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Rey Abel
La Science Dans L'antiquite Iv. L'apogee De La Science Technique Grecque Les Sciences De La Nature Et De L'homme Les Mathematiques D'hippocrate A Platon
Reference : 18473VPAA
ISBN : B003MS2GTA
Albin Michel Broché D'occasion état correct 01/01/1946 150 pages
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Fenêtre sur l'Asie
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LA SCIENCE DANS L'ANTIQUITE, IV. L'APOGEE DE LA SCIENCE TECHNIQUE GRECQUE, LES SCIENCES DE LA NATURE ET DE L'HOMME, LES MATHEMATIQUES D'HIPPOCRATE A PLATON
Albin Michel. 1946. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Mouillures. 313 pages.. . . . Classification Dewey : 930-Histoire générale du monde ancien jusqu'à 499 apr. J.-C.
'Bibliothèque de synthèse historique', 'L'Evolution de l'humanité', dir. par Henri Berr. Classification Dewey : 930-Histoire générale du monde ancien jusqu'à 499 apr. J.-C.
L'Apogée de la science technique grecque : les sciences de la nature et de l'homme, les mathématiques d'Hippocrate à Platon. La Science dans l'Antiquité, IV.
Albin Michel, 1946, in-8°, xviii-313 pp, biblio, index, broché, bon état (Coll. L'Evolution de l'humanité)
Comme tous les domaines scientifiques, celui de l'histoire des sciences est abordé dans deux formes d'esprit bien différentes, selon la personnalité de chacun. Les uns s'appliquent surtout à l'étude analytique des faits, tandis que les autres exposent en de vastes synthèses les idées directrices qu'ils estiment présider à l'évolution de ces faits. Abel Rey fut incontestablement un des esprits les plus brillants de cette dernière catégorie. Pour lui (p. 4) : « II n'y a d'histoire que philosophique : le reste est catalogue et non travail de recherche. De même qu'il n'y a de science que philosophique, le reste étant artisanerie. A double titre donc, l'histoire des sciences ne peut être que philosophique. Ou bien elle n'est pas ». L'affirmation est claire. Mais on peut être sûr qu'il ne méconnaissait pas les efforts de ceux dont les travaux lui permettaient précisément sa synthèse, pas plus qu'on ne peut nier la qualité et la profondeur de celle-ci. (...) L'œuvre d'A. Rey nous met en présence d'un véritable travail de synthèse. On peut lui reprocher l'une ou l'autre inexactitude en des questions de détail, mais il est impossible de nier l'intérêt de l'ensemble. (Maurice Michaux, Revue belge de philologie et d'histoire, 1949)
