Jules Romains (1885-1972) écrivain français, académicien Carte de visite autographe 1 f. cartonné, 1ligne autographe manuscrite : "avec ses meilleurs compliments" 8,5x6,2cm [Paris], sans date encre bleue Marque de trombone
Reference : DMI-1261
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Paul Mariéton (1862-1911) Chancelier du Félibrige, écrivain français de langue provençale
Reference : DMI-1015
(1899)
Paul Mariéton (1862-1911) Chancelier du Félibrige, écrivain français de langue provençale Carte de visite autographe signée à Léon DAUDET Le Saix [Hautes Alpes], 29 septembre 1899 Importante carte de visite autographe signée du Félibrige Paul Mariéton à Léon DAUDET l'invitant, à l'initiative de de Brancovan à la Villa Bassaraba à Amphion. Jusqu'en 1916, année où le frère d'Anna de Noailles, Constantin, hérite de la propriété Bassaraba et du jardin de son enfance, les Brancovan invitent Henry Bordeaux, Maurice Barrès, Frédéric Mistral, les Polignac, les Chimay, François Mauriac, Marcel Proust dans ce lieu de villégiature très prisé. Il évoque également une réunion du Félibrige à la Grand-Combe "avec la jeune reine Marie-Thérèse de Chevigné et Frédéric Mistral. L'écriture de Mariéton n'est pas toujours évidente à déchiffrer mais nous avons pu au moins tirer ces informations de cette précieuse carte de visite. Envoi soigné.
S.n., Paris 16 mars 1893, 10,4x6,3cm, une carte de visite et son enveloppe.
Carte de visite autographe signée de Stéphane Mallarmé adressée à Alidor Delzant. Enveloppe jointe. ?Alidor Delzant fut avocat, collectionneur et bibliophile. Ami des Goncourt, il leur consacra un ouvrage et fut le secrétaire et légataire testamentaire d'Edmond. "Que je suis aux regrets, d'avoir manqué votre aimable visite ; à l'une de mes premières sorties après une indisposition ! et j'en veux au beau temps qui me tenta dehors." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Sommières 2 février 1979, 12,7x8,1cm, une carte de visite sous enveloppe.
Carte de visite autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Quelques lignes à l'encre. Enveloppe jointe. L'encre a légèrement bavée, l'enveloppe ayant sans doute été mouillée. L'écrivain adresse cette carte depuis Sommières, sa retraite languedocienne, à son amante Janine Brun : "Janine est-ce que vos dates sont fixés [sic] ? Je ne sais pas si je suis de retour de Londres avant le 10 samedi - écris moi pour me dire - Love, Larry" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 10 Avril 1889, 10x6cm, une carte de visite + une enveloppe.
Carte de visite imprimée d'Alphonse Daudet sur laquelle il a ajouté ces quelques mots à l'attention de son ami le journaliste Philippe Gille à propos de sa bienveillante publicité qu'il a consacrée à l'ouvrage récemment publié de sa femme Julia : "Ma femme te remercie d'avoir si bien et si à propos lancé sonpetit livre. Moi, je te félicite de la jolie tournure que tu as donné à ce très spirituel et bien sensé petit spectacle de présentation. Remercie Magnard pour le ménage. Ton A.D." Enveloppe jointe comportant une déchirure en raison de l'ouverture du pli postal, une date inscrite en marge du verso de la carte, probablement celle de la réception de la carte. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Carte de visite autographe imprimée à son nom. Quelques mots à l’occasion de vœux. On joint une seconde carte de visite autographe signée de son monogramme d’Eugène RITT (1817-1898) en tant que directeur de l’Académie Nationale de Musique.