Couverture souple. Broché. 280 pages. Marques de bibliothèque. Plastifié, cachets.
Reference : 206080
Livre. Editions José Corti, 1995.
Librairie et Cætera
Mme Sophie ROSIERE
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Bottéro Jean Ouaknin Marc-Alain Moingt Joseph
Reference : 293771
(1997)
ISBN : 2020316579
Seuil 1997 180 pages in8. 1997. Broché. 180 pages. Un jour il y a près de 3300 ans au Proche-Orient dans la presqu'île du Sinaï est apparue l'idée d'un Dieu unique.L' inventeur de ce Dieu s'appelait Moïse. Pourquoi et comment le Dieu unique s'est-il révélé à Moïse ? Pourquoi là et uniquement là ? Qui est ce Dieu par rapport aux multiples dieux qui l'environnent ? Sous quels traits se manifeste-t-il ? Pourquoi fait-il alliance avec un peuple ? Quel est le sens du Décalogue - Les dix Commandements - qu'il donne à son peuple Israël ? Comment les juifs voient-ils ce Dieu que disent-ils de lui ? Que signifie-t-il pour eux ? Pourquoi ne prononcent-ils pas son nom ? Quels sont les liens entre la Torah écrite - la Bible - et la Torah orale - le Talmud ? Quel est le sens de la Loi de l'Exil ? Qui était Jésus pour les premiers chrétiens ? Comment se présente-t-il dans les Evangiles ? Pourquoi l'ont-ils appelé Christ et Fils de Dieu ? Pourquoi les chrétiens parlent-ils d'un Dieu Trinité ? Comment en sont-ils venus à cette idée ? Ne retournent-ils pas à une forme de polythéisme
Très Bon Etat
A Amterdam, et se trouve à Paris, chez la Veuve Duchesne, 1768 / A Padoue, 1752 / A Vienne, chez Jean-Thom. de Trattnern, Imprimeur & Libraire à la Cour, 1769, 3 textes reliés en 1 volume in-12 de 172x100x35 mm environ, 1f.blanc, 179-xij-153-xliv-224pages, 1f.blanc, plein marbré cognac, titres dorés sur dos lisse orné de caissons à fleurons et motifs dorés, coupes dorées, gardes marbrées, tranches rouges. Une coiffe ébréchée, épidermures et frottements sur le cuir, quelques rousseurs, petites restaurations sur les 2 derniers feuillets de l'ouvrage, sinon bon état. Mehmet Effendi fut ambassadeur ottoman à Paris entre 1720 et 1721. Grâce à son influence et à ses connaissances, la première imprimerie en caractères arabes en milieu musulman est ouverte par brahim Müteferrika en 1727.
Discours sur les Femmes, adressé à Eugénie, et suivi d'un Dialogue Philosophique & Moral sur le Bonheur, A Amterdam, et se trouve à Paris, chez la Veuve Duchesne, 1768, 179 pages.Histoire des Monts de Piété, avec des Reflexions sur la Nature de ces Etablissemens, Par M. Cerreti, Docteur en Droit, A Padoue, 1752, xij-153 pages. Traité de Tactique, ou Méthode Artificielle pour l'Ordonnance des Troupes. Ouvrage publié & Imprimé à Constantinople, par Ibrahim Effendi, Officier Mutteferrika de la Porte Ottomane, l'an de l'Hégire 1144, qui est la première année après la dernière rébellion & la déposition du Sultan Ichmet, arrivée l'an 1730, de l'Ere chrétienne, traduit du Turc, A Vienne, chez Jean-Thom. de Trattnern, Imprimeur & Libraire à la Cour, 1769, xliv-224 pages. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
BERNOULLI - DE LA HIRE - BOULDUC - LE MARQUIS DE L HOPITAL - VARIGNON - PERE DE FONTENAY - CASSINI - HOMBERG - DU VERNAY - LITTRE - CARRE - MARCHANT - DODARD - DE TSCHIRNAUSEN - SAUVEUR;
Reference : 110030
A Paris, chez Gabriel Martin, Jean-Bapt. Coignard & Hippolyte-Louis Guérin, ruë S. Jacques, Avec Approbation et Privilege du Roi, 1743, 1 volume in-4 de 260-195 mm environ, 1f.blanc viij-142-384 pages 1f.blanc, reliure plein veau marbré fauve d'époque, dos à 5 nerfs portant titres et tomaisons dorés sur pièce de titre maroquin bordeaux, orné de caissons à fleurons et feuillages dorés, double filet doré sur les coupes, tranches rouges, gardes marbrées. Quelques feuilles brunies, frottements et petites craquelures sur le cuir, un mors fendu sur 4 cm, petites déchirures sans manque p. 308 et 382. Contient 14 planches dépliantes et de nombreuses figures dans le texte.
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94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917
Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.
Editions de la Revue Française, 1913, 1 volume in-folio de 325x255 mm environ, 72 pages, demi-chagrin chocolat, titres dorés sur dos à nerfs, gardes marbrées avec un ex-libris sur le premier contreplat, couverture conservées, feuillets non rognés. Petit accroc sur le cuir du premier plat, sinon bon état. Edition originale numérotée (N° 131), sur vergé d'Arches, un des 300 exemplaires numérotés de 1 à 300 (après 23 exemplaires numérotés de I à XXIII).
Paul Claudel, né le 6 août 1868 à Villeneuve-sur-Fère (Aisne), et mort le 23 février 1955 à Paris, est un dramaturge, poète, essayiste et diplomate français, membre de l'Académie française. Il est le frère de la sculptrice Camille Claudel. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.