‎Grandmougin J.‎
‎Et après‎

‎‎

Reference : 34351VPPG
ISBN : 9782710319849


‎La Table Ronde Broché D'occasion état correct 01/12/1961 260 pages ‎

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Fenêtre sur l'Asie
M. Alexis Chevalier
49 rue Gay Lussac
75005 Paris
France

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‎DEFOE, Daniel.‎

Reference : LCS-17930

‎La Vie et les Avantures de Robinson Crusoë. Ancienne traduction Revue et corrigée sur la belle Edition donnée par Stockdale en 1790, augmentée de la vie de l’Auteur, qui n’avait pas encore paru. Edition ornée de 19 Gravures d’après les Dessins Originaux. Entreprise par Charles Panckoucke, éditeur de l’Encyclopédie Méthodique. La plus belle édition des Aventures de Robinson Crusoë.‎

‎Précieux exemplaire sur grand papier orné en premier tirage de 15 estampes d’après Stothard et de la grande carte du voyage, truffé d’une suite supplémentaire de 14 gravures tirées de l’édition de 1720, conservé dans son étincelant maroquin cerise de Bozérian. Paris, Veuve Panckoucke, An 8 (1800). 3 volumes grand in-8 de : I/ (3) ff. dont 1 portrait de l’auteur, viii pp., cviii pp., 276 pp., 7 gravures hors-texte ; II/ (2) ff., 526 pp., 18 gravures ; III/ (2) ff., 340 pp., 4 gravures hors texte et 1 carte dépliante. Soit au total : 1 portrait, 15 gravures d’après Stothard, 14 gravures d’après Picart et 1 mappemonde repliée. Maroquin cerise à grain long, jeux de roulettes et de filets or autour des plats, dos lisses ornés de roulettes dorées formant faux-nerfs et de fers spéciaux alternés figurant des bateaux, filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée à la grecque, tranches dorées. Riches reliures de l’époque ornées de la signature en lettres d’or en pied du premier volume «Relié par Bozérian». 225 x 141 mm.‎


‎Premier tirage de la plus belle édition ancienne des Aventures de Robinson Crusoë. Les bibliographes soulignent la qualité de l’édition et la beauté de l’illustration. « L’édition est fort belle » (Cohen, Guide de l’amateur de livres illustrés du XVIIIe siècle). L’illustration comprend 3 titres gravés avec divers fleurons, un portrait de Daniel Defoe gravé par Delvaux et 15 jolies estampes gravées sur cuivre par Delvaux, Delignon et Dupréel d’après les dessins de Stothard et d’une mappemonde des deux hémisphères Oriental et Occidental montrant l’itinéraire du voyage de Robinson, gravée par P.F. Tardieu. La grande carte ne se trouve que rarement dans les exemplaires sur grand papier. Bien que le titre annonce 19 figures d’après Stothard, les exemplaires rencontrés n'en possèdent que 15 comme ici, numérotées de 1 à 15. Il a été truffé à l’époque d’une suite supplémentaire de 14 figures montées sur papier fort au format d’après B. Picart tirées de l’édition imprimée à Paris en 1720. Somptueux exemplaire, très frais et sans aucune rousseur, l’un des rares tirés sur grand papier vélin, de l’un des livres les plus célèbres de la littérature, magnifiquement relié par Bozérian en maroquin rouge aux dos ornés de fers spéciaux figurant des bateaux. Les fers spéciaux dorés aux dos des volumes, un voilier voguant vers un fortin et un trois-mâts, n’ont pas été répertoriés par Paul Culot dans Jean-Claude Bozérian, 1979. Il provient de la prestigieuse bibliothèque du Bourg de Bozas avec ex libris (juin 1990, n°32).‎

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EUR5,900.00 (€5,900.00 )

‎NERCIAT, Andréa de.‎

Reference : LCS-18595

‎Félicia ou mes Fredaines, Orné de Figures en taille-douce. Superbe édition du premier roman érotique d’André de Nerciat, ornée de 24 figures libres par Eluin d’après Borel.‎

‎L’illustration de la présente édition, superbe, se compose d’un frontispice en double-état et de 23 figures gravées par Elluin d’après Borel non signées. Londres, s.d. [Paris, Cazin, 1782]. 4 parties en 2 volumes in-16 de: I/ (2) ff., 1 frontispice grave en double-état, 159 pp., (2) ff., pp. 160 à 352, 13 planches hors-texte; II/ (2) ff., 204 pp., (2) ff., pp. 205 à 396, 10 planches hors-texte. Chagrin bordeaux, encadrements de triple filets dorés sur les plats avec fleurons d’angles, dos à nerfs ornés, filet or sur les coupes, roulette dorée intérieure, tranches dorées. Reliure du XIXe siècle. 124 x 80 mm.‎


‎Superbe édition illustrée de ce très important roman érotique d’André de Nerciat qui n’était autre que son premier livre, «l’une des plus charmantes productions du siècle» (Gay). B.N., Enfer, 442-445; Cohen 749; Galitzin 645: «Les 24 figures libres, gravées par Eluin, d’après Borel, sont très brillantes, voir sur ce charmant ouvrage érotique l’analyse chaleureuse qu’en a donné Monselet dans ses Galanteries du XVIIIe siècle»; Gay, II, 267; Pia 248; Sander 1428. La plupart des ouvrages que Nerciat a publiés sont écrits d’une façon très libre, on peut en juger par l’aveu suivant qu’il fait dans une de ses Préfaces: «L’intention de l’auteur, dit-il, est d’engager les femmes à n’être pas si timides et à trancher les difficultés; les maris à ne pas se scandaliser aisément et à savoir prendre leur parti; les jeunes gens à ne point faire ridiculement les céladons, et les ecclésiastiques à aimer les femmes malgré leur habit, et à s’arranger avec elles sans se compromettre dans l’esprit des honnêtes gens.» « Du chevalier André-Robert Andréa de Nerciat, aventurier cosmopolite et mondain, diplomate et agent secret, bibliothécaire comme Casanova et auteur fameux d'ouvrages pornographiques, on ne sait toujours, à quelques détails près, que ce qu'en disait Guillaume Apollinaire en 1911 dans son importante édition des ‘Œuvres’. Il est pourtant de ceux dont la carrière et les écrits mériteraient de plus amples investigations.» (Raymond Trousson, Romans libertins du XVIIIe siècle). Nerciat n'a pas cessé d'écrire pendant les années troublées de la Révolution, et ses romans, d'abord lestes, se font de plus en plus corsés. Le Diable au corps, qu'il disait composé en 1776, ne paraîtra qu'en 1803. Les aventures de Felicia passeront pour innocentes en regard des exploits d’une marquise et de sa coterie rapportés dans un roman dialogué riche en obscénités, jusqu'à la zoophilie. En 1792, Mon noviciat raconte les débuts de la libertine Lolotte et les expériences de sa mère et de leur servante Félicité. Tous les tabous – inceste, sodomie, saphisme – y sont allégrement bousculés, mais Nerciat, avec une prudence imposée par les circonstances, prétend donner à ses gravelures une portée politique. Il s'agit en effet de peindre « au naturel la dépravation de mœurs de ces vilains nobles [...] que nous avons si sagement chassés pour jamais de notre France ». Le propos sera patriotique et édifiant: « Je me suis donc déterminé civiquement à faire les frais de cette édition, trop heureux […] si la vue de tant d'images licencieuses, de nature à soulever le cœur de tout bon démocrate, peut envenimer encore la patriotique haine que nous devons, en francs nationaux, à ces vrais pourceaux d'Epicure.» La même année, Monrose est une suite de Félicia, où le héros, après quatre volumes d'aventures se marie et conclut : « Disons donc du libertinage, bien mieux encore que de la guerre : C'est une belle chose quand on en est revenu. » Nerciat, lui, n'en revenait pas puisqu'il publia encore, en 1793, Les Aphrodites, où il décrit, en scènes dialoguées, les pratiques d'une société secrète de débauche régentée par Mme Durut robuste ogresse, et l'insatiable comtesse de Mottenfeu qui a pris ses quatre mille neuf cent cinquante-neuf amants dans toutes les classes aussi bien que parmi ses parents et ses domestiques. Les noms seuls des personnages- Fièremotte, Confourbu, Cognefort ou Durengin - en disent assez sur les extravagances d'un libertinage qui prend des proportions épiques. Ici encore, Mme Durut encourage à une lecture antiaristocratique parfois contredite, il est vrai, par des sous-entendus ironiques. On ne sera pas surpris de voir Sabatier de Castres noter en 1797 que Nerciat est « l'auteur de quelques romans orduriers très mal écrits ». Pourtant, si Nerciat est un pornographe, il ne l'est pas à la manière de la Vénus dans le cloître ou du Portier des Chartreux. Chez lui, l'érotisme procède d'une philosophie de la vie, selon laquelle la satisfaction sexuelle est l'un des éléments essentiels du bonheur et de l'épanouissement de l'individu. Son univers ne connaît aucun prolongement métaphysique et ses personnages songent moins que jamais à l'au-delà ou aux récompenses futures. Pas de place non plus pour le sentiment, l'érotisme se bornant à la recherche effrénée de la jouissance et fondant une morale du plaisir. Seul compte le physique, appelé toujours à se surpasser, mais cet érotisme, complémentaire de celui de Sade, ne comporte jamais ni contrainte ni cruauté. Ses romans mêlent toutes les classes dans la seule égalité qui lui semble réelle, ce plaisir demeure celui d'une élite qui récuse la morale bourgeoise et les tabous du vulgaire. Par l'excès même de ses débordements joyeux, ce monde est une sorte d'utopie sexuelle, où hommes et femmes se rencontrent dans un parfait équilibre de l'offre et de la demande. Pour en montrer le fonctionnement, Nerciat a su aussi inventer une langue à lui, créer un nouveau langage du plaisir et faire preuve d'une étonnante invention verbale. Le jeune Stendhal qui lisait en même temps La Nouvelle Héloïse et aimait à se croire « à la fois un Saint-Preux et un Valmont » - s'enchanta de ces petits volumes de Nerciat dérobés dans la bibliothèque de son grand-père Gagnon : « Je deviens fou absolument ; la possession d'une maîtresse réelle, alors l'objet de tous mes vœux, ne m'eût pas plongé dans un tel torrent de volupté » Si Nerciat professe une philosophie, ses héroïnes l’incarnent : la libido est le moteur de tous les actes et rien ne doit lui être interdit. De là, impitoyable, la critique de la morale religieuse qui en interdit l'essor : scandale de « l'éducation superstitieuse » des couvents qui brime hypocritement la nature mais nourrit le vice et encourage l’homosexualité, haine du bigot Caffardot, du directeur de conscience Béatin, le « corrupteur spirituel », le « suborneur de pénitentes». La nature et le code social se contredisent : «J'ai satisfait hier un désir immense en me livrant au plus aimable des hommes : je viens de goûter des vrais plaisirs avec un autre qui n'est pas sans agréments. La nature a trouvé son compte à ce partage, que condamnent à la vérité les préjugés et le code rigoureux de la délicatesse sentimentale. Il y a donc nécessairement un vice dans la rédaction des lois peu naturelles dont ce code ridicule est composé». (Raymond Trousson, Romans libertins du XVIIIe siècle). L’illustration de la présente édition, superbe, se compose d’un frontispice en double-état et de 23 figures gravées par Elluin d’après Borel non signées. Précieux exemplaire conservé dans ses reliures uniformes en chagrin rouge du XIXe siècle finement décoré. ‎

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‎[ALSACE] - ANONYME‎

Reference : _201900513

(1878)

‎Insignia ciuitatis Argentoratensis.-Les Armes de la Ville de Strasbourg, XX planches, d'après les documents des diverses époques. ‎

‎Strasbourg, Chez J. Noiriel, Libraire, 1878 ; in-4 (258 x 340 mm), 8 pp. + 20 pl. hors-texte, chemise d'éditeur à rubans et doubles-feuilles et feuilles libres (dos de la chemise, en percaline rouge sombre, usé et déchiré. Exemplaire numéroté 14/100, achevé d'imprimer par les presses de R. Schultz & Cie (Succ. de Berger-Levrault) à Strasbourg, le 4 septembre 1878. Auteurs du recueil: trois amis (F. Reiher, Ch. Shreisguth, Paul Reiber). Liste des planches: I. - Dessin de Paul Reiber. II. - Armes tirées de la bannière de Strasbourg, représentée d'après un tableau du XIIIe siècle, tableau brûlé avec la Bibliothèque municipal, en 1870. III. Eau-forte de Paul Reiber, d'après une médaille commémorative de la fête de Gutenberg, en 1840. IV. - Frontispice de la plaquette «Germania, etc.», par Jac. Wimpfling. V. - Eau-forte de Fritz Arnold, d'après une gravure sur bois de Hans Weiditz. VI. - Frontispice du plus grand nombre des ordonnances de l'ancien magistrat de Strasbourg. VII. - Gravure de Franz Brunn, de 1560. VIII. - Frontispice d'une ordonnance municipale de 1565. IX. - Armes tirées d'un ancien vitrail, déposé à la Bibliothèque de Strasbourg, et brûlé avec cette dernière, en 1870. X. - Bois attribué à Jost Amann, et ornant le frontispice de la «Strassburger Kirchenordnung», de 1603. XI. - Frontispice de «Kurtzer Ausszug etlicher der Stadt Strassburg Freiheiten, etc.», de 1609. XII. - Même planche. Tirage en couleurs sur le bois original. XIII. - Dessin de Jacob von der Heyden. Frontispice d'une ordonnance du magistrat de Strasbourg, de 1612. XIV. - Gravure en taille-douce de Jacob von der Heyden (1625), tirée sur le cuivre original des archives de Strsbourg. XV. - Armes figurant sur le titre de la plaquette «Teutschland, etc.», par Wimpfling. XVI. - Centre du grand frontispice ornant plusieurs anciens documents municipaux. Gravure de F. Brentel (1586-1651). XVII.- Frontispice d'une ordonnance municipale de 1679. Pierre Aubry, graveur. XVIII. - Armes tirées de la carte gravée par Joh. Adam Seupel (1660-1714), pour la «Strassburgische Chronicke», de Jacques de Königshoven. XIX. - Armes tirées du titre de la «Localgeschichte der Stadt Strassburg», de Jean-André Silbermann, 1775. Jean-Martin Weiss, graveur. XX. - Eau-forte de Fritz Arnold, d'après une gravure du «Specimen artis chalcographicæ editum a Johanne Adamo Seibelio anno ætatis XV, 1677». Illustrations en noir et blanc et en couleurs.‎


Phone number : 06 87 32 55 92

EUR150.00 (€150.00 )

‎Roybet Ferdinand‎

Reference : 100075814

‎Trente reproductions d'après les oeuvres importantes (reproductions en très bon état‎

‎Éditions Georges Petit collection sans date d'édition vers 1860. 40x47. Sans date. reliure editeur. 72 pages. Fils du cafetier Louis Charles Florent Roybet et de Françoise Cotte installés à Lyon en 1846 Ferdinand Roybet étudie d'abord la gravure à l'École des beaux-arts de Lyon où il entreprend son apprentissage du métier de peintre en copiant les grands maîtres flamands et italiens dès ses premières années de formation. En 1863 après la mort de son père déjà marié avec Amélie Louise Rollion4 et père d'une petite fille il s'installe à Paris pour suivre l'enseignement de Jean-Georges Vibert dont il devient l'élève préféré. Ses premières années à Paris sont matériellement très difficiles. Il débute au Salon en 1865 avec deux œuvres intitulés Une musicienne et Intérieur de cuisine6. L'année suivante il connaît le succès en présentant son Fou sous Henri III vêtu de rouge et tenant deux dogues en laisse. Cette œuvre applaudie par la critique et acquise par la princesse Mathilde pour 5 000 francs sera le début d'une très longue série de figures historicistes anecdotiques en costumes : reîtres mousquetaires manants et gens de cours. Cette production abondante reflète le goût de sa clientèle pour ces sujets alors à la mode7. Un revenu de 25 000 francs annuels lui est assurée par contrat avec un marchand de tableaux[Lequel ?] moyennant la fourniture de trois toiles par mois. Après la fin du siège de Paris le peintre entreprend plusieurs voyages d'étude en Belgique et en Algérie8. L'ensemble des œuvres peintes à cette occasion lui est acheté[Par qui ?] pour la somme de 100 000 francs. La virtuosité se caractérisée par une touche rapide et précise. Fort de ses succès il s'installe dans un hôtel particulier et dépense sans compter pour collectionner des objets d'art haute époque. Ce train de vie dispendieux le conduit rapidement à de graves difficultés financières et à son expulsion par ses créanciers. Artiste reconnu il est nommé chevalier de la Légion d'honneur par décret du 19 juillet 1892 puis promu officier du même ordre par décret du 16 août 19009. Il compte parmi sa clientèle de nombreux amateurs célèbres et fortunés. Le milliardaire américain Cornelius Vanderbilt paie 100 000 francs ses Propos galants toile présentée au Salon de 1893 au palais de l'Industrie après une longue absence motivée semble-t-il par le désintérêt de l'artiste pour les salons d'art5. Doué d'un bon talent de portraitiste il peint de nombreux contemporains en costume d'époque7 et quelques autres dans un style plus contemporain comme le comte de Montesquiou Madame Raymond Poincaré le général Gallieni Mademoiselle Juana Romani. À la fin de sa vie il aborde des sujets religieux et notamment une série de 22 tableaux illustrant la Passion du Christ qui sera exposée après sa mort au Salon de 1921. Ferdinand Roybet meurt à Paris le 11 avril 1920. Depuis 1927 Roybet a son propre musée le musée Roybet Fould créé par Consuelo Fould peintre et petite-fille du ministre des finances de Napoléon III. Installé à Courbevoie ce musée conserve une collection d'œuvres de Roybet léguée par la fondatrice Bon Etat vu son age intérieur très propre sans rousseurs couverture frottée sur ses bords‎


Livres-sur-sorgue - Isle-sur-la-sorgue

Phone number : 04 90 26 49 32

EUR500.00 (€500.00 )

‎BROUTTA [Jules]:‎

Reference : 17396

(1870)

‎Ruines de Strasbourg dessinées d'après nature pendant le siège de Strasbourg.‎

‎Genève, Braun & Cie, [1870]. In-folio de 13 planches reliées en percaline marron façon croco. ‎


‎Bien complet des 13 lithographies de J. Broutta imprimées par J. Crettez, soit 1 titre en noir avec vue allégorique et 12 en deux tons représentant La Cathédrale, l'incendie dans la nuit de 23 au 24 Août 1870, La Porte de Pierre (centre de l'attaque ennemie), Le Temple Neuf, vue intérieure après le bombardement du 23 Août 1870, La Porte de Saverne, La Bibliothèque et les maisons environnantes, le lendemain du bombardement du 23 Août 1870 - La Porte Blanche et le Moulin militaire, Le Théâtre après l'incendie du 17 Septembre 1870, La Porte des Pêcheurs, L'Hôtel de la Préfecture, La Rue du Faubourg National, Quai des Pêcheurs, maisons effondrées par les bombes en Septembre 1870, L'église Ste Aurelle et la maison d'école. Edition originale plutôt rare. Reliure fin 19 ème siècle. Du vendredi 18 au mercredi 23 l'activité du libraire sera au ralentie quant aux interactions sur internet. La librairie sera fermée vendredi 18 et lundi 21 avril.‎

Phone number : +4122 310 20 50

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