Actes Sud, 1989. In-12 broché, couverture couleurs.
Reference : 22796
* La librairie la Bergerie est en plein déménagement - Nous ne sommes donc plus en mesure d’expédier certains livres dans l'immédiat. Si le livre qui vous intéresse est disponible immédiatement, une remise de 10% sera accordée jusqu'à fin décembre - Si ce n'est pas le cas et que vous n’êtes pas pressés, vous pouvez passer commande et, dès que les livres seront à nouveau accessibles, nous traiterons vos demandes, avec une remise de 20% pour vous remercier de votre patience *
La Bergerie
Mme Aline Berger
Paiement par virement bancaire en francs suisses ou en euros (sans frais). Les paiements par PayPal ne sont plus acceptés, suite à un différend qui nous a décidés à nous passer de leurs services. Les livres sont expédiés dans les jours suivant la réception du montant demandé.
Sans lieu, , 1880. In-folio manuscrit en belle page de (3)-178 ff., frontispice et 39 vignettes aquarellées dans le texte, culs de lampe en noir, demi-maroquin noir à coins, dos à nerfs, titre doré sur le dos, tranches rouges (reliure de l’époque).
« De nombreux objets, aussi précieux que délicats, attendent encore l’heure fatale qui doit décider de leur sort. Arriveront-ils à bon port ou seront-ils fracassés pendant le trajet ? »Récit pittoresque du déménagement d’un grand collectionneur dans Paris en 1880 consigné en guise de souvenir par l’organisateur de l’opération. « Le petit hôtel de la rue de Hambourg ne suffisait plus pour loger tous les bibelots de Monsieur Jules Audéoud ; et lui-même était très mal logé. La maison était malsaine, en plein Nord ; il n’y avait de soleil que dans le chalet de nécessité et encore ! En août 1879, Monsieur Audéoud acheta un terrain rue Ampère ; en octobre suivant, on commença la construction et la maison qui devait être prête en juillet 1880, n’était pas terminée en septembre. Mais il fallait quitter l’hôtel de la rue de Hambourg. On fut donc obligé d’emménager au milieu des maçons, des serruriers et des peintres, c’est-à-dire dans de très mauvaises conditions. Monsieur Audéoud était malade et Monsieur Baladier voulut bien se charger de diriger l’opération. Il donne plus loin l’historique de ce déménagement mémorable. Monsieur Audéoud lui a fourni quelques notes et Monsieur Négrier y a semé quelques croquis ».Improbable traversée de Paris du 6 au 16 septembre 1880 où se mêlent sur les charrettes à bras et les brancards des déménageurs la prodigieuse collection de Jules Audéoud composée d’horloges, pendules et instruments de musique anciens, paniers de porcelaine et de vaisselle, bibelots précieux, mais aussi sa bibliothèque (« voici trois livres imprimés en caractères de civilité »), le tout prétexte à des digressions et anecdotes sur l’origine et la découverte des objets. « À cet effet il loue un petit omnibus de chemin de fer dans lequel on transporte : la pendule surmontée du biscuit de Sèvres allégorie au mariage de Louis XVI et Marie-Antoinette ; la pendule à planétaire de Janvier pièce très délicate dont il est question p. 25 et dont le déménagement avait été réservé ; le petit orgue de Davrainville ; l’orgue serinette dudit ; la pendule de Bertrand ; la pendule de voyage avec l’inscription Vera Intuere Media Sequere (…) la Pendule unique de Van Hoof à Anvers qu’on dépose bien doucettement sur le brancard est une pièce mécanique des plus curieuses. » C’est aussi un rare témoignage sur l’activité des déménageurs de l’époque par l’un des leurs, Baladier, un proche du collectionneur, également apprécié pour ses talents de calligraphe : « parmi ces ouvrages, Baladier retrouve plusieurs de ses anciennes oeuvres calligraphiques, dont une surtout attire son attention, c’est : « La Maison de mon oncle ». Pendant la Commune, Monsieur Baladier pour échapper à un mandat d’amener lancé contre lui, a trouvé chez Monsieur Audéoud, une hospitalité généreuse dont il gardera éternellement le souvenir. C’est pendant cette période néfaste que Monsieur Baladier calligraphia cette production de Monsieur Audéoud. L’ouvrage fut orné d’une grande quantité de gravures et dessins dans le texte et hors texte dont la plupart furent coloriés par Mr Audéoud ».L'illustration aquarellée comprend en frontispice un superbe portrait en pied d'Audéoud en géant porteur, enjambant la ville de Paris avec son bâton de marche et 39 vignettes (environ 13 x 6 cm) illustrant différents épisodes de l'opération.« Il n’y a aucune étude sur la collection Audéoud. Les éléments rassemblés sur Paul-Jules Audéoud (1836-1885) et sa collection viennent principalement de la presse de l’époque dont sa nécrologie par Gustave Chouquet dans Le Ménestrel (28 juin 1885, p. 238) ainsi que Chronique des arts (16 mai 1885, p. 156). En mourant de façon prématurée, à l’âge de quarante-huit ans, cet ancien banquier confia à sa nièce la charge de donner la collection assez hétéroclite qu’il avait amassée dans son hôtel parisien de la rue Ampère aux Musées nationaux. Celle-ci s’adressa à Alfred Darcel, le directeur du Musée de Cluny, qui procéda aussitôt à la répartition : il déposa au Musée de Cluny les sculptures, peintures et meubles espagnols, une crèche napolitaine (en dépôt au Musée de la Crèche, Chaumont), au Musée des Arts décoratifs (vingt-deux objets) et au Conservatoire des Arts et métiers sa collection d’horloges, au Conservatoire – d’où la nécrologie dans le Ménestrel – ses nombreux instruments de musique anciens, notamment les guitares espagnoles dont il aimait jouer. C’est en 1885 aussi que furent déposées au Musée de Rouen, ville natale de Darcel, des copies d’oeuvres de Velázquez par le peintre sévillan Díaz Carreño (1836-1903) qu’avait acquises Audéoud. La création en 1886 par l’Académie des Sciences morales et politiques d’un prix Jules Audéoud « pour encourager les études, les travaux et les services relatifs à l’amélioration du sort des classes ouvrières et au soulagement des pauvres » témoigne des préoccupations humanitaires de l’homme » (Véronique Gérard Powell, Julien Lugand, Les échanges artistiques entre la France et l’Espagne, xve-fin xixe siècles, Presses universitaires de Perpignan, 2012).Très beau manuscrit, source précieuse et atypique sur la collection d’un grand donateur des musées nationaux à la fin du XIXe siècle.
FABRE, Ferdinand ; [ BOURDIER DE BEAUREGARD, Hermance ; ALBOIZE, Jean ]
Reference : 63978
(1863)
[ Ensemble de documents consacrés à Ferdinand Fabre, dont 6 lettres autographes signées et 2 cartes de visites avec mention autographe de Ferdinand Fabre ] 1 L.A.S. de 2 pages, datée de 1863 : "Mon Cher Levallois, Après avoir passé trois mois dans un village du Midi fort reculé et où ne parvient pas le moindre bruit des journaux, j'arrive à Paris et je lis le trop bienveillant article que vous avez bien voulu consacrer à "Julien Savignon". Recevez, je vous prie, l'expression un peu tardive de ma reconnaissance. Hélas ! Cher Monsieur Levallois, n'apprenant rien de moi après m'avoir traité d'une manière si flatteuse, ne m'aurez-vous pas accusé d'ingratitude ? Accusez Paris, accusez nos [...] travaux qui, à certaines heures, nous obligent à réclamer la solitude comme un impérieux besoin [ il évoque ensuite ses "Etudes cévenoles" et termine en annonçant son troisième roman : "Mademoiselle de Malavielle" ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S.,1 page, non daté : "Cher Monsieur Augier, Voulez-vous et pouvez-vous répéter le 1er acte de [ l'aventurier ? ] demain matin mercredi à midi pour le quart. Un mot de réponse je vous prie [ ... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. datée du 12 mai 1870 : "Monsieur, J'autorise avec plaisir M. Ernest Chesneau à publier mon nom dans la liste des rédacteurs de la "Correspondance Générale" [... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. , 2 pages datées du 22 janvier 1877 [ adressée à Eugène Montrosier ] : "Cher Monsieur, Je vous remercie d'avoir bien voulu vous occuper, dans le Musée des Deux Mondes, des travaux de mon beau-frère. Mon ami Laurens demeure 73, rue Notre-Dame des Champs [... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. , 2 pages non datées : "Mille regrets, mon cher Monsieur, ; ma femme, en sa qualité d'Inspectrice des pensionnats, est appelée samedi à la commission d'examen et ne sera pas de retour aux Batignolles avant six heures [... ] ; [ On joint : ] 2 CDV enrichies de qq. mots de remerciements ; [ On joint : ] 2 L.A.S. et 3 cartes autographes signées de Mme Veuve Ferdinand Fabre , adressées à Jean Alboize, rédacteur à l'Artiste, pour l'hommage à son défunt mari ; [ On joint : ] Manuscrit autographe signé J. A. [ Jean Alboize ] de l'article consacré à Ferdinand Fabre dans le Journal l'Artiste à l'occasion de sa mort en février 1898, 2 pages ; [ On joint : ] Un recueil de coupures de presse consacrées à Ferdinand Fabre
Très intéressant ensemble de manuscrits et autographes consacrés à l'écrivain Ferdinand Fabre (1827-1898), dans lequel l'auteur cite ses deux romans "Jean Savignac" et "Mademoiselle de Malavielle", et fournit notamment l'adresse de son grand ami le peintre Jean-Paul Laurens, grand illustrateur de son oeuvre et auquel il dédiera son roman "l'Abbé Tigrane".
[Frazier-Soye] - LOYS-DELTEIL, M. ; DESVOUGES, Maître André
Reference : 48612
(1911)
18 et 24 catalogues en 2 vol. in-8 reliure pleine toile noire, couv. cons., Frazier-Soye, 1911-1913. Rappel du titre complet : [ Recueil de Catalogues d'Estampes par Loys-Delteil ] N° 247 6 novembre 1911 Estampes du XVIIIe Siècle Hôtel Drouot / N° 248 Estampes anciennes et modernes 7 novembre 1911 / N° 249 Collection Jules Renouvier Ière Partie Estampes anciennes et modernes 8 Novembre 1911 / N° 250 Collection de M. H. A*** Estampes & Dessins Modernes 15 novembre 1911 / N° 251 Costumes du XVIIIe siècle 16 Novembre 1911 / N° 252 Estampes & Dessins 17 novembre 1911 / N° 254 Estampes du XVIIIe siècle 9 décembre 1911 / N° 256 Estampes & Dessins anciens & modernes 15 décembre 1911 / N° 257 Catalogue des Tableaux, dessins et estampes de la collection M. M. B*** 7 Février 1912 / N° 259 Estampes du XVIIIe siècle 23 Février 1912 / N° 260 Estampes du XVIIe siècle Estampes modernes 27 Février 1912 / N° 262 Collection de M. Charles Bermond, Estampes anciennes et Modernes 18 mars 1912 / N° 264 Estampes & Dessins 18 avril 1912 / N° 265 Estampes, dessins et Peintures 25 avril 1912 / N° 266 Estampes du XVIIIe siècle 29 avril 1912 / N° 268 Collection de A. Mühlbacher. Estampes et Dessins concernant les Voitures. Traîneaux 18 mai 1912 / N° 270 : Estampes du XVIIIe siècle 29 mai 1912 / N° 271 Estampes anciennes et modernes 1er juin 1912 / N° 274 Vente du Mardi 19 novembre e1912. Hôtel Drouot Catalogue des Estampes Anciennes et modernes, 29 pp. / N° 275 Vente du 20 novembre 1912. Hôtel Drouot Catalogue des Estampes Anciennes et modernes, Dessins format la collection de M. Léon Vaillant, 23 pp. / N° 276 25 novembre 1912 , Estampes du XVIIIe siècle. Hôtel Drouot, 30 pp. / N° 277 28 novembre 1912, Ire Partie Collection de feu M Du Vigier : Costumes Militaires - IIe Partie : Estampes relatives à la Révolution et au Ier Empire. Hôtel Drouot, 30 pp. / N° 278 29 novembre 1912, Estampes Anciennes et modernes / N° 280 Collection Louis Valentin (Quatrième Partie) Estampes du XVIIIe siècle, 40 pp. / N° 284 : 21 Février 1913 : Estampes du XVIIIe siècle, 31 pp. / N° 285 : Hôtel Drouot Estampes du XVIIIe siècle, 33 pp. / N° 288 Estampes anciennes et modernes 4 avril 1913, 35 pp. / N° 289 Estampes du XVIIIe siècle imprimées en couleurs, 18 avril 1913, 19 pp. / N° 290 : Catalogue des Estampes formant l'Oeuvre gravé d'Antoine Watteau, provenant de la collection de Monsieur X***, 18 avril 1913 / N° 291 : Collection de Monsieur P*** Estampes modernes, 19 avril 1913 / N° 292 Collection de M. E Cola de Nantes, Estampes du XVIIIe siècle, 20 avril 1913 / N° 293 : Estampes du XVIIIe siècle 21 avril 1913 / N° 295 : Catalogue des Dessins anciens & Modernes, 3 Mai 1913 / N° 296 Collection de Mme Vve Caïus Trollé, Mercredi 30 avril 1913. Catalogue des Estampes et des Dessins d'Eugène Delacroix / N° 297 : Collection de Monsieur Y***Estampes du XVIIIe siècle. 30 Avril 1913 / N° 298 Collection Louis Valentin Cinquième Partie. Estampes du XVIIIe siècle, 10 Mai 1913 / N° 300 Collection de Monsieur Z. Estampes du XVIIIe siècle, 28 Mai 1913 / N° 303 Estampes du XVIIIe siècle, 31 Mai 1913 / N° 304 Collection de Monsieur A*** 7 juin 1913 Estampes & dessins anciens & modernes / N° 305 Succession de feu Jules Jacquet. Oeuvre gravé de Jules Jacquet. Oeuvres d'Henriquel-Dupont & de Laemlen, 7 juin 1913 / N° 307 Estampes et Dessins anciens et modernes, 24 juin 1913 / N° 308 Collection de M. L. T. Dessins anciens
Belle réunion de 42 catalogues d'estampes par Loys-Delteil. Bon ensemble (accroc à un mors en tête, bon exemplaire par ailleurs). Prix du lot, non séparable.
3 L.A.S. totalisant 4 ff. in-12 rédigés recto-verso,datées des 27 août, 1er septembre et 10 septembre 1873 : détail du texte : Première L.A.S. : " Orléans le 27 août 1873. Monsieur, je vous adresse le spécimen pour le volume de M. d'Aurevilly. Il y a énormément de matières : le spécimen est encore neuf sur une justification assez large comme vous le voyez, interligne à deux points, et nous formerons 10 feuilles pleines à 10 feuilles 1/2. Il faudra évidemment un faux titre pour chaque partie. Le caractère sera très bon, très net. Mais la quantité de matière et le nombre limité de feuilles nous forcent à être compact, trop compact pour faire un volume élégant. Il faudrait pouvoir blanchir davantage et s'étendre jusqu'à 19 feuilles au moins. Je ne vous parle pas du corps 10, nous faisons d'emblée 11 feuilles et plus. Je pourrais me mettre en mesure de vous livrer pour paraître dans la première quinzaine d'octobre". - Seconde L.A.S. : "Orléans, le 1 septembre 1873. Monsieur, Je prends la liberté de venir troubler la tranquillité de votre villégiature pour vous mettre un peu au courant de mes travaux. J'ai envoyé à Monsieur Assollant ses 5 et 6e feuilles. La 7e sera prête sous trois jours au plus. [...] Barbey d'Aurevilly est commencé et d'ici 4 jours j'ajouterai trois compositeurs jusqu'à épuisement de la lettre disponible. Cardenio va partir en ballots chez le brocheur. Veuillez être assez bon pour donner des ordres pour l'expédition du papier pour achever Rachel et commencer le nouveau [... avec les commentaires autographes d'Edouard Dentu à la suite, pour son commis Sauvaitre : ] "La lettre ci-jointe vous mettra au courant des travaux chez Jacob. Envoyez-lui sans tarder le papier qu'il demande. Le volume de Barbey fera onze feuilles. [ ... ] Je vous retourne les deux traites acquittées. Envoyez à Emile Gaboriau, hôtel d'Orléans à Royan (Charente-Inférieure) quinze cents francs [... ] Il est en effet préférable de ne faire paraître l'affiche qu'au moment de la mise en vente des Mémoires de Paul de Kock". - Troisième L.A.S. "Orléans le 10 septembre 1873. Monsieur, J'expédie à M. Barbey d'Aurevilly la dernière feuille de son travail, et la troisième sera finie lundi et expédiée le jour même ou mardi au plus tard. Vous ne m'avez pas fixé de nombre ; prendra-t-on empreintes ? Monsieur Assolant ne renvoie pas plus les épreuves que par le passé. Je lui avais écrit directement le conjurant de hâter sa lecture des épreuves. Ainsi que je vous l'ai dit dans ma dernière lettre j'ai expédié Cardenio chez le brocheur et la facture du volume que M. Sauvaistre doit avoir sous les yeux. Je serai à Paris la semaine prochaine vers le 16. Je serai très heureux de vous y rencontrer [ etc... ]"
Provenant du fonds Dentu, ces 3 très intéressantes lettres autographes signées de l'imprimeur orléanais Georges Jacob, évoquent son travail de composition d'un ouvrage de Barbey d'Aurevilly. Il ne peut s'agir que de l'édition originale de l'ouvrage majeur de Barbey, "Les Diaboliques", qui paraîtra en 1874 chez Dentu, imprimé par Georges Jacob en 2200 exemplaires (Vicaire, I, 305). On y évoque aussi que le roman "Cardenio", oeuvre de Gustave Aimard parue chez Dentu en 1874. Quant au roman d'Assolant évoqué par Jacob, s'agit manifestement de "Rachel" publié chez Dentu en 1874. Rare courrier d'imprimeur évoquant le long labeur préparatoire à l'édition d'un des chefs-d'oeuvre de la littérature française. La seconde des 3 lettres est enrichie de 2 pages d'annotations autographes par Edouard Dentu à l'attention de son premier commis Sauvaistre.
Les véritables intérêts des princes de l'Europe, Dans les affaires présentes, ou réflexions sur un Ecrit venu de France sous le titre de Lettre de Monsieur à Monsieur sur les affaires du temps.
Reference : 015604
Les véritables intérêts des princes de l'Europe, Dans les affaires présentes, ou réflexions sur un Ecrit venu de France sous le titre de Lettre de Monsieur à Monsieur sur les affaires du temps. Cologne, Pierre Marteau, 1689. In-8, 24-[8]p. Pamphlet hollandais contre la France, mêlant considérations religieuses, mouvements civils qui en découlent, finances de la France, la place de la France et de l'Autriche comme puissances européennes, etc. Peu commun. [X]