Paris: Imprimé pour les Souscripteurs par Frazier-Soye, 1922 gr. in-8, 266 pages, illustrations, bandeaux et culs de lampe par J. Plassard, A. Aignan, S. de Solomko. Un des 470 exemplaires sur Vélin d'Arches. Broché (dos bruni et lég. défraichi). Curieux ouvrage de poèmes et figures ésotériques.
Reference : 1143963
Hymnaire de ma parèdre. (Paris: Imprimé pour les Souscripteurs par Frazier-Soye, 1922). [M.C.: ésotérisme, religions]
Librairie - Galerie Eburnea
M. J. M. Rostoker
Treichville BP 2688
05 Abidjan
Côte d'Ivoire
Conditions de vente conformes aux usages de la librairie ancienne et moderne. Les prix sont nets, frais de port à la charge de l’acheteur. Règlement par virement. Expédition après réception du paiement.
Albert L. CAILLET. Hymnaire de ma Parèdre. 1922, Frazier-Soye, Paris. 1 vol. grand in-8 broché de 264 pages. Frontispice et nombreuses illustrations ésotériques, cabalistiques , théosophiques, égyptiennes, etc. Hors-texte, en bandeaux et culs de lampe. Tiré a 500 exemplaires, celui-ci, un des 470 numérotés sur Vélin d'Arches. Adoration à l'Éternel - Advaita - Hymne d'Izdou-Bah , prêtre d'Ammon-Ra - Hymne kabbalistique à Saturne - Hiéroglyphe du microcosme - Gayatri - Les sept hymnes des chakras - suramour , transsubstantiation - Les trois marches de l'escabeau magique - Initiations : hindoue , égyptienne , soufi , grecque , hébraïque , chrétienne , chinoise , Rose Croix , etc... Bon état, un cahier du centre légèrement distendu. Assez bon
in 8 broché, couverture rempliée. Faux-titre, frontispice, titre, 264 pages, illustrations. Chez Frazier Soye à Paris le 20 mai 1922. Un des exemplaire n°144 sur vélin d’Arches deuxième grand papier après seulement 30 japon. Ce volume Composé en Tory Gramont a été achevé d’imprimer le 20 mai 1922. Collaborateurs : illustrations de Mademoiselle Jeanne PLASSARD- Mademoiselle Agnès AIGNAN. M Serge de SOMKO. Ensemble de l’ouvrage Baronne G de CONDE- Mme M. GARIN- Mme J. ELIE. Edition originale. Très bon état. Etude de religions comparées : initiation indoue-grecque-egyptienne-gonstique-hébraïque-qabale-chréteinne-chinoise-soufi- rose croix- avec interprétation de l’image- Mantra- Dualité- pôles- trinité-magie- devises-
Paris, Imprimé pour les Souscripteurs par FRAZIER-SOYE, 1922, 1 volume in-4 de 260x170 mm environ, 264 pages, broché sous couverture rempliée illustrée. Exemplaire N° 310/500, un des 470 sur Vélin d'Arches. Illustrations en noir par J. Plassard, A. Aignan, et S. de Solomko. Couverture insolée avec taches et plis sur le dos, petites mouillures dans les marges, quelques rousseurs, mors internes fragiles, haut et bas du dos émoussés, un petit accroc sur un mors .
Etude de religions comparées comportant des transcriptions d'hymnes, de rituels, de textes extraits des principales traditions du monde. Entre autres : « L'hymne kabbalistique à Saturne », « Une Initiation hébraïque à la Qabale »Albert Louis Caillet (1869-1928?). Ingénieur civil. A partir de 1908, se consacre uniquement à l'étude des sciences psychiques. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris. Imprimé pour les souscripteurs par Frazier-Soye. 1922. Grand in-8° broché. Couverture rempliée. Nombreuses planches hors texte, vignettes, bandeaux. 264 pages. E.O. 1/470 sur vélin d'Arches, seul tirage avec 30 exemplaires sur japon. Très bel exemplaire.
Où l'on constate que l'intérêt de Caillet pour les sciences psychiques et les " singularités et aberrations de tout ordre " n'était pas seulement bibliographique, mais qu'il contribua lui-même à leur prospérité. " Sans Nom, sans Forme, Source de tout Nom comme de toute Forme, UN, sans second, à Toi, UNIQUE, adoration il de la Conscience, éternel Témoin, seul Être de tous les Êtres, Point fixe de l'Univers, Inconnaissable, encore Hommage à TOI Principe de tout, qui es en tout : à la fois Néant Divin, Être en soi, Lumière et Ténèbres, Infini et Fini, la raison vaincue T'adore sans espoir de jamais Te saisir. () Suprême Vibration, Diapason de l'Univers, Tout-Être et Tout-Non-Être, comment, ô Divinité du Vide, es-Tu en nous, Humanité ? " (Oberlé, 88).