Couverture souple. Broché. 223 pages. Papier légèrement bruni.
Reference : 61971
Livre. Editions des Remparts (Collection : Mirabelle), 1956.
Librairie et Cætera
Mme Sophie ROSIERE
+33 (0) 5 56 88 08 45
Envoi par la Poste à réception du paiement. PAIEMENT : Virement, chèque ou CB (immédiat et sécurisé avec Stripe) EXPEDITION : du mardi au samedi en courrier ordinaire ou suivi, sous étuis recyclables et/ou réutilisés. Les livres sont nettoyés, réparés si besoin, et couverts de papier cristal. FRAIS D'EXPEDITION : Pour un livre standard (moins de 500g): FRANCE : de 4,50 à 6,70€ en courrier suivi. Vers l'étranger, les frais de port indiqués sont en courrier ordinaire SANS SUIVI. Envoi suivi sur demande. EUROPE : 1 à 1,50€ au tarif économique livres et brochures AUTRES PAYS : 2 à 3€ au tarif économique livres et brochures. Tous les tarifs postaux sont consultables ici : http://www.librairie-et-caetera.fr/2021/01/tarifs-postaux-2021.html RETOUR : Conformément à la législation sur la vente à distance, vous disposez d'un droit de retour des ouvrages pendant 14 jours. Les frais de port restent à votre charge lorsqu'il s'agit d'une erreur de commande de votre part et à notre charge si le livre n'est pas conforme à notre description.
Editions des Remparts. 1956. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 223 pages, premier plat de jaquette illustré par Carrière. Jaquette défraîchie.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 843-Littérature populaire
Un exemplaire sans jaquette. Collection Mirabelle N°45. Classification Dewey : 843-Littérature populaire
Les Remparts / mirabelle 1956 223 pages in12. 1956. broché. 223 pages.
texte jauni pages légèrement cornées sans jaquette
avallon impr. de Herlobig 1840 in-8 broché une plaquette, brochée jaune in-octavo (yellow paperback in-8 ) (21,3 x 13,7 cm), dos muet, couverture orné d'un encadrement ornemental en noir, 1ère de couverture titrée en noir, toutes tranches lisses, sans illustrations (no illustration), 16 pages, sans date (1840) Avallon : impr. de Herlobig Editeur,
Edition Originale......Claude Marie Raudot est un homme politique français né le 24 décembre 1801 à Saulieu (Côte-d'Or) et décédé le 22 avril 1879 à Pontaubert (Yonne)..Évoquer la bataille du rail dans sa version locale, c'est rendre hommage à l'obstination d'un homme : Claude-Marie Raudot (1801-1879), député et conseiller général d'Avallon. Le représentant de l'union des droites a en effet oeuvré pour que la sous-préfecture ne soit pas oubliée dans le vaste chantier de la voie de chemin de fer entre Paris et Lyon. Mais c'est aussi se souvenir du lent aboutissement d'un dossier qui, à l'époque, a connu presque autant de versions que d'ingénieurs chargés de l'étudier. En 1838, Hyacinthe Bruchet livre la sienne. Il estime ainsi que « la liaison Paris-Lyon doit suivre les vallées de la Seine, de l'Yonne, du Serein puis percer les montagnes des Chaumes d'Auvenet (près de Nolay) pour arriver à Chalon et enfin Lyon ». La proposition n'emballe pas vraiment les foules : Auxerre, Avallon, Saulieu, Autun et surtout Dijon sont les grands oubliés du scénario. Une alternative est alors envisagée, avec un tracé dessiné à travers la vallée de l'Armançon et celle de l'Ouche. Le député Claude-Marie Raudot s'empare du dossier à ce stade de l'instruction. Pendant un an, l'élu arpente la campagne, cartes d'état-major sous le bras. Il se met en quête du meilleur tracé, entre Saint-Moré et Chagny. Avec l'idée de ne pas léser le chef-lieu de son canton : Avallon. L'étude de terrain restera lettre morte. Le tracé définitif passant par la vallée de l'Armançon (Migennes-Tonnerre-Montbard) est voté le 5 juin 1844. Le 12 août 1849, la section Paris-Tonnerre est inaugurée, et le premier train en provenance de Paris fait son entrée dans la cité ducale le 22 juin 1851. Raudot, tenace, revoit sa copie et défend, en 1864, le projet de création d'un embranchement à Migennes desservant Auxerre, Avallon et Autun. Bien que l'idée convainque progressivement l'opinion publique, le pouvoir politique affiche toujours ses réticences. Et ce, jusqu'à ce que le directeur général des Ponts et chaussées et des Chemins de fer, Alfred de Franqueville, exauce le souhait des Avallonnais et valide la ligne Auxerre-Cravant-Laumes (Alésia), via Avallon et Semur-en-Auxois. Plus tard, Claude-Marie Raudot confie : « Les élections cantonales approchaient, or Franqueville était le conseiller général du canton de Semur-en-Auxois. » Dans l'Avallonnais, bien que l'arrivée du chemin de fer provoque de très nombreuses expropriations, « les habitants jubilent » rapporte l'Indépendant d'Avallon dans son édition du 10 novembre 1872. Un an plus tard, le journal local commente l'événement comme une délivrance : « Après une douzaine d'années d'attente et de promesses vaines, Avallon est enfin reliée à la France entière. » ....TRES RARE Plaquette....en trés bon état (good condition). trés bon état
[Paris], Imprimerie de H. Fournier, s.d. (1838) in-8, 32 pp., en feuilles, cousu.
C'est l'ingénieur des arts et métiers Alexandre Corréard (1788-1857), un des rares survivants de La Méduse, qui est à l'origine de ce projet de liaison Paris-Tours-Bordeaux, et c'est lui seul qui établit les statuts de la société d'exploitation devant les notaires parisiens Berceon et Aumont-Thiéville.Un seul exemplaire au CCF (Bordeaux). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
P., s.n., [1846]. In-4 broché, sans couv. (extrait d'une reliure), 13 pp., une vignette ferroviaire gravée sur bois au dernier f.
On trouve au 1er feuillet la liste des membres du conseil d'administration de cette société fondée entre le 25 mars et le 7 avril 1846. La publication vise à défendre un projet de ligne passant par Nevers qui venait d'être rejeté par la Chambre des députés. Rousseurs et accroc au 1er feuillet, état convenable. -