Couverture souple. Broché. 17 x 24 cm. 78 pages. Légèrement défraîchi.
Reference : 118129
Livre. Couverture illustrée. Editions Flammarion (Collection : Select- N° 316), 1931.
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(Paris, Béthune et Plon), sans date ( 1834) ; 1 volume in-4°, demi-toile verte, dos lisse, filet à froid, titre doré; ex-libris étiquette orné à l' intérieur du 1er plat "Remy Soulat, Issoudun" et cachet à froid et ex-libris manuscrit " Stanislas Martin Pharmacien "; 200pp.Texte encadré d'un triple filet noir à chaque page, vignette sur bois de Porret répétée en tête de chaque livraison ( 24).Le premier feuillet "Prospectus-Introduction" et les 4 derniers feuillets sont jaunis, sinon rares piqûres et quelques petites taches rousses.
Bon exemplaire de la toute première édition, non illustrée, de cette Némésis Médicale, en 2 séries de 12 livraisons (200pp), parue sans date, chez Béthune et Plon. La première livraison est enregistrée dans la Bibliogr. de la France du 16 mai 1834 et la dernière est signée F. Fabre, Phocéen ( Cf. Vicaire III. 642). Notre exemplaire est enrichi d'une longue Poésie autographe signée du Pharmacien Stanislas Martin "Le Char de Triomphe de la Rue de l' Arbalète", sur le ton satirique de la Némésis, mettant en scène médecin, pharmacien et politicien du temps ( rédigé sur les 2 gardes blanches de la fin de l'ouvrage, 1p.1/2 in-4 ). ( Reu-CH1 )
1840 Paris, au bureau de la Némésis médicale, 1840; 2 tomes petits in-4 reliés en 1 volume, de XXXIIpp. (faux-titre, titre orné,préface et "mot de l'auteur") - 278pp. - (1) f. blanc ; 360pp. (y compris faux-titre et titre). Reliure demi-basane fauve de l'époque, dos lisse orné en long de larges fleurons dorés, titre et auteur dorés. 30 vignettes par Daumie dans le texte. Premier tirage des illustrations (cf. Vicaire III - 641).
Ving-cinq satires en alexandrins de l'auteur pour décrire le concours, l'académie de médecine, le choléra-morbus, la patente et le droit d'exercice, les funérailles de Dupuytren, Orfila, les étudiants en médecine, le réveil, l'école, l'homéopathie, les professeurs, les charlatans, les hôpitaux et les cliniques, les responsabilités, les pharmaciens, l'institut, les lazarets, les quarantaines, etc…, chaque satire est suivie de notes de l'auteur et illustrée de vignette, entête, cul-de-lampe par Daumier. Reliure légèrement frottée, rousseurs inégales, mais bon exemplaire. (Reu-Bur)
1819 1 vol in-8 -1970 - revue hebdomadaire - Pleine reliure à l'imitation du cuir - Ex-libris Gaston Bevilacqua
Bel état de conservation
Bernard Grasset, 1926. In-12 broché, mention " Exemplaire d'archives " au dos, 314 pages. Véritable édition originale tirée à 50 exemplaires numérotés (n° 8) " pour les archives de la maison Grasset ".Edition inconnue des bibliographes de Louis Hémon. Après le succès immense de Maria Chapdelaine, qui remit sa maison à flot, Bernard Grasset entreprit de publier 4 romans inédits de Louis Hémon. Furent ainsi édités : " La belle que voilà " en 23, " Colin-Maillard " en 24 et " Battling Malone, pugiliste " en 26. Cette même année 26, Grasset lance l'impression de " Mr Ripois et la Némésis " mais ne peut obtenir l'accord de la famille pour sa publication à laquelle il doit finalement renoncer. Pour autant, l'éditeur numérote sur papier d'édition 50 exemplaires dit d’archives, dont on ne sait ce qu'il advint.Jean Bothorel, le biographe de Grasset, paraît lui aussi ignorer l'existence de ces exemplaires et reproduit sans commentaire ce propos de l'éditeur : " Je gardai en réserve un autre écrit de Louis Hémon, de la même époque que " Colin-Maillard " : " Mr Ripois et la Némésis ". En ayant revu le texte en 1952 [en réalité 1950], je publiai l'ouvrage dans les "Cahiers verts'". J'attendais là un triomphe, ce fut un autre échec et il fallut que l'oeuvre fut mise à l'écran pour que le vulgaire s'en saisît et en fît un succès. " (Bernard Grasset, Grasset, 1989, page 154). Exemplaire en parfait état.
Paris, Imprimerie de David, 1831-1832. Prospectus et 52 livraisons reliés en 1 vol. in-4, demi-vélin, entièrement non rogné (reliure de l'époque).
Collection complète. Curieuse revue entièrement rédigée en vers par Barthélémy avec l'aide de Méry Chaque numéro compte 200 vers, soit 11000 vers au total. Barthélémy, mécontent de la pension versé par Louis-Philippe, au lendemain de la Révolution de 1830, irrité du maigre prix auquel on cotait ses louanges, se fit républicain et fonda Némésis dans laquelle il flétrit tous les actes du nouveau gouvernement.Maxime Du Camp, dans ses Souvenirs littéraires (I, 116), nous révèlent : « J'ai appris, il y a une quinzaine d'années peut-être, sur la Némésis, un détail ignoré et qu'il est bon de faire connaître. Malgré son extrême facilité et quoiqu'il fut aidé par Méry, Barthélémy ne suffisait pas au labeur qu'il avait assumé, et il ne parvenait pas toujours à composer une satire par semaine. Il avait de mystérieux collaborateurs parmi les jeunes gens qui cherchaient à faire leur trouée dans le monde des lettres ou ailleurs. Un de ceux dont il utilisait le plus volontiers et dont il achetait les vers était un homme de chétive apparence, maigrelet, au dos voûté, au visage énergique et ravagé, qui se faisait appelé Gaillard. Or ce nom de Gaillard était un pseudonyme, le vrai nom était Lacenaire ».Le prospectus est daté du 27 mars 1831. Exemplaire complet du supplément à la seizième livraison. Hatin, 380.