Couverture rigide. Reliure de l'éditeur. 351 pages.
Reference : 33374
Livre. Librairie académique Perrin et Cie (Collection : Présence de l'histoire), 1973.
Librairie et Cætera
Mme Sophie ROSIERE
+33 (0) 5 56 88 08 45
Envoi par la Poste à réception du paiement. Paiement par virement, chèque ou CB (Stripe) PAS DE PAIEMENT SUR LE SITE. Je vous enverrai les informations de paiement en validant votre commande. EXPEDITIONS du lundi au vendredi en courrier ordinaire ou suivi, sous étuis recyclables et/ou réutilisés. Les livres sont nettoyés, réparés si besoin, et couverts de papier cristal. FRAIS D'EXPEDITION : Pour un livre standard (moins de 500g): FRANCE : de 4,50 à 6,70€ en courrier suivi. Vers l'étranger, Jusqu'en juillet prochain, les frais de port indiqués sont en courrier ordinaire SANS SUIVI. Envoi suivi sur demande. EUROPE : 1 à 1,50€ au tarif économique livres et brochures AUTRES PAYS : 2 à 3€ au tarif économique livres et brochures. A compter de Juillet 2025, le tarif économique pour l'étranger n'existera plus. Tous les tarifs postaux sont consultables ici : http://www.librairie-et-caetera.fr/2021/01/tarifs-postaux-2021.html RETOUR : Conformément à la législation sur la vente à distance, vous disposez d'un droit de retour des ouvrages pendant 14 jours. Les frais de port restent à votre charge lorsqu'il s'agit d'une erreur de commande de votre part et à notre charge si le livre n'est pas conforme à notre description.
Dossiers du Procès de Charlotte Corday devant le Tribunal révolutionnaire, extraits des Archives Impériales et publiés par Charles-Joseph Vatel,Paris, Versailles, Caen, Poulet-Malassis, Dufaure, Legost Clérisse, 18611 Volume broché, 233 x 150 mm. xx, 108 pp.Table des Matières, Premier Dossier, Information préliminaire, Instruction devant le Tribunal révolutionnaire, Pièces à conviction, Deuxième Dossier, Actes d'accusation, Pièces d'Audience, Œuvres politiques de Charlotte Corday décapitée à Paris le 17 juillet 1793 réunies par un Bibliophile normand, avec un Fac Similé inédit : Lettre de Charlotte Corday à Doulcet de Pontécoulant,Charles Renard, Caen, Paris, Le Gost, France, 1863, 1 Volume broché, 220 x 130 mm. xxii, 45 pp, Table des Matières, Dernière Lettre, Lettre à une Amie, Lettres à Marat, Adresse aux Français, Lettre à son Père, Lettres à Barbaroux…Charlotte Corday A Play in Four Actes, Charles Edmund Giles, London, Simpkin, Marshall, and Co, 1870,1 Volume broché, 176 x 112 mm. 51 pp.Charlotte de Corday, Etude Historique, avec Documents inédits, Henri de Monteyremar, Paris, Ferdinand Sartorius, 1862, 1 Volume broché, 197 x 121 mm. 157 pp.Article extrait de la Revue des Deux Mondes, 1862, 20 pp. La Jeunesse de Charlotte Corday, Casimir Périers, Témoignage de Madame Maromme, amie d'enfance de Charlotte Corday, Charlotte Corday, par L de Peyrès, 1 pp.Note et Renseignements sur le Fac-similé de la Lettre de Charlotte Corday à Barbaroux, Charles Vanel, Paris, Imprimerie Jouaust, sans date, [1861], 1 Monographie brochée, 235 x 150 mm. XXXVII pp.L'ensemble des Monographies est présenté sous une demi reliure cuir, à la Bradel, dos à 4 nerfs,
Phone number : 02.31.77.03.74
Paris, Librairie historique de la Révolution, Paris, Librairie historique de la Révolution1838 ; in-8, demi-chagrin brun, tête dorée, non rogné. 1 f., IX pp., 188 pp., 1 f. - Portrait et 1 fac-similé dépliant.ÉDITION ORIGINALE. “L’Antiquité n’offre pas un plus généreux dévouement que celui de mademoiselle de Corday, immolant à la paix publique, à la véritable liberté, au retour de la clémence, l’atroce Marat qu’elle en regardait justement comme l’ennemi.” Avec cet incipit, l’historien, poète, agronome et politicien Louis Du Bois présente son apologie de Charlotte Corday, une étude qui occupe les 57 premières pages. Les pp. 58 à 188 sont des pièces justificatives. Louis Du Bois est né à Lisieux en 1773. Jeune secrétaire du club des Girondins de Lisieux, il délaisse ses études de droit et quitte sa Normandie pour Paris où il se lie d’amitié avec Rouget de Lisle. Il compose même un couplet supplémentaire de la Marseillaise. En 1793 il rejoint les proscrits de Caen et fréquente Charlotte Corday. Bibliothécaire de la ville d’Alençon en 1799, il fera carrière dans la magistrature pendant la monarchie de Juillet. Ce livre a paru alors qu’il était sous-préfet de Vitré puis de Chateaulin en 1839. Il finira sa carrière aux archives Nationales à Paris puis retournera près de Lisieux dans sa propriété du Mesnil-Durand où il mourut en 1855. Sa bibliographie est copieuse : poèmes, études historiques, agriculture... de nombreuses publications publiées à Alençon, Caen, Lisieux et Paris. Cet exemplaire a appartenu à Jean-Jacques Launay, le bibliographe ornais de Poulet-Malassis. Qq. feuillets tachés.
1941 1941. René Trintzius - Charlotte Corday (1768-1793) / Hachette 1941
Mercure de France, 1909, in-12, 440 pp, un portrait de Charlotte Corday en frontispice, qqs gravures et fac-similés, généalogie, reliure demi-chagrin havane, dos à 5 nerfs souligés à froid, titres dorés (rel. de l'époque), bon état. Peu courant
Edition originale – sous reliure du temps parfaitement établie – de cette précieuse monographie. Emportés par les assauts de la Commune et des députés prônant l'exagération révolutionnaire, les Girondins proscrits et fugitifs trouvèrent refuge pour certains dans la région de Caen, dans le Calvados. Ils y organisèrent des réunions politiques auxquelles Charlotte Corday assista à plusieurs reprises et eut en ce cadre l'explication des circonstances qui préludèrent aux journées d’émeute des 31 mai et 2 juin 1793 perpétrés par la Commune contre la Convention qui fut en effet prise en otage par l'armée révolutionnaire. Indignée, elle se persuada que, dès lors, elle pouvait s'affranchir des règles du bon droit, et elle décida, non sans angoisse, de répondre à l'illégalité par l'illégalité. Marat qui, depuis son acquittement au Tribunal révolutionnaire, diffamait les Girondins et réécrivait sans cesse l'histoire, symbolisa à ses yeux l'injustice et le mensonge. Il devint sa cible... Depuis sa mort, Charlotte Corday est devenue une figure célèbre de la période révolutionnaire. Figure controversée : héroïne tyrannicide pour les uns, celle que Lamartine surnommera « l'ange de l'assassinat » n'est pour les autres qu'une fanatique. Eugène Defrance écrit de Charlotte Corday : « Être patriote, c’est aimer son pays jusqu’à l’abnégation absolue de sa personnalité. Or, elle sent qu'elle est capable de l’aimer jusqu’au crime ». Son geste ne parvint pas à sauver les Girondins – ceux-ci furent par la suite éliminés par les Montagnards, partisans de la Terreur, au nom du « salut public ».
[Dessin romantique] L'Assassinat de Marat par Charlotte Corday. Encre et lavis sur une feuille, environ 100*155mm, ca.1830. Beau dessin, malheureusement anonyme, dans la veine des représentations classiques de cet évènement. [230]