- Partition. 2 pages.
Reference : 101205
Partition. Revue Mame (Collection : Supplément au N° 29), 1895.
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Edition originale rarissime complète du troisième volume qui présente la célèbre « Élégie pour Monsieur Foucquet » de Jean de La Fontaine. A Paris, chez Pierre Le Petit, Imprimeur et Libr. Ordinaire du Roy, 1671. Avec privilège de sa Majesté. 3 volumes in-12 de : (16) ff., 418 pp. ; (6) ff., 414 pp. ch. 424, (4) ff., correction manuscrite p. 65 ; (4) ff., 368 pp. Frontispice gravé non signé, en tête de chaque volume. Plein maroquin rouge janséniste, armoiries frappées or au centre des plats, dos à nerfs, filets or sur les coupes, roulette intérieure, tranches dorées. Reliure signée Martin Held. 153 x 88 mm.
Edition originale rarissime complète du troisième volume qui présente la célèbre « Élégie pour Monsieur Foucquet » de Jean de La Fontaine. Ce « Recueil est composé avec goût et renferme plusieurs morceaux qu’on chercherait vainement ailleurs ». (Brunet). « Fouquet, dans le moment de sa plus grande fortune, et, à ce qu’il croyait, de sa plus haute faveur, fut arrêté à Nantes le 5 septembre 1661, c’est-à-dire dix-neuf jours après avoir donné à Louis XIV et à toute sa cour une fête splendide dans son superbe château de Vaux. Les rigueurs du roi à son égard firent craindre qu’on eût le dessein de le faire périr. La Fontaine s’adresse dans cette élégie aux nymphes de Vaux ; il leur confie ses douleurs sur le malheur de son ami, et il les supplie de fléchir le roi en faveur de celui qui a embelli leurs demeures avec tant de magnificence. Cette Élégie fut publiée d’abord dans le Recueil de quelques pièces nouvelles et galantes, Cologne, 1667, in-12, t. II, p. 195 avec ce titre : Pour le malheureux Oronte ; ensuite dans les Fables nouvelles et autres poésies de M. de La Fontaine, 1671, in-12, p. 105, avec ce titre : Pour M. F. ; et enfin dans le Recueil de poésies, 1671, t. III, p. 340, avec ce titre : Pour Monsieur Fouquet. « Élégie. Pour M. Fouquet. Remplissez l’air de cris en vos grottes profondes ; Pleurez, Nymphes de Vaux, faites croître vos ondes ; Et que l'Anqueuil enflé ravage les trésors Dont les regards de Flore ont embelli ses bords. On ne blâmera point vos larmes innocentes ; Vous pouvez donner cours à vos douleurs pressantes ; Chacun attend de vous ce devoir généreux : Les Destins sont contents, Oronte (Fouquet) est malheureux. Vous l'avez vû naguère au bord de vos fontaines, Qui, sans craindre du Sort les faveurs incertaines, Plein d'éclat, plein de gloire, adoré des mortels, Recevait des honneurs qu'on ne doit qu'aux autels. Hélas qu'il est déchu de ce bonheur suprême ! Que vous le trouveriez différent de lui-même ! Pour lui les plus beaux jours sont de secondes nuits : Les soucis devorans, les regrets, les ennuis, Hôtes infortunés de sa triste demeure, En des gouffres de maux le plongent à toute heure. Voilà le précipice où l'ont enfin jetté Les attraits enchanteurs de la prospérité ! Dans les palais des Rois cette plainte est commune, On n'y connaît que trop les jeux de la fortune, Ses trompeuses faveurs, ses appâts inconstants ; Mais on ne les connaît que quand il n'est plus temps. Lorsque sur cette mer on vogue à pleines voiles, Qu'on croit avoir pour soi les vents & les étoiles, Il est bien malaisé de régler ses désirs ; Le plus sage s'endort sur la foi des Zéphirs. Jamais un favori ne borne sa carrière ; Il ne regarde point ce qu'il laisse en arrière ; Et tout ce vain amour des grandeurs & du bruit, Ne le saurait quitter qu'après l'avoir détruit. Tant d'exemples fameux que l'histoire en raconte, Ne suffisaient-ils pas, sans la perte d'Oronte (Fouquet) ? » « Ce Recueil de Poésies composé par Loménie de Brienne contient 24 pièces de La Fontaine : l’Épitre au prince de Conty, la Paraphrase du psaume XVII, dans le Tome I : l’Élégie pour Fouquet, une Ode au Roy, quatre fragments de Psyché, et 16 fables dans le tome III. L’achevé d’imprimer est du 20 décembre 1670. On trouve souvent le 3ème volume séparément. » (Tchemerzine). « Cette édition formée par Henri Loménie de Brienne ou Lucile Hélie de Brèves, suivant son pseudonyme, contient 24 pièces de La Fontaine. Au tome I, l’Épitre au prince de Conty et (pp. 413 à 418) la paraphrase du psaume XVII ; au tome II, aucune pièce ; au tome III (pp. 340 à 368), l’Élégie pour Fouquet, une ode au Roy, quatre fragments de Psyché et seize fables. – Le Tome II a le même titre que le tome III, sauf la virgule qui suit rue Saint Jacques et contient, dans les deux derniers feuillets, un privilège portant les dates du premier. Il faut reconnaître que La Fontaine y est le plus favorisé des auteurs par le nombre de ses pièces. M. P. P. Plan, dans un article du Mercure de France : Un texte non cité de La Fontaine (Tiré à part : Paris, Champion, 1903. Pièce in-8), lui attribue même la Préface du tome I. Les bibliographes semblent aussi, en disant que le tome III est rare à trouver avec les deux autres, en faire une édition séparée, ne veulent-ils pas parler plutôt du tome qui seul porte le titre de Poésies chrestiennes ? » (Rochambeau). Précieux exemplaire provenant des bibliothèques de Louis XIV (1638-1715) avec son chiffre entrelacé frappé au pied du feuillet de titre de chacun des trois volumes ; Pierre Michel Marie Double, évêque de Tarbes avec ses armoiries sur les plats ; Léopold Double (1812‑1881) ; baron Lucien Double (1848-1895) avec son ex-libris. Le baron Lucien Double (1848-1895) a été élevé au milieu des livres de la bibliothèque de Louis XIV que son père, Léopold, avait acquise en 1848. Ses deux centres d’intérêt étaient les livres de provenance royale ou princière et les livres d’une haute curiosité bibliographique (incunables, etc.). Sa bibliothèque fut dispersée à Paris en 1897.
Paris, Éditions Regard, 1978. In-folio, en feuilles, chemise-étui de toile brune de l’éditeur.Les Élégies majeures de Senghor sont composées de six chants : Elégie des Alizés, Elégie pour Jean-Marie, Elégie pour Martin Luther King, Elégie de Carthage, Elégie pour Georges Pompidou et Elégie pour la Reine de Saba. D'abord publiées séparément en 1978 aux Éditions Regard, chacune illustrée par un artiste différent, elles seront ensuite intégrées en 1979 dans le dernier recueil du poète.Ce 6e et dernier chant pour la Reine de Saba est illustré par Étienne Hajdu d’une gravure originale, signée au crayon par l'artiste, et 13-culs-de-lampe originaux sur linoléum.Tirage à 200 exemplaires, signés par l’auteur et l’artiste.
avec des gravures sur bois originales de Carlègle recueil poétique qui incarne la quintessence de la poésie lyrique et amoureuse de la Renaissance française. Cette œuvre emblématique a été écrite par le poète Pierre de Ronsard, originaire de la ville de Vendôme, et est dédiée à l'amour de sa vie, Marie. Le recueil est composé d'une série d'élégies, un genre poétique particulièrement prisé à l'époque de la Renaissance. Ces élégies sont des poèmes lyriques et expressifs qui expriment les émotions les plus intimes de l'auteur, en l'occurrence son amour passionné pour Marie. Chaque élégie est une déclaration d'amour sincère et ardente, explorant les sentiments profonds et les tourments du cœur. Le langage poétique de Ronsard est riche et enchanteur, caractéristique de la poésie de la Renaissance. Il utilise des métaphores élaborées, des images vibrantes et des sonorités musicales pour créer des vers qui touchent profondément le lecteur. Les poèmes capturent la beauté, la grâce et la perfection de Marie, élevant son être au statut de muse et d'idéal féminin. Outre son aspect amoureux, "Élégie à Marie" peut également contenir des éléments religieux, philosophiques ou moraux. La poésie de Ronsard est souvent teintée de symbolisme et d'allusions à la mythologie, à la religion chrétienne et à d'autres éléments culturels de l'époque, ce qui ajoute une dimension intellectuelle à ses écrits. En somme, "Élégie à Marie par Pierre de Ronsard Vendômois" est un recueil poétique incontournable de la littérature française de la Renaissance. Il offre une plongée fascinante dans l'univers romantique et lyrique de Ronsard, où l'amour et la beauté de Marie sont célébrés avec une intensité émotionnelle et une finesse poétique remarquables. C'est une œuvre qui continue de fasciner les lecteurs par sa puissance émotionnelle et sa beauté intemporelle. Exemplaire non justifié sur vélin d'Arches, tirage limité à 390 exemplaires. volume in-8 broché 28x18, sous couverture rempliée, couverture cristal, en feuillets libres non coupés, parfait état. Paris, chez l'Imprimeur Léon Pichon 1920 ref/15
Paris Galerie Jeanne Bucher 1986 Paris, Galerie Jeanne Bucher, 1986. 12 feuillets . Sous chemise muette. Taches en marge du 4ème de couverture. ÉDITION ORIGINALE de cette élégie écrite après la mort tragique de son fils,Philippe-Manguilien Senghor, dans un accident de la circulation.Élégie pour orchestre de jazz et choeur polyphoniqueillustrée de trois gravures originales de Viera da Silva : soudainement, la terre, le ciel . TIRAGE UNIQUE À 72 EXEMPLAIRES SUR JAPON NACRÉ signés par l'auteur et l'artiste. Émouvant envoi autographe signé : "À Marie Thérèse Seguin en la remerciant de toutes les gentillesses qu'elle a eues pour notre Philou et en lui disant nos pensées affectueuses. Senghor " L'ouvrage est truffé d'une carte de remerciements imprimée de la Présidence de la République Sénégalaise, modifiée par l'épouse du Président, Colette Senghor, et signée par les deux époux. L'une des belles réalisations de la Galerie Jeanne Bucher reproduisant le texte manuscrit et sa version typhographique
Edition originale Signé par l'auteur