Couverture souple. Broché. 128 pages. Abondamment souligné au crayon.
Reference : 146532
Livre. Editions P.U.F (Collection : Que sais-je? N° 1002), 1969.
Librairie et Cætera
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1926 HACHETTE Histoire de France racontée 1926 IN8 1/2 chagrin dos lisse orné ;tete dorée ,319p.;
bon exemplaire
HACHETTE Histoire de France racontée 1926 IN8 br.;319p.;
Paul Thureau-Dangin (1837-1913) était un historien et homme politique français. Il a étudié l'histoire politique et sociale de la France, en particulier la période de la Monarchie de Juillet (1830-1848). La Monarchie de Juillet fait référence à la période pendant laquelle le roi Louis-Philippe Ier régnait en France, succédant à la Révolution de Juillet 1830. Sous la Monarchie de Juillet, l'équilibre entre l'Église et l'État était une question importante. La Charte de 1830, qui établissait le cadre politique du régime, garantissait la liberté de religion et reconnaissait le catholicisme comme la religion majoritaire en France. Cependant, la monarchie cherchait à maintenir un certain contrôle sur l'Église afin de prévenir l'influence politique excessive de celle-ci. Paul Thureau-Dangin, dans ses travaux historiques, a examiné comment cette relation entre l'Église et l'État s'est développée sous la Monarchie de Juillet. Il a pu analyser les tensions entre les autorités civiles et religieuses, les débats sur les questions religieuses et les politiques adoptées pour maintenir un certain équilibre. Il est important de noter que la période de la Monarchie de Juillet a été marquée par des tensions politiques et sociales, et la question de la relation entre l'Église et l'État faisait partie intégrante de ces débats. Thureau-Dangin et d'autres historiens ont contribué à documenter et à analyser cette période complexe de l'histoire française. Table. La réaction religieuse aux débuts de la Monarchie de juillet (1830-1841) - Le gouvernement et le mouvement catholique - Les catholiques et les premières luttes pour la liberté de l'enseignement ( 1831-1844) - Les défenseurs du monopole et la diversion tentée contre les jésuites - La politique religieuse du gouvernement et le projet de loi de 1844 - La question des jésuites à la chambre des députés et à la cour Romaine - Les dernières années de lutte ( 1845-1848) Complet, volume relié, demi cuir, 180x120, très bel état intérieur, 497pp. Paris, Plon, 1880. Edition Originale ref/193
PUF, 1968, 2 vol. gr. in-8°, xxxvi-441 et 461 pp, 2 planches d'illustrations et un plan dépliant hors texte, biblio, index, brochés, bon état
"Parmi les grandes villes françaises d'aujourd'hui, Brest est l'une des plus jeunes. Créée par la monarchie absolue dans une position stratégique exceptionnelle, cette ville de guerre est liée aux vicissitudes de la politique navale d'un peuple qui prête intérêt aux choses de la mer d'une façon épisodique. Sous la Monarchie de Juillet, la marine française, composée essentiellement de navires à voiles, se trouve dans une situation médiocre. Malgré ces déficiences, l'entretien des navires nécessite la présence d'un arsenal qui constitue alors l'entreprise industrielle la plus considérable de France. Autre singularité brestoise : la ville forme une colonie en marge de la Bretagne et apparaît comme un îlot linguistique français au milieu des populations bretonnantes. La découverte d'un journal manuscrit rédigé par un employé des finances d'opinions légitimistes, Jean-François Brousmiche, a incité l'auteur à observer la vie et la mentalité de la bourgeoisie brestoise sous la Monarchie de Juillet. Le deuxième volume de la thèse d'Yves Le Gallo contient la publication intégrale des vestiges de ce document, c'est-à-dire du registre consacré aux années 1844 et 1845. Les noms des 270 brestois cités dans ce journal ont suggéré à l'auteur des notes très riches et un premier volume qui font revivre les bourgeoisies militaire et civile du grand port de guerre. Son origine sociale et sa profession font de Brousmiche un témoin moyen. Ses convictions légitimistes le rendent assez critique à l'égard de ses concitoyens devenus en majorité orléanistes. Yves Le Gallo a su exploiter cette excellente source pour retracer un tableau très vivant de cette bourgeoisie brestoise « passionnée d'argent et férue de Légion d'Honneur », qui « communie dans l'admiration de la rente et du galon ». (...) A partir des observations de Brousmiche, une grande partie de la thèse est consacrée à un monde encore peu étudié, celui de la marine : officiers, marins, fonctionnaires, fournisseurs, bagnards retiennent successivement notre attention..." (Y.-M. Hilaire, Revue d'histoire de l'Église de France, 1971)
Paris, E. Dentu [Imprimerie de L. Tinterlin], 1861 in-8, 32 pp., broché sous couverture imprimée.
Réponse anonyme, mais quasi-officielle, à la brochure du duc d'Aumale, publiée la même année, et intitulée Lettre sur l'histoire de France adressée au prince Napoléon. Le fils de Louis-Philippe y répliquait vivement au prince Jérôme Napoléon, cousin de Napoléon III, qui, dans un discours au Sénat le 1er mars, avait attaqué les membres des familles royales accusés de trahir "leur drapeau, leur cause et leur prince pour se faire une fallacieuse popularité personnelle". La brochure fut saisie, l'éditeur et l'imprimeur condamnés. La liberté était en revanche complète pour les contradicteurs. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT