Libretto, 2010. In-12 broché, couverture illustrée. En belle condition.
Reference : 7508
Préface de Benoîte Groult. Contient un poème inédit, Les Réformateurs. "En dix-neuf poèmes assassins, publiés en 1916 dans Vanity Fair et réunis ici sous le titre évocateur d'Hymnes à la haine, Dorothy Parker n'épargne rien ni personne. Tout y passe : les maris, qu'elle dit haïr car "ils lui bouchent la vue", les femmes, la famille, qui lui "donne des crampes d'écriture", le théâtre, les livres, les films, les fêtes... Féroce, drôle et d'une incroyable modernité, la plume de Dorothy Parker libère les frustrations et permet l'exultation de la rage et la formulation de ce qui devrait être tu." * La librairie la Bergerie est en plein déménagement - Nous ne sommes donc plus en mesure d’expédier certains livres dans l'immédiat. Si le livre qui vous intéresse est disponible immédiatement, une remise de 10% sera accordée jusqu'à fin décembre - Si ce n'est pas le cas et que vous n’êtes pas pressés, vous pouvez passer commande et, dès que les livres seront à nouveau accessibles, nous traiterons vos demandes, avec une remise de 20% pour vous remercier de votre patience *
La Bergerie
Mme Aline Berger
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2002 Collection " D'aujourd'hui, étranger " / Phébus (2002) - 1° édition française - In-8 broché de 110 pages - Couverture illustrée d'une photo noir et blanc de Sam Schafler - Traduit de l'américain par Patrick Reumaux - Préface de Benoîte Groult - Exemplaire à l'état neuf
En dix-neuf poèmes assassins, publiés en 1916 dans Vanity Fair et réunis ici sous le titre évocateur d'Hymnes à la haine, Dorothy Parker n'épargne rien ni personne. Tout y passe : les maris, qu'elle dit haïr car "ils lui bouchent la vue", les femmes, la famille, qui lui "donne des crampes d'écriture", le théâtre, les livres, les films, les fêtes... Féroce, drôle et d'une incroyable modernité, la plume de Dorothy Parker libère les frustrations et permet l'exultation de la rage et la formulation de ce qui devrait être tu. Ecrivain et chroniqueuse, Dorothy Parker (1893-1967) fut, durant l'entre-deux-guerres, une des plumes les plus redoutées de la scène critique et intellectuelle new-yorkaise. Elle fut l'amie des Fitzgerald, de Dos Passos, Hemingway, Gertrude Stein, ou de Louise Brooks et mourut seule dans un hôtel de Manhattan. Elle avait proposé pour son urne funéraire l'épitaphe : "Pardon pour la poussière"