Gallimard, collection blanche, 1962. In-8, couverture imprimée en deux tons. Quelques légères traces de plis.
Reference : 13082
Edition originale de ce livre passionnant. "L'innocence de Dreyfus ne fait plus de doute aujourd'hui pour aucun esprit sérieux. Ce qui fait doute encore, c'est l'attitude de l'Etat-Major. Et l'interprétation la plus courante est celle de l'erreur judiciaire que, par " esprit de corps ", l'Armée se refusa, ensuite, à reconnaître. L'étude, minutieuse, conduite par Henri Guillemin, à l'aide, notamment, des dossiers conservés aux Archives Nationales, lui permet de conclure, sur preuves, que le ministre de la Guerre (général Mercier), aussi bien que les chef et sous-chef de l'Etat-Major général de l'Armée (généraux de Boisdeffre et Gonse) savaient l'innocence de Dreyfus lorsqu'ils l'ont fait, ou laissé, condamner. L'énigme désormais ouverte concerne celui qui livrait à l'Allemagne les documents qu'on accusa faussement Dreyfus d'avoir remis à Schwarzkoppen. Le traître était Esterhazy. Mais qui était Esterhazy ? Et pourquoi l'Armée protégea-t-elle cet homme au point où elle le fit ? Il y avait quelqu'un derrière lui, quelqu'un qui, à aucun prix, ne devait être mis en cause." * La librairie la Bergerie est en plein déménagement - Nous ne sommes donc plus en mesure d’expédier certains livres dans l'immédiat. Si le livre qui vous intéresse est disponible immédiatement, une remise de 10% sera accordée jusqu'à fin décembre - Si ce n'est pas le cas et que vous n’êtes pas pressés, vous pouvez passer commande et, dès que les livres seront à nouveau accessibles, nous traiterons vos demandes, avec une remise de 20% pour vous remercier de votre patience *
La Bergerie
Mme Aline Berger
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Gallimard, collection blanche, 1963. Grand in-8 broché, couverture imprimée en deux tons, très légèrement défraîchie - intérieur frais, non coupé.
"L'innocence de Dreyfus ne fait plus de doute aujourd'hui pour aucun esprit sérieux. Ce qui fait doute encore, c'est l'attitude de l'État-Major. L'étude, minutieuse, conduite par Henri Guillemin, à l'aide, notamment, des dossiers conservés aux Archives Nationales, lui permet de conclure, sur preuves, que le ministre de la Guerre (Général Mercier), aussi bien que les chef et sous-chef de l'État-Major général de l'armée (Généraux de Boisdeffre et Gonse) savaient l'innoncence de Dreyfus lorsqu'ils l'ont fait, ou laissé, condamner. L'énigme désormais ouverte concerne celui qui livrait à l'Allemagne les documents qu'on accusa faussement Dreyfus d'avoir remis à Schwarzkoppen. Le traître était Esterhazy. Mais qui était Esterhazy? Et pourquoi l'armée protégea-t-elle cet homme au point où elle le fît? Il y avait quelqu'un derrière lui, quelqu'un qui, à aucun prix, ne devait être mis en cause." * La librairie la Bergerie est en plein déménagement - Nous ne sommes donc plus en mesure d’expédier certains livres dans l'immédiat. Si le livre qui vous intéresse est disponible immédiatement, une remise de 10% sera accordée jusqu'à fin décembre - Si ce n'est pas le cas et que vous n’êtes pas pressés, vous pouvez passer commande et, dès que les livres seront à nouveau accessibles, nous traiterons vos demandes, avec une remise de 20% pour vous remercier de votre patience *
Lausanne, la Guilde du Livre 1963. Bel exemplaire relié, reliure pleine toile d'éd., numéroté, 334 pages avec avant-propos, précis chronologique, table des illustrations, table des matières + planches.
Gallimard, 1963, in-8°, 263 pp, broché, qqs rares soulignures au crayon rouge, bon état
"Sans revenir sur le cas Dreyfus, H. G. s'attache, à partir des dossiers conservés aux Archives nationales, à démêler l'écheveau des liens qui unissaient Esterhazy à l'Etat-Major général de l'armée. Si le commandant livrait bien à l'Allemagne les documents qu'on accusa Dreyfus d'avoir remis à Schwarzkoppen, pourquoi l'armée le protégea-t-elle au point où elle le fit ? Si « la grande pensée du Ministère » était bien « la liquidation de l'affaire Dreyfus sans dommage pour les Importants », quel était le personnage qui se cachait derrière Esterhazy et qui, à aucun prix, ne devait être mis en cause ? L'alacrité du ton. une composition volontairement théâtrale donnent de l'attrait à la tentative, mais nuisent sans doute quelque peu à la solidité de la démonstration." (Revue française de science politique, 1966)
Lausanne / guilde du livre 1963 in8. 1963. reliure pleine toile editeur. 330 pages. Bon Etat intérieur propre