Reference : 40215VPPG
ISBN : 9782903702632
Librairie a. Ardant Broché D'occasion état correct 01/03/1993 302 pages
Fenêtre sur l'Asie
M. Alexis Chevalier
49 rue Gay Lussac
75005 Paris
France
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Bel exemplaire de ce rare recueil orné de 25 superbes planches en vifs coloris de l’époque, conservé dans sa reliure de l’époque en demi-chagrin rouge. Paris, chez Desève, artiste-éditeur et Deterville, libraire, de l’imprimerie de Crapelet, 1809. Grand in-folio de (2) ff. de faux-titre et titre, 2 pp. d’Avertissement, 8 pp., 7 pp. d’explication, 25 planches en couleurs accompagnées chacune de 1 ou 2 ff. de texte explicatif et protégées par des serpentes. Qq. discrètes piqûres. Relié en demi-chagrin rouge à coins, dos à nerf orné de filets dorés. Qq. frottements aux charnières et aux coins, manque à la coiffe supérieure. Reliure de l’époque. 546 x 356 mm.
Superbe et rare recueil présentant les tableaux peints par Rubens pour orner le palais du Luxembourg construit pour Marie de Medicis. Graesse, Trésor de livres rares, 12 ; Sander 747 ; Cohen, Guide de l’amateur de livres à gravures, 914 (pour l’édition de 1808) ; Brunet, IV, 1443. « C’est l’histoire allégorique de Marie de Médicis. Les originaux de Rubens, qui ont orné longtemps le Palais du Luxembourg, construit pour cette princesse, sont maintenant au Louvre » (Cohen). Un recueil similaire avait déjà paru en 1710 sous le titre : « La Galerie du Palais du Luxembourg, peinte par Rubens », mais le présent ouvrage, publié presque cent ans plus tard, est entièrement nouveau, avec des gravures différentes, accompagnées d’un texte explicatif. Les bibliographes mentionnent une édition de Paris, 1808 mais nous ne sommes parvenus à en localiser aucun exemplaire. On apprend dans l’Avertissement que : « La Galerie du Luxembourg, cette belle collection des tableaux de Rubens, avait déjà été reproduite par le burin. Mais depuis longtemps le recueil en était devenu rare dans le commerce. L’éditeur actuel s’est flatté qu’en reproduisant de nouveau [cette belle collection des tableaux de Rubens], sous une forme plus commode, accompagnée d’un texte historique et allégorique, elle serait bien reçue du Public. Il a pensé ainsi que Rubens ayant excellé dans le choix et l’éclat des couleurs, ce serait lui faire perdre plus qu’à un autre de se borner à rendre les traits et l’expression. Il a donc mis tous ses soins pour imiter, autant qu’il est possible, le charme du coloris de l’original ». La superbe illustration se compose d’un portrait de Rubens par Le Clerc gravé par Benoist et de 24 planches d’après les tableaux de Rubens gravées par Benoist, Duthé, Gauthier le jeune, Gabriel, Gouyon, Disart et Pierron. Elles représentent : un Portrait de Marie de Médicis en Minerve, un Portrait de François II, un Portrait de Jeanne d’Autriche, les Parques, la Naissance de la reine, l’Education de la reine, Henri IV qui délibère sur son futur mariage, le Mariage de Marie de Médicis avec Henri IV, le Débarquement de la reine à Marseille, la Ville de Lyon qui va au-devant de la reine, l’Accouchement de la reine, Henri IV qui part pour l’Allemagne, le Couronnement de la reine, l’Apothéose de Henri IV, le Gouvernement de la reine, le Voyage de la reine au pont de Cé, l’Echange des deux reines, la Félicité de la régence, la Majorité de Louis XIII, la Reine s’enfuit de Blois, la Reine prend le parti de la paix, Conclusion de la paix, la Paix confirmée dans le ciel, le Tems découvre la vérité. « Les figures existent en noir et imprimées en couleur. En noir, reliure, 350 francs ; en couleurs, reliure, 2 000 francs » (Sander). Précieux exemplaire du tirage de luxe, dont l’ensemble des planches ont été imprimées en couleurs et finement rehaussées à la main à l’époque. Le présent ouvrage étant l’un des premiers à comporter des planches imprimées en couleurs qui reproduisent fidèlement des tableaux d’un grand maitre, il occupe une place importante dans l’étude de l’histoire de l’art. Bel exemplaire de ce rare recueil orné de 25 superbes planches en vifs coloris de l’époque, conservé dans sa reliure de l’époque en demi-chagrin rouge.
Rare édition originale de cette Entrée royale issue de l’imprimerie plantinienne d’Anvers. Précieux exemplaire conservé dans sa première reliure en vélin souple de l’époque. Anvers, Imprimerie Plantinienne de Balthasar Moretus, 1632. In-folio de (1) f.bl., (5) ff. y compris 2 frontispices gravés, 74 pp. et 3 planches gravées à pleine page, (1) f., (1) f.bl. Qq. très légères piqûres sur les ff. prel., 1 planche rognée plus court. Relié en plein vélin souple de l’époque, traces de liens, dos lisse, non rogné. Reliure de l’époque. 311 x 218 mm.
Rare édition originale de ce superbe livre de fête illustrant l’entrée de Marie de Médicis dans les villes de Mons, Anvers et Bruxelles. Mennessier de la Lance, Essai de Bibliographie hippique, 453 ; Lipperheide 2661 ; Landwehr, Splendid Ceremonies, 84. Inconnu de Brunet. « Ce fut 6 mois après la Journée des dupes, le 18 juillet 1631, que Marie de Médicis, battue par Richelieu, s’échappa de Compiègne, et prit le chemin de la Hollande, dans le dessein de se retirer auprès de son gendre Charles Ier d’Angleterre. Elle ne devait plus revenir en France ; elle resta dans les Pays-Bas et en Hollande, d’où elle ne cessa de travailler contre Louis XIII et contre son ministre. » (Picot, Catalogue Rothschild, n°2281). La reine, accompagnée de l’archiduchesse Isabelle, demanda à visiter lors de son séjour la célèbre imprimerie de Plantin à Anvers. Balthasar Moretus, le petit-fils de Christophe Plantin, qui dirigeait alors la presse, avait préparé une petite plaquette de 4 pages pour commémorer la visite de la reine. Les pp. 60-63 du présent ouvrage reproduisent la très jolie brochure qu’il présenta alors à la reine. « Her visit to Plantin’s printing work is narrated on pp. 59-64.” (Landwehr) L’illustration, superbe, fortement inspirée de Rubens, se compose de deux frontispices et de 3 planches gravées à pleine page. « Ouvrage curieux et rare. Le 1er frontispice, gravé par Cornelius Galle, représente la Reine recevant dans ses bras l’Infante Isabelle-Claire-Eugénie, fille de Philippe II d’Espagne, habillée en religieuse. Elle avait adopté ce costume depuis la mort de son mari l’Archiduc Albert en 1621. Le 2e contient les portraits élégamment disposés de Marie de Médicis et de ses 5 enfants. Les 3 planches gravées par A. Paulus représentent les entrées de la Reine à Mons, à Bruxelles et à Anvers. Les 2 premières représentent des carrosses et des cortèges de cavaliers, le 3e est exclusivement maritime.» (Mennessier de la Lance). Superbe et rare livre de fêtes commandé par le roi Charles Ier d’Angleterre en l’honneur de sa belle-mère, Marie de Médicis, reine de France, qui s’exila aux Pays-Bas en novembre 1630. Très bel exemplaire, particulièrement grand de marges car non rogné, conservé dans sa première reliure en vélin souple de l’époque.
Editions originales de l’Entrée à Paris du roi Henri II et du sacre de Catherine de Médicis à Saint-Denis en l’année 1549. Paris, Jehan Dallier, 1549. Soit 2 ouvrages reliés en 1 volume in-4 de : I/ 41 ff. (mal numéroté 37) et (1) f.bl. entre les ff. 28 et 29, 9 gravures à pleine page dans le texte dont 1 dépliante et 2 gravures hors texte dont 1 dépliante, (1) f.bl. ; II/ 11 ff. Cachet de bibliothèque sur le f. de titre. Relié en plein maroquin rouge janséniste, dos à nerfs, double filet doré sur les coupes, large roulette intérieure dorée, tranches dorées sur marbrures. Reliure signée Cuzin.
Edition originale rare et précieuse du « plus beau livre d’Entrée des rois de France qui ait été publié » (Ruggieri, 245).Rahir Ventes, Partie 5, n°1345; Fairfax Murray, French, I, n°150 ; Harvard, French, n°202; Du Colombier, Jean Goujon (1949) p.67-71, planche LVI-LVII ; Vinet 471 ; Picot Rothschild IV, 3114.« Voici une véritable œuvre d’art. » (Vinet, n°470).Relations de l’entrée solennelle à Paris d’Henri II et de Catherine de Médicis en 1549, deux ans après l’avènement du roi qui succédait à son père François Ier, mort en 1547.Le premier ouvrage décrit la cérémonie de l’entrée, le second relate le sacre de la reine, six jours auparavant, à Saint-Denis. En marquant la liquidation de la succession de François Ier, l’événement revêtait une importance politique considérable.La ville de Paris lui donna une solennité particulière, n’épargnant aucun effort pour en souligner le caractère majestueux : les décors et les édifices furent dessinés et construits sous la direction des plus grands artistes, sans doute Jean Cousin, Jean Goujon et Philibert de l’Orme.La coutume des entrées solennelles des souverains dans une ville, et principalement dans une capitale, remonte à la plus haute Antiquité et s’est poursuivie pratiquement à toutes les époques. Sauf quelques exceptions, ce n’est qu’à partir de 1515, lors de l’entrée de Charles-Quint à Bruges, que celles-ci auraient donné lieu à des relations imprimées illustrées (von Arnim, Fünf Jahrhunderte Buchillustration, p.91).Ce beau et rare livre illustré conserve le souvenir des plus belles décorations architecturales du XVIe siècle et décrit la magnificence de cette entrée royale.Le texte, attribué à Hardouyn Chauveau par une inscription ancienne dans l’exemplaire Soleinne, serait dû, selon V.L. Saulnier (Les Fêtes de la Renaissance, I, pp. 31-59), au traducteur de Serlio, de Vitruve et de l’Hypnerotomachia Poliphili, l’écrivain Jean Martin, assisté, pour les inscriptions sur les monuments, du poète Thomas Sebillet.Les onze planches sur bois, hors et dans le texte, qui décorent l’ouvrage, en partie signées d’une croix de Lorraine, ont été attribuées aux plus grands artistes, par la perfection de leur gravure et l’élégance de leur dessin, exemples parfaits du style Henri II dans son expression parisienne la plus raffinée, elles passent pour l’un des chefs-d’œuvre de l’illustration française du XVIe siècle. La question reste évidemment ouverte de savoir si ces gravures traduisent les dessins ayant servi à élever les monuments de la réception ou si elles en restituent seulement l’aspect.« Au titre, belle marque de Roffet ; f.4, la Porte Saint-Denis ; f.5, la Fontaine du Ponceau ; f.9, l’Arc de triomphe de Saint-Jacques ; f.11, un rhinocéros portant un obélisque ; f.13, Portique du Chatelet ; f.15, Arc du pont Notre-Dame ; f.16, décoration du Pont Notre-Dame ; f.19, le Capitaine à cheval, figure remarquable considérée comme un chef-d’œuvre de la gravure sur bois ; entre les ff. 27 et 28, Arc de triomphe du Palais ; f.38, Arc triomphal en forme de H ; en hors-texte, la tribune des joutes. Cette illustration peut être attribuée avec certitude à Jean Goujon, mais la gravure décèle plusieurs mains. » (Brun, Le livre français illustré de la Renaissance, p. 179).La décoration de ces planches comporte à deux endroits au moins, au pont de Notre-Dame et à la construction flanquant le beautreillis, le monogramme de Diane de Poitiers ; son emblème, le croissant, qui pourrait passer pour un motif décoratif, figure à plusieurs autres endroits, mais sur ces deux constructions son chiffre s’étale complaisamment à côté, voire à la place, de celui du roi ; le texte mentionne les monogrammes au H du roi mais reste muet sur ceux de sa maîtresse, âgée de cinquante ans, qui figurait dans le cortège de la reine sous son nouveau titre de duchesse de Valentinois.La relation décrivant le sacre de la reine à Saint-Denis mentionne expressément la duchesse de Valentinois à qui fut offert, après la cérémonie, un cierge auquel estoyent attachés les dicts treize pieces d’or.L’influence stylistique de cette illustration soulève diverses interrogations : on remarque l’apparition, dans le décor de l’obélisque au rhinocéros, de hiéroglyphes français qu’on ne reverra que sept ans plus tard dans l’Orus Apollo ; on a également voulu voir dans l’ornement de la cuirasse du capitaine de la garde une des origines du motif des reliures dites « à la fanfare » (cf. A. Hobson, Reliures « à la fanfare », 6 et Michon, La Reliure française, p.78).L’ouvrage est orné de 11 gravures à pleine page attribuées à Geoffroy Tory par Fairfax Murray et à Jean Goujon par Brun (Le livre français illustré de la Renaissance, page 179-180). Les quatre dernières sont marquées de la croix de Lorraine mais Geoffroy Tory était mort en 1533. Bernard (G. Tory p.303) donne une excellente description de ces gravures sur bois et cite Renouvier qui attribue le dessin à Jean Cousin et considère ce livre comme « Le chef d’œuvre de la gravure sur bois française ».Au titre, belle marque de Roffet, surnommé le faucheur ; les croissants et le monogramme HD, présents sur la plupart des grandes figures font référence à Diane de Poitiers, la favorite d’Henri II.« Jacques Roffet, a imprimé en 1549 une pièce très précieuse intitulée : C’est l’ordre qui a été tenu a la nouvelle et joyeuse entree que... le roy tres chrestien Henry deuxiesme de ce nom a faicte en sa bonne ville et cité de Paris le seziesme iour de iuing M.D.XLIX. Les gravures ont été attribuées à Geoffroy Tory et le dessin est digne de lui ou plutôt de Jean Cousin » (A.F. Didot. Essai sur la gravure sur bois. Paris 1863, Colonne 168).Voici la liste de ces célèbres gravures sur bois :- Feuillet 4 : La Porte Saint Denis avec l’Hercule gaulois- Feuillet 5 : La Fontaine du Ponceau avec Jupiter- Feuillet 9 : l’Arc de Triomphe de Saint Jacques avec les armes royales- Feuillet 11 : un rhinocéros portant un obélisque dont l’extrémité est imprimée sur une partie repliée- Feuillet 13 : Portique du Chatelet- Feuillet 15 : Arc du Pont Notre Dame- Feuillet 16 : Très intéressante gravure présentant le Pont Notre Dame décoré et entièrement clos- Feuillet 19 : la célèbre figure du Capitaine à cheval considérée comme un chef-d’œuvre de la gravure sur bois.- Arc de Triomphe du Palais- Arc triomphal en forme de H - En Hors texte, la tribune des joutes.« Deux autres tirages furent donnés la même année, l’un à l’adresse de Jehan Dallier avec l’emblème de Roffet, l’autre portant l’adresse de J. Dallier et sa marque. »Notre exemplaire du tirage de Jehan Dallier porte bien l’emblème de Roffet sur le titre.Un exemplaire du tirage J. Dallier fut adjugé 115 000 FF (18 000 €) à la vente Harth du 20 novembre 1985 (n°64) il y a 30 ans.L’exemplaire James de Rothschild appartenait à ce tirage Jacques Dallier avec sa marque sur le titre.Les planches sont en beau tirage et intactes ; celle de l’obélisque est complète de sa partie supérieure.Bel exemplaire, complet, finement relié par Cuzin.De la bibliothèque du Tribunat, Paris, avec cachet sec ; de la collection Otto Schäfer (OS 617, Sotheby’s Londres, 27 juin 1995, n°55).
Couverture souple Somogy , 1999 , in4° broché , 223 pp . 151 reproductions . Edité à l' occasin de l' Exposition à Munich , Vienne et Blois en 1999 . Langue: Français
Philippus de Mantegatiis, Milan s.d. [après le 8 avril 1492] et s.d. [1493], ouvrage : 20,8x13,8cm et lettre : 22x30cm, (8f.) Sig : a8, relié.
Édition originale de l'oraison funèbre de Laurent de Médicis prononcée par Aurelio Bienato, évêque de Martorano (Catanzaro, Calabre), le 16 avril 1492 en l'église de Santa Maria la Nuova à Florence, huit jours après la mort du prince. Cette oraison est suivie d'un court poème de huit vers. Il s'agit de l'unique oraison funèbre de Laurent le Magnifique à avoir été imprimée. (John McManamon, Funeral oratory and the cultural ideals of Italian humanism, 1989) Reliure postérieure du XIXème siècle en plein maroquin rouge, dos lisse encadré d'un filet doré et serti de trois poinçons dorés, titre en long, plats encadrés d'un filet doré, large dentelle et doubles filets dorés en encadrement des contreplats. Plusieurs accolades et annotations manuscrites du temps. Ex-libris du Prince Piero Ginori Conti (1865-1939), homme d'affaire et politique italien, encollé sur le premier contreplat. Ex-libris et timbre à sec de la bibliothèque de Gianni de Marco. Prenant le contrepied des habituelles louanges laudatives, Aurelio Bienato présente Laurent le Magnifique comme un prince moderne, modèle de l'Europe, à la fois mécène des Arts et des Lettres et garant de la paix en Italie. Les visées de son texte sont avant tout politiques?: il y souligne et loue les récents liens diplomatiques établis entre Florence et Naples, qui permirent à Laurent de Médicis d'asseoir son pouvoir sur la cité florentine. L'ouvrage est accompagné d'une lettre autographe signée de Pierre II de Médicis, fils de Laurent le Magnifique, adressée à Dionigi Pucci, diplomate et lui-même ami du père de l'expéditeur. Vingt-huit lignes rédigées à l'encre d'une écriture fine et élancée. Adresse du destinataire au verso du second feuillet. Restes de cachet de cire. Rousseurs éparses. Dans cette lettre, Pierre l'Infortuné affirme son allégeance à Ferdinand II d'Aragon, roi de Naples. En réalité il avait déjà, au moment de la rédaction de cette missive, conclu un accord de neutralité avec CharlesVIII de France qui s'apprêtait à s'emparer par les armes du royaume de Naples qu'il considérait comme sien. Malgré ce pacte, Pierre II de Médicis sera néanmoins contraint de se rendre sans condition lorsque Charles VIII envahira Florence et devra s'exiler à Venise?: c'est le début de la première guerre d'Italie. En deux ans de règne, il aura ainsi mis à mal tout ce que la dynastie des Médicis avait bâti au siècle précédent. Rare réunion de documents témoignant de l'apogée et de l'aube de la décadence de la puissante dynastie des Médicis, famille la plus influente de la Renaissance italienne. - Photos sur www.Edition-originale.com -