Grenoble, Baratier, s.d. (c. 1844). 16 pages. (21x13,5 Cm). Broché. Couverture muette postérieure. Propriétés curatives de ces eaux "supérieures aux Eaux de Seltz et de Spa que nous allons chercher à grands frais chez l'étranger…". Traitement des affections gynécologiques, digestives, dermatologiques etc.
Reference : 43350
Ultimo Capitulo S.L.
Monica Aguilo
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Conformes aux usages de la profession.
Grenoble, Imprimerie de J. Baratier, s.d. (1843) in-8, 16 pp., broché sous couverture factice de papier bleu.
Notice très rare, dont il aurait existé une première version en 1841 d'après l'auteur lui-même (passim dans le texte), mais dont il n'y a pas moyen de trouver une trace au CCF.Oriol est actuellement le nom de deux hameaux du village de Cornillon-en-Trèves (Isère). Les eaux minérales d'Oriol, dont il est ici question, furent étudiées dès 1639 dans un fascicule de 28 pages de toute rareté publié à Grenoble par un médecin, Pierre Vulson (L'Ordre qu'il faut observer en l'usage des eaux minérales acides, et surtout de celles des Auriols en Trièves). Elles ont été longtemps exploitées par la société "Les Eaux d'Oriol", mais sont actuellement fermées. Elles passent pour être les seules eaux minérales naturellement gazeuses des Alpes françaises. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT