- 4 pages. 24 x 35 cm.
Reference : 16509
Quotidien. Journal des Debats Politiques et Litteraires, 8 octobre 1822.
Librairie et Cætera
Mme Sophie ROSIERE
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Le journal des débats, Paris Mars 1984, 18,5x26,5cm, agrafé.
Edition originale imprimée à petit nombre de ce tiré à part de la revue de Pierre Nora, Le Débat. Précieux envoi autographe signé de Maurice Blanchot à sa soeur "... pour toi, ce peu de lecture et pour t'aider à reprendre courage". Marguerite Blanchot, organiste de renom à la cathédrale de Chalon, demeura toute sa vie dans la maison familiale, avec sa mère et sa tante. "Elle deviendra peu à peu, pour la famille, comme la mémoire des origines." Très proche de Maurice, elle correspond régulièrement avec l'écrivain qui lui témoigne une grande reconnaissance pour son dévouement envers leur mère impotente. Si l'intense affection de Blanchot pour sa mère et sa soeur transparait dans les dédicaces de celui-ci, on ne sait presque rien de leur relations. Dans l'unique essai biographique sur Blanchot, Christophe Bident nous révèle cependant : "Marguerite Blanchot vénérait son frère Maurice. Très fière de lui, (...) elle attachait une grande importance à ses idées politiques (...). Elle lisait beaucoup (...) Ils se téléphonaient, correspondaient. A distance, ils partageaient la même autorité naturelle, le même souci de discrétion." Blanchot lui adresse en effet de nombreux ouvrages provenant de sa bibliothèque, maintenant avec elle un lien intellectuel continu. Quant à la passion de Blanchot pour sa mère, c'est au détour de son oeuvre que l'on en découvre les plus beaux témoignages: "Peut-être la puissance de la figure maternelle emprunte-t-elle son éclat à la puissance même de la fascination, et l'on pourrait dire que si la Mère exerce cet attrait fascinant, c'est qu'apparaissant quand l'enfant vit tout entier sous le regard de la fascination, elle concentre en elle tous les pouvoirs de l'enchantement".Cultivant une discrétion absolue, Blanchot poussait l'art de l'effacement jusque dans ses dédicaces manuscrites généralement succinctes et rédigées presque systématiquement sur des cartes jointes aux rares ouvrages qu'il offrait à ses proches amis. A l'opposé, dans ces précieux envois à sa mère et sa soeur, Blanchot s'offre dans toute sa fragilité et, dans l'intimité de cette correspondance, porte sur son oeuvre un regard personnel jusqu'alors inconnu. Une petite déchirure en tête du dos. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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R110428466. Bureau de la revue. Non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Quelques gravures en noir et blanc dans et hors texte. Texte en colonnes.. . . . Classification Dewey : 920-Biographie générale et généalogie
Sommaire : Bertin l'ainé (1766-1841) - La famille Bertin, Le journal des débats de 1789 à 1800, Bertin l'ainée, Ses débutsde journaliste, L'éclair, Bertin achète les débats, Les Bertin et le journal des débats sous le consulat et l'empire, Le journal de l'empire Classification Dewey : 920-Biographie générale et généalogie
Reference : 4538
Paris, Imprimerie de Le Normant, 1815. 37 x 23,5 cm. Deux volumes reliés demi-chagrin noir, reliures usées mais encore solides, coiffe du tome I arrachée. Intérieur en bon état. Certains numéros sont imprimés sur papier bleu. Tome I, du 1 janvier 1815 au 18 juin 1815 (manquent les numéros du 20 mars et du 16 mai). Tome II, du 12 juillet 1815 au 31 décembre 1815 (manquent les numéros des 11 et 26 août). Au moment de la Première Restauration, le journal prend le titre de Journal des débats politiques et littéraires (1er avril 1814). Redevenu Journal de l'Empire pendant les Cent-Jours du 21 mars au 7 juillet 1815, il est de nouveau appelé Journal des débats politiques et littéraires de 1815 à 1944.
Journal fondé en août 1789 par Gaultier de Biauzat, Huguet et Grenier, qui constitue une source documentaire de premier plan, « quelquefois plus complète et plus exacte que le Moniteur lui-même » (Hatin, Presse périodique). Il donne le compte rendu des discussions législatives et des actes de l'autorité.Le journal a réussi à vivre sous tous les régimes grâce à l'habileté des frères Bertin qui le rachetèrent en 1799. Sous Napoléon Ier il devint le Journal de l'Empire avec Fiévée pour rédacteur et censeur, puis en 1811 l'Empereur le confisqua complètement. Lors de la première Restauration, Bertin rentra en possession de son journal et se rallia à l'Empereur durant les Cent Jours, puis à Louis XVIII après Waterloo.
Reference : 4540
Paris, Imprimerie de Le Normant, 1816. 37 x 23,5 cm. Relié demi-chagrin noir, reliure usée mais encore solide, coiffe inf. arrachée. Intérieur en bon état. Certains numéros sont imprimés sur papier bleu. Complet du 1 janvier 1816 au 30 juin 1816. Au moment de la Première Restauration, le journal prend le titre de Journal des débats politiques et littéraires (1er avril 1814). Redevenu Journal de l'Empire pendant les Cent-Jours du 21 mars au 7 juillet 1815, il est de nouveau appelé Journal des débats politiques et littéraires de 1815 à 1944.
Journal fondé en août 1789 par Gaultier de Biauzat, Huguet et Grenier, qui constitue une source documentaire de premier plan, « quelquefois plus complète et plus exacte que le Moniteur lui-même » (Hatin, Presse périodique). Il donne le compte rendu des discussions législatives et des actes de l'autorité.Le journal a réussi à vivre sous tous les régimes grâce à l'habileté des frères Bertin qui le rachetèrent en 1799. Sous Napoléon Ier il devint le Journal de l'Empire avec Fiévée pour rédacteur et censeur, puis en 1811 l'Empereur le confisqua complètement. Lors de la première Restauration, Bertin rentra en possession de son journal et se rallia à l'Empereur durant les Cent Jours, puis à Louis XVIII après Waterloo.
P., Bloud et Gay, 1915, in 12 broché, 160pp. ; qq. passages soulignés au stylo ; couverture défraichie.
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