‎FANTI Silvio (Docteur) ‎
‎Après avoir ...‎

‎Couverture souple. Broché. 161 pages. Couverture légèrement défraîchie.‎

Reference : 206319


‎Livre. Editions Buchet/Chastel, 1984.‎

€6.30 (€6.30 )
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‎FABRE, Ferdinand ; [ BOURDIER DE BEAUREGARD, Hermance ; ALBOIZE, Jean ]‎

Reference : 63978

(1863)

‎[ Ensemble de documents consacrés à Ferdinand Fabre, dont 6 lettres autographes signées et 2 cartes de visites avec mention autographe de Ferdinand Fabre ] 1 L.A.S. de 2 pages, datée de 1863 : "Mon Cher Levallois, Après avoir passé trois mois dans un village du Midi fort reculé et où ne parvient pas le moindre bruit des journaux, j'arrive à Paris et je lis le trop bienveillant article que vous avez bien voulu consacrer à "Julien Savignon". Recevez, je vous prie, l'expression un peu tardive de ma reconnaissance. Hélas ! Cher Monsieur Levallois, n'apprenant rien de moi après m'avoir traité d'une manière si flatteuse, ne m'aurez-vous pas accusé d'ingratitude ? Accusez Paris, accusez nos [...] travaux qui, à certaines heures, nous obligent à réclamer la solitude comme un impérieux besoin [ il évoque ensuite ses "Etudes cévenoles" et termine en annonçant son troisième roman : "Mademoiselle de Malavielle" ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S.,1 page, non daté : "Cher Monsieur Augier, Voulez-vous et pouvez-vous répéter le 1er acte de l'aventurier demain matin mercredi à midi pour le quart. Un mot de réponse je vous prie [ ... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. datée du 12 mai 1870 : "Monsieur, J'autorise avec plaisir M. Ernest Chesneau à publier mon nom dans la liste des rédacteurs de la "Correspondance Générale" [... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. , 2 pages datées du 22 janvier 1877 [ adressée à Eugène Montrosier ] : "Cher Monsieur, Je vous remercie d'avoir bien voulu vous occuper, dans le Musée des Deux Mondes, des travaux de mon beau-frère. Mon ami Laurens demeure 73, rue Notre-Dame des Champs [... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. , 2 pages non datées : "Mille regrets, mon cher Monsieur, ; ma femme, en sa qualité d'Inspectrice des pensionnats, est appelée samedi à la commission d'examen et ne sera pas de retour aux Batignolles avant six heures [... ] ; [ On joint : ] 2 CDV enrichies de qq. mots de remerciements ; [ On joint : ] 2 L.A.S. et 3 cartes autographes signées de Mme Veuve Ferdinand Fabre , adressées à Jean Alboize, rédacteur à l'Artiste, pour l'hommage à son défunt mari ; [ On joint : ] Manuscrit autographe signé J. A. [ Jean Alboize ] de l'article consacré à Ferdinand Fabre dans le Journal l'Artiste à l'occasion de sa mort en février 1898, 2 pages ; [ On joint : ] Un recueil de coupures de presse consacrées à Ferdinand Fabre‎

‎[ Ensemble de documents consacrés à Ferdinand Fabre, dont 6 lettres autographes signées et 2 cartes de visites avec mention autographe de Ferdinand Fabre ] 1 L.A.S. de 2 pages, datée de 1863 : "Mon Cher Levallois, Après avoir passé trois mois dans un village du Midi fort reculé et où ne parvient pas le moindre bruit des journaux, j'arrive à Paris et je lis le trop bienveillant article que vous avez bien voulu consacrer à "Julien Savignon". Recevez, je vous prie, l'expression un peu tardive de ma reconnaissance. Hélas ! Cher Monsieur Levallois, n'apprenant rien de moi après m'avoir traité d'une manière si flatteuse, ne m'aurez-vous pas accusé d'ingratitude ? Accusez Paris, accusez nos [...] travaux qui, à certaines heures, nous obligent à réclamer la solitude comme un impérieux besoin [ il évoque ensuite ses "Etudes cévenoles" et termine en annonçant son troisième roman : "Mademoiselle de Malavielle" ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S.,1 page, non daté : "Cher Monsieur Augier, Voulez-vous et pouvez-vous répéter le 1er acte de [ l'aventurier ? ] demain matin mercredi à midi pour le quart. Un mot de réponse je vous prie [ ... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. datée du 12 mai 1870 : "Monsieur, J'autorise avec plaisir M. Ernest Chesneau à publier mon nom dans la liste des rédacteurs de la "Correspondance Générale" [... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. , 2 pages datées du 22 janvier 1877 [ adressée à Eugène Montrosier ] : "Cher Monsieur, Je vous remercie d'avoir bien voulu vous occuper, dans le Musée des Deux Mondes, des travaux de mon beau-frère. Mon ami Laurens demeure 73, rue Notre-Dame des Champs [... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. , 2 pages non datées : "Mille regrets, mon cher Monsieur, ; ma femme, en sa qualité d'Inspectrice des pensionnats, est appelée samedi à la commission d'examen et ne sera pas de retour aux Batignolles avant six heures [... ] ; [ On joint : ] 2 CDV enrichies de qq. mots de remerciements ; [ On joint : ] 2 L.A.S. et 3 cartes autographes signées de Mme Veuve Ferdinand Fabre , adressées à Jean Alboize, rédacteur à l'Artiste, pour l'hommage à son défunt mari ; [ On joint : ] Manuscrit autographe signé J. A. [ Jean Alboize ] de l'article consacré à Ferdinand Fabre dans le Journal l'Artiste à l'occasion de sa mort en février 1898, 2 pages ; [ On joint : ] Un recueil de coupures de presse consacrées à Ferdinand Fabre‎


‎Très intéressant ensemble de manuscrits et autographes consacrés à l'écrivain Ferdinand Fabre (1827-1898), dans lequel l'auteur cite ses deux romans "Jean Savignac" et "Mademoiselle de Malavielle", et fournit notamment l'adresse de son grand ami le peintre Jean-Paul Laurens, grand illustrateur de son oeuvre et auquel il dédiera son roman "l'Abbé Tigrane". ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR290.00 (€290.00 )

‎[Librairie Plon, Plon, Nourrit et Cie] - ‎ ‎BAUMANN, Emile‎

Reference : 60882

(1921)

‎L'Immolé [ Avec 5 L.A.S. de l'auteur ] "Monsieur, vous m'avez écrit, après avoir lu Job et l'avoir fait lire à Sa Majesté le Roi de Bulgarie, une lettre charmante [ ... ] J'ai prié Jacques Labègue de vous exprimer avant moi le grand plaisir que j'en ai reçu. Je suis sur le point d'entreprendre un grand voyage en Orient. Je ne pourrai traverser la Bulgarie et je le regretterai à cause de vous. Mais j'irai à Constantinople et dans des pays soumis aux Turcs comme la Cilicie et l'Anatolie, si c'est possible. Un des objets principaux de mon itinéraire est de refaire les courses de Saint Paul ; car je me propose d'écrire un livre sur lui. Si vous aviez quelques suggestions utiles à me donner pour ce voyage, des indications de personnages à visiter, je vous en serais tout-à-fait reconnaissant. Je sais que l'Orient vous est, sur une vaste échelle, familier. Notre évêque, Mgr Grente, m'a dit quel souvenr heureux il gardait de sa rencontre avec vous [... Et dans une autre lettre : ] "J'ai regardé sur la carte les noms modernes des lieux que je tiendrais à visiter parce que Saint Paul les traversa : en Macédoine, Philippe est remplacé par Filibedjik, village en ruines, au nord d'Eski-Cavala ; en Asie-Mineure, Laodicée est aujoud'hui Ladik ; Antioche de Pisidie Soultan-Dagh ; Iconium Koniak, Cybistra Eregli [il pose également des questions sur Salonique et sur la traversée de Chypre à Beyrouth, etc... ]‎

‎1 vol. in-12 cartonnage bradel vert, couvertures conservées, Librairie Plon, Plon, Nourrit et Cie, Paris, s.d. [circa 1921 ], 254 pp. et 1 f.. Rappel du titre complet : L'Immolé [ Avec 5 L.A.S. de l'auteur ] "Monsieur, vous m'avez écrit, après avoir lu Job et l'avoir fait lire à Sa Majesté le Roi de Bulgarie, une lettre charmante [ ... ] J'ai prié Jacques Labègue de vous exprimer avant moi le grand plaisir que j'en ai reçu. Je suis sur le point d'entreprendre un grand voyage en Orient. Je ne pourrai traverser la Bulgarie et je le regretterai à cause de vous. Mais j'irai à Constantinople et dans des pays soumis aux Turcs comme la Cilicie et l'Anatolie, si c'est possible. Un des objets principaux de mon itinéraire est de refaire les courses de Saint Paul ; car je me propose d'écrire un livre sur lui. Si vous aviez quelques suggestions utiles à me donner pour ce voyage, des indications de personnages à visiter, je vous en serais tout-à-fait reconnaissant. Je sais que l'Orient vous est, sur une vaste échelle, familier. Notre évêque, Mgr Grente, m'a dit quel souvenr heureux il gardait de sa rencontre avec vous [... Et dans une autre lettre : ] "J'ai regardé sur la carte les noms modernes des lieux que je tiendrais à visiter parce que Saint Paul les traversa : en Macédoine, Philippe est remplacé par Filibedjik, village en ruines, au nord d'Eski-Cavala ; en Asie-Mineure, Laodicée est aujoud'hui Ladik ; Antioche de Pisidie Soultan-Dagh ; Iconium Koniak, Cybistra Eregli [il pose également des questions sur Salonique et sur la traversée de Chypre à Beyrouth, etc... ]‎


‎Avec 5 lettres autographes signées (datées de 1923) de l'écrivain d'inspiration catholique Emile Baumann, soit un total de 10 feuillets et 15 pages. Très intéressante correspondance à un destinataire anonyme : "Monsieur, vous m'avez écrit, après avoir lu Job et l'avoir fait lire à Sa Majesté le Roi de Bulgarie, une lettre charmante [ ... ] J'ai prié Jacques Labègue de vous exprimer avant moi le grand plaisir que j'en ai reçu. Je suis sur le point d'entreprendre un grand voyage en Orient. Je ne pourrai traverser la Bulgarie et je le regretterai à cause de vous. Mais j'irai à Constantinople et dans des pays soumis aux Turcs comme la Cilicie et l'Anatolie, si c'est possible. Un des objets principaux de mon itinéraire est de refaire les courses de Saint Paul ; car je me propose d'écrire un livre sur lui. Si vous aviez quelques suggestions utiles à me donner pour ce voyage, des indications de personnages à visiter, je vous en serais tout-à-fait reconnaissant. Je sais que l'Orient vous est, sur une vaste échelle, familier. Notre évêque, Mgr Grente, m'a dit quel souvenr heureux il gardait de sa rencontre avec vous [... Et dans une autre lettre : ] "J'ai regardé sur la carte les noms modernes des lieux que je tiendrais à visiter parce que Saint Paul les traversa : en Macédoine, Philippe est remplacé par Filibedjik, village en ruines, au nord d'Eski-Cavala ; en Asie-Mineure, Laodicée est aujoud'hui Ladik ; Antioche de Pisidie Soultan-Dagh ; Iconium Koniak, Cybistra Eregli [il pose également des questions sur Salonique et sur la traversée de Chypre à Beyrouth, etc... ]‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR350.00 (€350.00 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

‎[De l'Imprimerie Nationale] - ‎ ‎DANTON ; [ DANTON, Georges Jacques ]‎

Reference : 27814

(1792)

‎Loi donnée à Paris le 13 Août 1792, l'an quatrième de la Liberté. Décret de l'Assemblée nationale, du 10 août 1792. "L'Assemblée Nationale considérant qu'il est indispensable dans les circonstances actuelles, de simplifier la marche ordinaire des corps administratifs... décrète qu'il y a urgence. L'Assemblée Nationale, après avoir décrété l'urgence, décrète que l'administration du département de Paris cessera d'exercer sur tous les actes de sûreté générale & de police, faits par les représentans de la commune de Paris, la surveillance qui lui est attribuée..."‎

‎1 brochure in-8, De l'Imprimerie Nationale, Paris, 1792, 2 pp.Rappel du titre complet : Loi donnée à Paris le 13 Août 1792, l'an quatrième de la Liberté. Décret de l'Assemblée nationale, du 10 août 1792. "L'Assemblée Nationale considérant qu'il est indispensable dans les circonstances actuelles, de simplifier la marche ordinaire des corps administratifs... décrète qu'il y a urgence. L'Assemblée Nationale, après avoir décrété l'urgence, décrète que l'administration du département de Paris cessera d'exercer sur tous les actes de sûreté générale & de police, faits par les représentans de la commune de Paris, la surveillance qui lui est attribuée..."‎


‎Edition originale. Bon état. Au lendemain du 10 août 1792 (et de la prise des Tuileries), Danton devient un personnage incontournable du gouvernement révolutionnaire. Rare. "L'Assemblée Nationale considérant qu'il est indispensable dans les circonstances actuelles, de simplifier la marche ordinaire des corps administratifs... décrète qu'il y a urgence. L'Assemblée Nationale, après avoir décrété l'urgence, décrète que l'administration du département de Paris cessera d'exercer sur tous les actes de sûreté générale & de police, faits par les représentans de la commune de Paris, la surveillance qui lui est attribuée..."‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR195.00 (€195.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10087466

(1994)

‎PARIS MATCH N° 2334 - Sophie Marceau en toute intimité, j'aime la sieste, chez moi dès que je peux, je m'embarque pour le rêve, Sophie : la seule chose qui me fiche la trouille : avoir un enfant par Irène Frain, Robin Williams : après avoir été Popeye‎

‎PARIS MATCH. 17 février 1994. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 110 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire :Sophie Marceau en toute intimité, j'aime la sieste, chez moi dès que je peux, je m'embarque pour le rêve, Sophie : la seule chose qui me fiche la trouille : avoir un enfant par Irène Frain, Robin Williams : après avoir été Popeye et Peter Pan, je n'étonne plus mes enfants, Johnny Hallyday : revivre avec Adeline n'est pas un retour au passé mais un projet d'avenir Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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