Couverture rigide. Reliure toile, 238 pages.
Reference : 202453
Livre. Editions Brepols, 1959.
Librairie et Cætera
Mme Sophie ROSIERE
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(Paris) 2 mars 1829, Gand in plano (540 x 350 mm) demi basane rouge, dos plat orné de fleurons et listels. 27 planches lithographiées, aquarellées et dorées à la main, dont une page de titre aux armes, 22 portraits sur Chine appliqué et 4 scènes sur vélin. Toutes les planches sont montées sur onglets (rousseurs, quelques insignifiantes déchirures marginales, quelques reports, petite tache brune sur une planche). Exemplaire dont les cartons se sont oxydés mais dont les gravures sur chine sont restées intactes.
Suite complète d’une très grande rareté, conçue et réalisée par Eugène Lami en coloris d’époque. Cette publication , non mise dans le commerce, rend compte de la fête costumée organisée par la Duchesse de Berry le 18 mars 1829, sur le thème du mariage de Marie Stuart et du Dauphin François II. À cet effet, les membres de la famille royale et des représentants des maisons les plus prestigieuses de France, furent conviés à endosser les costumes des personnages du temps.C’est la raison pour laquelle Eugène Lami dans le traitement de ses personnages accorde une importance égale au personnage historique et à la personne représentée. En haut à gauche de l’estampe, il fait ainsi figurer les armes historiques et à droite celles du participant. C’est ainsi que Marie Stuart, est représentée par la Duchesse de Berry, suivit de François II représenté par son « Altesse Royale Monseigneur le Duc de Chartres » portant tout deux les armes de France. Détail piquant, René de Mailly, officier de la Reine est représenté par Mr le Comte de Mailly son ancêtre, doublant ainsi les armes dans le médaillon central. Les quatre grandes planches suivant cette galerie de portraits représentent la montée des marches des personnages en costume, l’assemblée disposée autour du roi et de la reine, l’ouverture du bal, et dans trois bandeaux la pompe des entrées, des personnages et de leur suite. Très rare, l’ouvrage n’a été tiré qu’à quelques exemplaires offerts aux participants du Quadrille. Brunet, IV, col. 994 ; Colas, I, 1747 ; Mémoires de la comtesse de Boigne, t. I, 194-195. Beraldi n° 306-331
P., Le Club du meilleur livre, 1956, in-8° carré, (10)-300 pp, documents originaux traduits et présentés par Marcel Thomas, 21 gravures hors texte, sources, tiré sur bouffant de Bellegarde, reliure pleine basane chagrinée chocolat de l'éditeur ornée du blason des Stuart, gardes illustrées (maquette de Massin), bon état (Coll. Dossiers de l'Histoire)
Fait partie d'une collection unique en son genre de sept titres consacrés à des procès historiques célèbres avec Galilée, les Templiers, Jeanne d'Arc (deux volumes), Savonarole et Vidocq. – "Depuis quatre cents ans, tant d'ouvrages ont été publiés sur Marie Stuart qu'à peine en dresserait-on la liste. Ajouter un nouveau volume à cette imposante bibliothèque pourrait donc, à première vue, sembler assez superflu. Pourtant, s'il est vrai que peu de grandes destinées ont pareillement réussi à inspirer les dramaturges, à exciter l'imagination des foules et à provoquer les discussions passionnées des historiens, la figure de Marie Stuart n'en demeure pas moins enveloppée d'un certain halo de mystère. Pour la plupart des Français, ce nom évoque la romantique personnalité d'une jeune reine que sa beauté, son intelligence, sa sensibilité, et surtout son héroïsme devant la mort, auréolent de toutes les séductions. On se la représente en général comme la victime d'une impitoyable fatalité, contrainte par son veuvage prématuré à regagner une lointaine et inhospitalière patrie avant que la haine de ses ennemis ne lui fasse enfin, au terme d'une longue captivité, gravir les marches d'un échafaud. Aux yeux de bon nombre d'Anglais, en revanche, Marie Stuart apparaît tout autre : ils verraient volontiers en elle une aventurière intrigante et débauchée, n'hésitant pas, par fanatisme, à trahir les intérêts de son propre fils, prête au besoin à recourir au meurtre pour écarter de sa route des adversaires gênants. Notre intention n'est point, on s'en doute, de donner ici un aperçu d'ensemble sur la carrière si mouvementée et si dramatique de Marie Stuart. C'est seulement la catastrophe par laquelle s'acheva sa douloureuse existence dont nous voudrions faire saisir le mécanisme et les dessous secrets. Selon l'interprétation qu'il donnera aux documents présentés ici, le lecteur pourra y trouver des motifs de condamner ou d'absoudre la reine d'Écosse. Peut-être préférera-t-il s'abstenir de porter un jugement définitif, mais il aura au moins eu sous les yeux le dossier complet de l'affaire, non sans qu'y aient été jointes un certain nombre de pièces annexes qui contribuent à la replacer dans son véritable contexte. Ces documents n'ont certes pas été ignorés des historiens de Marie Stuart, mais, rédigés qu'ils étaient, pour la plupart, en anglais, en latin, ou en espagnol, et publiés le plus souvent dans des recueils familiers aux seuls érudits de profession, ils sont restés à peu près inconnus du grand public cultivé de notre pays..." (Avant-propos)
Paris Bataille libraire / Ladvocat 1820 Paris, Ladvocat, 1820. XVI, 184, 102 pp [catalogue]. Reliure de l’époque. Plein maroquin rouge à long grain, dos lisse orné de frises, filets et fleurons, pièce de titre en maroquin vert, encadrement doré sur les plats, filets dorés sur les coupes, toutes tranches dorées. Quelques frottements. REUNION DES DEUX ÉDITIONS FRANÇAISES PARUES EN 1820 DANS UNE TRÈS BELLE RELIURE DE L'ÉPOQUE. Marie-Stuart, tragédie en cinq actes par Frédéric Schiller, traduction de l'allemand et publiée par M. de Latouche, ; précédée de quelques réflexions sur Schiller, Marie-Stuart, et les deux pièces, allemande et française. Paris, Bataille Librairie, 1820. ÉDITION ORIGINALE FRANÇAISE. "Marie-Stuart est le chef-d'oeuvre de Schiller. Selon le sentiment du juge que nous invoquions tout à l'heure [Benjamin Constant], c'est de toutes les tragédies allemandes, le plus pathétique et la mieux conçue" Marie-Stuart, tragédie en cinq actes par M. Pierre Lebrun. Paris, Ladvocat Librairie, 1820. Deuxième édition de l'adaptation non annoncée par Pierre Lebrun de la tragédie de Schiller. Représentée pour la première fois par les comédiens ordinaires du Roi sur le premier Théâtre Français le lundi 6 Mars, le pièce connut un triomphe. "Le public pleura à chaudes larmes au spectacle de cette tragédie interprétée de manière bouleversante par Joséphine Duchesnois dans le rôle-titre et par Talma dans celui de Leicester. Le succès fut tel quil suscita une mode vestimentaire au printemps 1820, les élégantes arboraient un chapeau « à la Marie Stuart » ainsi quune véritable fièvre éditoriale autour de la reine dÉcosse". L'engouement contraignit quelque peu Lebrun à reconnaître sa source d'inspiration, certains confrères s'étant proposé "de soumettre la pièce que M. Le Brun vient de représenter, à un examen comparatif avec la tragédie de Schiller : le soin qu'il à pris lui-même d'avouer qu'il devait tout son succès à notre poète, nous dispense de répéter cette vérité." Cette adaptation est toutefois tronquée de "la plus touchante des scènes", celle de la confession. Très bel exemplaire dans une élégante reliure de l'époque en maroquin à long grain provenant de la bibliothèque de la chanoinesse et traductrice allemande Bernhardine von Wintgen (1789-1855) avec son nom frappé à l'or en français sur premier plat. Traductrice de l'anglais à l'allemand de plusieurs textes religieux, elle tint à Munster un salon littéraire fameux avec la poétesse Annette von Droste-Hülshoff. Bibliographie des traductions françaises, 7765 et 7766 Nicole Cadène. "Marie Stuart dans le théâtre de la Restauration : reine de France ou dÉcosse ? " - in, Figures de lhistoire de France dans le théâtre au tournant des Lumières 1760-1830, Voltaire Foundation, SVEC, pp.199-210, 2007. Couverture rigide
Edition originale
Paris - Paul Ducrocq - In-8 fin XIXe - Reliure - Dos cuir à 4 nerfs, titre et décors dorés - 1er plat : décor doré en incrustation, représentant les armoiries de la famille STUART, écoinçons - Tranche dorée - 10 compositions hors-texte par M. CAROLUS DURAN, gravées par MM. BRACQUEMOND & RAJON - Frontispice : portrait de Marie Stuart - 627 p. - Rous. d'usage aux 1ères p. - Correct
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Plon, 1933, in-12, 316 pp, nouvelle édition avec 8 gravures hors texte, cartonnage éditeur, état correct (Bibliothèque historique Plon)
"Lady Blennerhasset, déjà honorablement connue du public français par son magistral ouvrage sur Madame de Staël et son temps, vient de traduire le livre qu'elle a consacré à Marie Stuart et dont l'édition allemande a paru en 1907. Après les travaux plus considérables de Mignet et de Philippson, cette biographie, de dimensions plus restreintes, vient à son heure. Lady Blennerhasset connaît à fond la « littérature » de son sujet ; mais, pour écrire la vie de son héroïne, elle est allée droit aux sources, et c'est aux lettres de Marie Stuart, à la correspondance des agents diplomatiques anglais ou étrangers, aux Calendars of State Papers qu'elle a eu principalement recours pour démêler le réseau pas mal compliqué de négociations et d'intrigues qui s'est noué autour de la reine d'Écosse soit avant, soit pendant sa captivité. En suivant pas à pas les documents, en utilisant pour les contrôler les travaux de critique et de détail, elle a pu reconstruire l'histoire de Marie Stuart et en pénétrer le mystère. L'exposé est clair et précis, et complet quoique sommaire. Ce n'est qu'une esquisse, sans doute, mais qui ne laisse rien d'important dans l'ombre et fait saillir tout l'essentiel. Un autre mérite de ce petit livre, c'en est l'objectivité. Non seulement lady Blennerhasset s'est gardée de romancer les aventures déjà passablement romanesques et tragiques de la reine d'Ecosse ; non seulement elle a usé discrètement de la psychologie historique, mais elle a tâché de voir et de nous montrer Marie Stuart telle qu'elle a été, dans son temps et dans son milieu, sans parti pris d'apologie ou de dénigrement. Son jugement est toujours mesuré (voir ce qu'elle dit des lettres de la Cassette), juste de ton. Le récit se lit très agréablement et la langue est suffisamment correcte pour que l'auteur n'ait pas besoin de cette indulgence qu'elle réclame trop modestement dans les dernières lignes de sa préface." (Victor-Louis Bourrilly, Revue d’histoire moderne et contemporaine, 1909)