active qu'elle se sent pour l'autre font le fond de ce roman. Il est bien heureusement dénoué par la connaissance qu'elle acquiert de sa naissance, qui se trouve très-illustre et la met dans le cas d'épouser son amant. Les Mémoires de Cécile sont agréables. "Ce livre aurait été bien réellement écrit par Mlle Éléonore Guichard, fille d'un receveur des tailles en Normandie, née en 1719, morte à l'âge de 28 ans à Paris en 1747, et publié par La Place, Paris, 1751 On lit dans une note que Mademoiselle Eléonore Guichard réunissait aux attraits de la figure, les grâces de l'esprit. C'est pour elle que Bernis composa la chanson qui commence par ces mots : Le connais-tu, ma chère Éléonore ? etc. Elle aurait écrit plusieurs chansons qui n'ont pas été imprimées Tome II, vol in.12, 180x120, relié pleine basane époque, accrocs, bon état int. traces de crayon de bois, frais, 204pp. Paris, Chez Rollin fils, 1751. Edition Originale ref/28
09/06/1893 La comédienne annonce ses débuts à l'Odéon. ...Je fais appel à votre indulgence car c'est le premier rôle sérieux du répertoire que j'aborde... Elle espère qu'il ne se montrera pas sévère, ...Henriette des Femmes Savantes est un rôle un peu fort pour mon âge et j'ose espérer Monsieur que votre appui ne me manquera pas...Cécile Daubray devint la collaboratrice de Paul Meurice puis de Gustave Simon et dut achever seule l'oeuvre des deux exécuteurs testamentaires du grand poète. En effet, Cécile Daubray travailla des dizaines années à mettre en ordre les manuscrits de Victor Hugo pour l'édition dite "de l'Imprimerie Nationale de 1904 à 1952 aux Éditions Ollendorff et Albin Michel. Ce fut la première édition critique, comprenant la correspondance de Victor Hugo (quatre tomes et un index) avec de nombreux textes inédits.