Couverture souple. Broché. 310 pages. Couverture légèrement défraîchie.
Reference : 39365
Livre. Traduit du russe par Serge Persky. Editions du Monde Illustré, 1908.
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Londres, 1784. 1784 8 tomes en 4 vol. in-8, veau raciné, triple filet, dos lisse orné, pièces de titre et de tomaisons rouges, coupes filetées, tranches marbrées (Rel. de l'époque).I : [pas de faux-titre] titre, (1) f. de table, 172 pp. ; II : faux-titre, titre, 230 pp., (1) f. de table ; III : faux-titre, titre, 206 pp., (1) f. de table ; IV : faux-titre, titre, 194 pp., (1) f. de table ; V : faux-titre, titre, 180 pp. ; VI : faux-titre, titre, 180 pp. ; VII : faux-titre, titre, 200 pp. ; VIII : faux-titre, titre, 180 pp. Belle édition réunissant les 72 contes en prose écrits par Marguerite de Navarre (1492-1549), à l'imitation du Decameron de Boccace. Sans doute composés dans les dernières années de sa vie, à partir de 1545, ils furent publiés de manière posthume pour la première fois en 1558, sous le titre Histoire des Amants fortunés, par Pierre Boaistuau. Dès 1559, suivit une deuxième édition donnée par Claude Gruget : Heptaméron des nouvelles de très illustre et très excellente princesse Marguerite de Valois, reine de Navarre.Cette édition, enrichie in fine de 2 nouvelles d'Antoine-François Grazzini, dit Le Lasca, est illustrée d'un frontispice et 72 figures gravées d'après celles du maître suisse Sigismond Freudeberg, publiées en premier tirage dans la belle édition de Berne en 1780-1781. Avant la lettre, numérotées, sous serpente et sur vergé fort, gravées par Jourdan pour certaines, elles présentent des scènes vives, inspirées du style rococo parisien que Freudeberg découvrit auprès de François Boucher.Les deux nouvelles ajoutées sont quant à elles illustrées de 2 figures supplémentaires gravées.Cet exemplaire très plaisant, malgré quelques rousseurs et taches, provient de la Bibliothèque de Leugny (timbre humide répété sur les titres).
, Brepols, 2023 Hardback, 309 pages, Size:156 x 234 mm, Illustrations:21 b/w, 17 col., 4 tables b/w., 1 maps b/w, Language: English. ISBN 9782503585994.
Summary A collaborative investigation of one of the best-known works of late medieval European literature, the Franco-Burgundian collection of short stories known as the Cent Nouvelles nouvelles. Modelled loosely on Boccaccio's Decameron and incorporating elements from Old French fabliaux as well as Poggio Bracciolini's Liber Facetiarum, the anonymous collection attributes its morally challenging and frequently humorous tales to named narrators including Philip the Good, Duke of Burgundy and Louis of Luxembourg, Count of Saint Pol. The contribution of this new volume of essays is threefold: - empirical, in that it brings entirely new interdisciplinary insights into the study of the genesis and reception of the work; - methodological, in that it integrates study of the text within a 360-degree evaluation of the work's manuscript and early printed context; and - conceptual, in that it seeks to understand the social dimensions of textual production and consumption. These approaches unite ten principal contributions by specialists in the fields of art history, book history, court history and linguistics from France, the Netherlands, the USA and the UK. TABLE OF CONTENTS Introduction Graeme Small Part I - The manuscript witness Chapter 1. Les Cent Nouvelles nouvelles. The physical fabric of the fables Richard Gameson Chapter 2. MS Hunter 252: precursors, date and patronage Hanno Wijsman Part II - Reception in manuscript and print Chapter 3. Printing the Cent Nouvelles nouvelles. Anthoine V rard's 1486 edition and its sixteenth-century successors Mary Beth Winn Chapter 4. Opening and closing the Cent Nouvelles nouvelles. Paratext, context and reception, 1469- c. 1550 Graeme Small Part III - Reading text and image in manuscript form Chapter 5. Storytelling through architecture. The miniatures of the Cent Nouvelles nouvelles Maud Perez-Simon Chapter 6. Narratological readings of the Cent Nouvelles nouvelles (CNN3, 21, 27). Text and image in MS Hunter 252 Alexandra Velissariou ? Part IV - The text as a site of language use Chapter 7. Toward a scriptology of Middle French. The case of MS Hunter 252 Geoffrey Roger Chapter 8. Stylistic implications of linguistic archaism and contemporaneity in MS Hunter 252 Peter V. Davies ? Part V - Archives in the fiction Chapter 9. Locating storytelling in time and space (Hainaut-Brussels, 1458-59). A Decameronian moment Edgar de Blieck & Graeme Small Chapter 10. Tales from the chamber. The Cent Nouvelles nouvelles between Burgundy and Luxembourg Graeme Small Conclusions Graeme Small
Galilée - Galileo Galilei - Marin Mersenne, traduction - Pierre Costabel et M.-P. Lerner, eds. - Bernard Rochot, préface
Reference : 101198
(1973)
Librairie Philosophique J. Vrin , L'Histoire des Sciences, Textes et Etudes Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1973 Book condition, Etat : Très Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, illustrée d'une figure grand In-8 2 vol. - 319 pages
quelques figures dans le texte en noir et blanc et fac-similé des pages de titres originales 1ere édition, 1973 "Contents, Chapitres : Tome 1, 130 pages - Tome 2, pages 131 à 319 - Tome 1. Avrtissement de P. Costabel - Avant-propos de Bernard Rochot : Galilée et Mersenne, 6 pages - 1. Introduction : La genèse des Discorsi - Mersenne et les Discorsi : De l'Harmonie universelle aux Nouvelles Pensées de Galilée - Les Nouvelles Pensées : Description bibliographique et comparaison matérielle avec les Discorsi - La transmission des Discorsi à travers les Nouvelles Pensées, brèves remarques - Note sur l'édition du texte - Les Nouvelles Pensées de Galilée, texte de Mersenne - Table des livres et articles - Tome 2. Note de l'édition - Unités de mesure utilisées par Galilée et par Mersenne - Notes critiques du texte des Nouvelles Pensées - Exemplaire de main des Nouvelles Pensées - Index des noms, index du vocabulaire de Mersenne, index des matières - Marin Mersenne (1588-1648), connu également sous son patronyme latinisé Marinus Mersenius, est un religieux français appartenant à l'ordre des Minimes, érudit, mathématicien et philosophe. On lui doit les premières lois de l'acoustique, qui portèrent longtemps son nom1. Il établit concomitamment avec Galilée la loi de la chute des corps dans le vide. De Waard dit de lui qu'il était le secrétaire de l'Europe savante de son temps. - Il publie, peu après l'abjuration de Galilée, le 22 juillet 1633, les Mechaniques, une uvre d'inspiration manifestement pro-galiléenne ; et en 1639, il traduit les Nouvelles Pensées de l'italien. Pour autant, il se tient dans une position d'attente et refuse de se déterminer en faveur du système copernicien. Pour lui, « il n'y a pas de démonstration naturelle qui contraigne d'embrasser la stabilité ou la mobilité de la Terre. » En 1634 se fixe sa doctrine, avec la création de l'Academia Parisiensis, qui rejoint dans son éclectisme celles de ses deux amis, Thomas Hobbes et Pierre Gassendi. - Les nouvelles pensées de Galilée sont la première traduction française commentée en 1639 des Discours concernant deux sciences nouvelles de Galilée de 1638. En 1636, Louis Elzevier reçoit une ébauche des Discours sur deux sciences nouvelles de la part du maître florentin. C'est le dernier livre qu'écrira Galilée, ouvrage où le scientifique a consigné les découvertes d'où est née la dynamique moderne ; il y établit les fondements de la mécanique en tant que science et marque ainsi la fin de la physique aristotélicienne. Il tente aussi de poser les bases de la résistance des matériaux, avec moins de succès. Il finira ce livre de justesse, car le 4 juillet 1637, il perd l'usage de son il droit. Le 2 janvier 1638, Galilée perd définitivement la vue. Par chance, Dino Peri a reçu l'autorisation de vivre chez Galilée pour l'assister avec le père Ambrogetti qui prendra note de la sixième et dernière partie des Discours. Cette partie ne paraîtra qu'en 1718. L'ouvrage complet paraît en juillet 1638 à Leyde (Pays-Bas) et à Paris. Il est lu par les grands esprits de l'époque. (source : Wikipedia)" bel exemplaire, complet en 2 tomes homogènes de cette édition des Nouvelles Pensées de Galilée, traduit par Marin Mersenne avec un appareil critique très étoffé et une longue introduction de P. Costabel et M.-P. Lerner, édition de référence en français, très frais et propre
LOUIS XI - Edmond MALASSIS, illustrateur LES CENT NOUVELLES NOUVELLES attribuées au Roy Louis le Onzième. Sensuyt le présent livre des cent nouvelles nouvelles lequel en soy contient cent chapitres ou histoires ou pour mieux dire nouveaux compte à plaisance. Se trouve chez Javal et Bourdeaux à Paris, 1931 1 volume grand in-4 (30 x 25 cm), en feuilles, XIV-255-(1) pages, couverture imprimée. 16 hors-texte gravés sur cuivre par Lorrain d'après les gouaches et aquarelles d'Edmond Malassis, imprimés en couleurs au repérage. 4 suite de ces 16 mêmes hors-textes (couleurs avec remarque, bistre, sanguine et bleu), soit un total de 80 eaux-fortes en couleurs pleine page. Lettrines et titres imprimées en rouge. Parfait état de l'ensemble. TIRAGE A 590 EXEMPLAIRES. CELUI-CI, 1 DES 75 EXEMPLAIRES SUR JAPON IMPÉRIAL AVEC 5 ÉTATS DES COMPOSITIONS DE MALASSIS. Le détail du tirage est le suivant : 25 ex. sur Japon acien, 75 ex. sur Japon impérial, 150 ex. sur vélin et 300 ex. sur vélin, en outre 40 ex. sur Japon avec 2 interprétations supplémentaires (une par Manuel Orazi et l'autre par C. Farneti).SUPERBE EXEMPLAIRE TEL QUE PARU DU TIRAGE SUR JAPON IMPÉRIAL AVEC 5 ÉTATS DES SPLENDIDES COMPOSITIONS DE MALASSIS.
Edmond Malassis, né en 1874 (mort en 1940), était élève du peintre Gustave Moreau. Aquarelliste renommé ayant richement illustré de nombreux ouvrages pour les bibliophiles, il a laissé un nombre important d'exemplaires ornés d'aquarelles originales. Les Cent Nouvelles Nouvelles sont une de ses plus belles illustrations. Les 16 hors-texte sont de véritables petits tableaux fourmillant de détails pouvant servir à l'histoire du costume et du moyen-âge. Le tout servit par un humour efficace teinté d'érotisme paillard. Les Cent Nouvelles nouvelles, dites du roi Louis XI, recueil de contes, composés de 1456 à 1461 à la cour du duc de Bourgogne Philippe le Bon, pendant le séjour que fit au château de Genappe le dauphin Louis, fils de Charles VII. Pour distraire les ennuis de l'exil du dauphin, chaque seigneur à son tour faisait un joyeux récit; dans l'édition publiée en 1486 par Ant. Vérard, les Nouvelles portent les noms de ceux qui les contèrent, et celles qui sont attribuées à Monseigneur, sans autre désignation, appartiennent, dit l'éditeur, au dauphin lui-même. Un secrétaire, ajoute la tradition, recueillit et rédigea ces histoires qui égayaient la cour de Bourgogne s'accorde, en effet, à reconnaître aux Cent nouvelles nouvelles un auteur unique, qui recueillit sans doute ses matériaux dans les réunions de Genappe, mais qui donna au livre sa forme et son style. A n'en pas douter, cet auteur est Antoine de La Sale, à qui l'on doit encore Les quinze joyes du mariage et l'Histoire du petit Jehan de Saintré. Il demeurait à Genappe, et son nom figure dans le recueil même, où se trouvent d'ailleurs les formes de pensée et de style particulières à ses autres ouvrages.
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Orné de 40 gravures sur bois, imprimées en 1532. Lyon, Olivier Arnoullet, 12 juillet 1532. In-4 gothique de (136) ff. Maroquin bleu nuit, triple filet doré encadrant les plats, dos à nerfs joliment orné avec chiffre doré répété dans les caissons, double filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées sur marbrures. Trautz-Bauzonnet, 1847. 191 x 132 mm.
Premier recueil de nouvelles de la littérature française. Le plus bel exemplaire cité et décrit par Brunet de cette rarissime édition de 1532 des «Cent nouvelles nouvelles». L'œuvre a été composée entre 1464 et 1467 à la cour de Philippe le Bon, duc de Bourgogne. Il en est le dédicataire et figure lui-même parmi les trente-cinq conteurs. Longtemps attribué à Antoine de La Sale, auteur de la cinquantième nouvelle, on admet aujourd'hui que les Cent Nouvelles nouvelles sont de la main d'un rédacteur unique et anonyme, qui serait ainsi le trente-sixième conteur, parmi les seigneurs bourguignons devisant. « Ce recueil, faussement attribué parfois à Antoine de la Sale, fut composé à la demande du duc de Bourgogne Philippe le Bon, vers 1462, par un écrivain de cour, peut-être Philippe Pot. Plusieurs seigneurs bourguignons pour se divertir racontent à tour de rôle de gaillardes histoires, avec abondance de ripailles, joutes amoureuses, feintes et jeux de mots, qui forment une suite au Décameron de Boccace et annoncent les contes du XVIe. Pourtant, derrière la gaîté d'apparence, on sent les inquiétudes d'un siècle qui finit mal : la loyauté chevaleresque a disparu, l'amour filial, le mariage, l'amitié même sont touchés par la dégradation des mœurs et l'avènement du mensonge. Le texte original fut plusieurs fois adapté, compilé, remis en forme au XVIe siècle.» (Bechtel). « Chef-d’œuvre de style et le premier ouvrage en prose, sans contredit, où la langue française montre cette clarté et cette facile élégance qui l'ont rendue la langue de l'Europe civilisée" (Viollet-le- Duc, Bibliographie des chansons, fabliaux, contes en vers et en prose, 1859, p. 144). « Un bel exemplaire en mar. v. a été vendu 465 fr. chez le pr. d'Essling; 14 liv. sterl. Utterson.» (Brunet, I, 1735). Précieuse et belle édition illustrée de 40 figures gravées sur bois dans le texte; quelques-unes sont répétées. Titre imprimé en rouge et noir, orné d’une grande figure: « Trois personnages, dont un tient un manuscrit, autour d’une table où se trouve un vase». Au dernier f. : Roi de France entouré de 6 personnages. Et 38 bois plus petits (dont des répétés) dans le texte. Nombreuses initiales ornées. Ces récits d'après boire où l'indécence est de mise s'inspirent de la tradition orale et d'un fonds commun aux fabliaux, aux Facéties du Pogge et au Décaméron. Les effets scabreux sont plus appuyés: maris benêts perpétuellement cocus, épouses rouées, truculences érotiques, feintes et jeux de mots sont rendus avec un art très vif du dialogue et de la mise en scène. Très bel exemplaire cité par Brunet et Bechtel relié en maroquin par Trautz au chiffre du Baron de Ruble provenant des bibliothèques de François-Victor Masséna, Prince d’Essling (cat. 1845, n°349: exemplaire alors relié par Duru); baron Alphonse de Ruble qui le fit relier de nouveau par Trautz-Bauzonnet (Paris, 1889, n°463); Emile Rossignol avec ex-libris; Bernard Clavreuil; Pierre Bergé. Bechtel ne mentionne qu’un seul exemplaire passé sur le marché au cours des quarante dernières années: l’exemplaire Edouard Vernon Utterson, relié au XIXe siècle par Niedrée avec 3 feuillets restaurés et le dernier feuillet refait, vendu 7 500 € en juin 1985, il y a 39 ans.