Couverture rigide. Cartonnage de l'éditeur. 55 pages.
Reference : 49522
Livre. Comité de propagande pour la consommation de la morue, 1951.
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cartonnage - 13,5x 21 - 55pp -1953 - éditions comité de propagande pour la consommation de la morue
Paris, F. Sinnett, [circa 1845]. 370 x 501 mm.
Belle vue lithographiée en couleurs d'après un dessin de Louis Le Breton, figurant une scène de pêche à la morue au large de Terre-Neuve. La vue montre au premier plan une mer agitée dans laquelle des matelots, à bord de petits canots, tendent (élongent) des lignes de pêche, retenues à leurs extrémités par des bouées surmontées d'un drapeau. Près de ces canots se tient un trois-mâts voiles affalées, battant pavillon français. En arrière-plan, on aperçoit trois autres canots et trois navires. Lancée dès le milieu du XVIe siècle, la pêche à la morue dans les Grands Bancs de Terre-Neuve connut son apogée au XIXe siècle. Chaque année, plus de 10 000 pêcheurs, que l'on appelait les Terre-Neuvas, quittaient les régions littorales françaises pour les bancs de Terre-Neuve et le long de la côte française de Terre-Neuve. À la fin du XIXe siècle, la pêche intensive avec des moyens modernes conduisit à une quasi-disparition de la ressource en morue et à une interdiction de pêche par les autorités canadiennes. Peintre de marines, aquarelliste et chirurgien de marine, Louis Le Breton fut l'un des artistes les plus prolifiques de son temps et le témoin de toutes les scènes maritimes du XIXe siècle. Embarqué à 19 ans comme aide-chirurgien sur l'Astrolabe dans l'expédition de Dumont d'Urville, il sera nommé dessinateur de l'expédition à la mort de Ernest Goupil, décédé en Tasmanie. C'est à Louis Le Breton que reviendra la tâche de rassembler l'iconographie du voyage qui sera publiée dans l'Atlas pittoresque. Il a réalisé deux autres estampes sur le Pacifique, plus précisément sur Tahiti, lors de l'annexion française par le contre-amiral du Petit-Thouars en 1842. Bel exemplaire.
1954 1954. La Morue par le comité de propagande pour la consommation de la morue/1954
Bon état
Ouest-France, 1997, in-4 br. (19,5 x 25,5), 127 p., préface de Jean Recher, abondante iconographie, couverture à rabats, nom manuscrit en page de garde, bon état.
L'histoire de la pêche à la morue dans l'économie de plusieurs régions du littoral français, les conditions de vie des pêcheurs français qui partaient vers les eaux froides de Terre-Neuve (Canada) ou d'Islande, l'évolution des techniques et méthodes de cette pêche commerciale, au cours des cinq derniers siècles. Pendant plusieurs siècles, la pêche à la morue a tenu une place essentielle dans l'économie de plusieurs régions de notre littoral. Chaque année, en février ou en mars, des milliers de pêcheurs partaient en direction de Terre-Neuve ou de l'Islande pour de longues campagnes, vers les mers froides et dangereuses, où la menace de mort était permanente. A bord des morutiers ou sur les "graves" de Terre-Neuve, les cadences de travail étaient infernales et la vie quotidienne des plus pénibles. En dépit de ces souffrances et malgré les successions de désastres, armateurs et capitaines n'avaient aucune difficulté à recruter des équipages. Parce que la motivation des matelots, dont beaucoup étaient des ruraux, était simple : il s'agissait ni plus ni moins que d'échapper à la misère. Voir le sommaire sur photos jointes.
Ouest-France, 1997, in-4 br. (19,5 x 25,5), 127 p., préface de Jean Recher, abondante iconographie, couverture à rabats, bon état (on joint une carte postale "Le déchargement des chalutiers à Fécamp")
L'histoire de la pêche à la morue dans l'économie de plusieurs régions du littoral français, les conditions de vie des pêcheurs français qui partaient vers les eaux froides de Terre-Neuve (Canada) ou d'Islande, l'évolution des techniques et méthodes de cette pêche commerciale, au cours des cinq derniers siècles. Pendant plusieurs siècles, la pêche à la morue a tenu une place essentielle dans l'économie de plusieurs régions de notre littoral. Chaque année, en février ou en mars, des milliers de pêcheurs partaient en direction de Terre-Neuve ou de l'Islande pour de longues campagnes, vers les mers froides et dangereuses, où la menace de mort était permanente. A bord des morutiers ou sur les "graves" de Terre-Neuve, les cadences de travail étaient infernales et la vie quotidienne des plus pénibles. En dépit de ces souffrances et malgré les successions de désastres, armateurs et capitaines n'avaient aucune difficulté à recruter des équipages. Parce que la motivation des matelots, dont beaucoup étaient des ruraux, était simple : il s'agissait ni plus ni moins que d'échapper à la misère. Voir le sommaire sur photos jointes.