Couverture souple. Broché. 114 pages. Rousseurs à la couverture. Couverture légèrement défraîchie.
Reference : 34488
Livre. 48 planches hors texte accompagnées de 48 notices rédigées par Julien Cain. Introduction par Paul Leprieur. Librairie Centrale des Beaux-Arts (Collection : L'art de notre temps), Vers 1920.
Librairie et Cætera
Mme Sophie ROSIERE
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Hachette 1931 282 pages 1931. 282 pages.
[Charles Meryon] - Phagan, Patricia ed.:
Reference : 049775
(1993)
ISBN : 0915977109
Phagan, Patricia ed.:: Charles Meryon and Jean-François Millet. Etchings of Urban and Rural 19th-Century France. Exhibition: Athens (GA), Georgia Museum of Art, 1993. 142pp with 36 monochrome plates. Wrappers. 28x21.5cms. Fully illustrated catalogue of 36 etchings created mostly in or near Paris during the 1850s (16 by Meryon, 20 by Millet) from the collection of S. William Pelletier. The reproductions are accompanied by details such as: date, inscription on plate, inscriptions and marks on sheet, watermark, platemark, sheet, description, provenance, exhibitions, and literature where appropriate. Catalogue supported by two essays: 'Reflections on a Gilded City. The Paris of Napoleon II, Meryon, and Millet' (by William U. Eiland) and 'Charles Meryon and Jean-François Millet. Two French Printmakers of the Second Empire' (by S.William Pelletier). With select bibliography.
Fully illustrated catalogue of 36 etchings created mostly in or near Paris during the 1850s (16 by Meryon, 20 by Millet) from the collection of S. William Pelletier. The reproductions are accompanied by details such as: date, inscription on plate, inscriptions and marks on sheet, watermark, platemark, sheet, description, provenance, exhibitions, and literature where appropriate. Catalogue supported by two essays: 'Reflections on a Gilded City. The Paris of Napoleon II, Meryon, and Millet' (by William U. Eiland) and 'Charles Meryon and Jean-François Millet. Two French Printmakers of the Second Empire' (by S.William Pelletier). With select bibliography
BELLE ET LONGUE LETTRE DANS LAQUELLE JEAN-FRANCOIS MILLET EXPRIME À SON AMI ET COLLECTIONNEUR ALFRED SENSIER SON MÉCONTENTEMENT AU SUJET DE DESSINS DE JEUNESSE MIS AUX ENCHÈRES PROVENANT DE LA SUCCESSION DU PEINTRE THÉODORE ROUSSEAU : …Je vous assure que cest pour moi une grande désolation de penser que ce tas de croquis qui me sont bien plus attribués quils ne sont de moi effectivement, mais dont je suis cependant responsable, ait la mauvaise chance dêtre mis en vente publique. Les intentions de ce pauvre Rousseau ne se trouveront guère remplies puisquil voulait justement quand il les a achetés avec vous, les retirer de la circulation. Si vous le pouvez, faites entendre a ceux que cela regarde quil ny a aucun intérêt réel pour la succession a mettre ces croquis en vente publique. Cest donc et seulement un grand tort qui peut mêtre fait gratuitement (…). Encore un coup, mon cher Sensier, faites bien remarquer aux héritiers quil en est de ces croquis, même de ceux qui sont le plus de moi, comme si on retrouvait les cahiers décriture de quelquun dont la profession est devenue dêtre écrivain, et quon les veuille faire passer pour des œuvres... La succession gagnera beaucoup plus aux retouches que je compte faire aux vrais dessins de moi et particulièrement au grand pastel qui se trouve dans la chambre à coucher [sagit-il du pastel « La Mer vue des hauteurs de Landemer » ?]. Je veux pour mon propre intérêt quil se puisse présenter dignement au public. Cette marine est de nature a prendre beaucoup dimportance. Doù il résulte quen travaillant pour moi, je travaillerai pour la succession... Je vous demande bien pardon de vous en dire si long à ce propos mais je voulais vous dire ce que vous savez comme moi du reste, combien cette chose sans profit pour la succession, pourrait être dommageable pour moi. Je tâche de rassembler les notes que vous me demandez...Il ajoute au sujet de la veuve Rousseau : ...Les Fouché trouvent Mme Rousseau bien incommode…La mauvaise humeur de Millet et son insistance à la manifester auprès dAlfred Sensier semblent compréhensibles : alors au sommet de sa gloire (en 1867 lexposition qui lui est consacrée à Paris est un triomphe ; lannée daprès, en 1868 il est fait Chevalier de la Légion dhonneur) le peintre ne désirait pas que les amateurs et le grand public puissent découvrir, à travers une vente aux enchères, des dessins de jeunesse demeurés jusquà présent dans le secret dune collection particulière. Alfred Sensier (1815-1877), est un nom familier des spécialistes des peintres de lÉcole de Barbizon dont il fut le biographe patenté. Fils dun notaire bibliophile, il se passionne très tôt pour lart et collectionne les autographes. Il rencontre le peintre paysagiste Théodore Rousseau en 1846, dont il sera, à sa mort (en 1867), lexécuteur testamentaire, puis le biographe.Par son intermédiaire, Sensier côtoie les autres peintres de lÉcole de Barbizon : Jules Dupré, Constant Troyon, Narcisse Diaz de la Peña, Charles Jacque, mais cest surtout avec lauteur de « LAngélus », J.-Fr. Millet, quil se lie dune amitié sincère et durable.Alfred Sensier eut laudace et le courage à lépoque, de constituer une importante collection de tableaux des maîtres de Barbizon dans son modeste appartement de la rue Chaptal à Paris.
Catalogue de la vente après décès de l’atelier de Jean-François Millet à l’Hôtel Drouot par Me Pillet (expert M. Durand-Ruel) les 10 et 11 mai 1875. In-8, broché, 61 pages, impression sur vergé. Préface de Charles Tillot. En tout, 273 lots dont 56 tableaux et études peintes, 55 aquarelles et pastels, 146 dessins et croquis, 14 gravures. Exemplaire non coupé, un très petit manque marginal au premier plat.