Paris, Hachette, 1867. 327 pages. 1 page d'erratum. (18x12 Cm). Demi-cuir marron. Dos lisse à lettres dorées. Plats et dos frottés. Coins et coiffes émoussés. Rares rousseurs. Exemplaire en état correct.
Reference : 112116
Ultimo Capitulo S.L.
Monica Aguilo
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Conformes aux usages de la profession.
[Chez Desaint & Saillant, G. Cavelier, Le Prieur] - GEOFFROY, M. Etienne François
Reference : 54489
(1757)
Traduit du latin par M*** Docteur en médecine, 7 vol. in-12 reliure uniforme de l'époque pleine basane marbrée, Chez Desaint & Saillant, G. Cavelier, Le Prieur, Paris, 1757 (pour les 7 premiers), 1750 (pour les deux derniers tomes). Rappel du titre complet : Traité de la Matière Médicale, ou De l'Histoire des Vertus, du Choix et de l'Usage des Remèdes Simples (7 Tomes - Complet, avec 2 tomes de la Suite de la Matière médicale de M. Geoffroy) Tome I : Minéralogie ; II : Traité des Végétaux Section 1 : Des Médicamens exotiques ; III : Section 1 : Des Médicamens exotiques ; IV : Section 1 : Des Médicamens exotiques ; Section 1 : Des Plantes Indigènes ; VI : Section 1 : Des Médicamens exotiques ; VII : Section 1 : Des Médicamens exotiques ; VIII : Suite des la Matière Médicale de M. Geoffroy par M***. I : Section II : Des Plantes de notre Pays ; IX : II : Section II : Des Plantes de notre Pays
La série complète, aujourd'hui très rare, comprenait 17 volumes. La série des 7 premiers volumes se vendait à l'époque séparément ; elle était suivie de 3 volumes de la "Suite de la Matière médicale", rédigée par Bernard Jussieu (et dont nous proposons 2 tomes sur les 3), puis de 6 tomes consacrés au "Règne animal" et d'un volume de tables. Le présent exemplaire réunit les 7 premiers tomes (complets en soi) et 2 tomes sur 3 de la "Suite". Etat satisfaisant (reliure frottée avec petis mq., mq. de cuir plus importants aux deux premiers tomes, 3 petits piq. de vers en dos, ex libris ms de Saucy, docteur en médecine de Montpellier, 1763) pour cet ouvrage classique. Le "Tractatus de Materia medica" du grand médecin, chimiste et pharmacien Etienne François Geoffroy (1672-1731) faisait alors autorité. Intéressante provenance : on connaît un M. Saucy, Docteur en Médecine & Correspondant de l'Académie des Sciences de Montpellier, qui fut l'auteur en 1779 de l'ouvrage : "Des Moyens que la saine Médecine peut employer pour multiplier un sexe plutôt que l'autre".
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
S.n., Los Angeles s.d. (1943), 21,5x28cm, une feuille recto-verso.
Emouvante lettre autographe signée (30 lignes à l'encre bleue depuis l'exil californien de Louis Verneuil dont Elvire Popesco est l'égérie) Elvire,adressée à ses amis Rim. Dans cette lettre, toute empreinte d'une nostalgie liée à leur jeunesse et amours partagés, Elvire Popesco s'inquiète de l'état de santé de Louis Verneuil dont elle est devenue, au fil de leur collaboration, l'égérie : : "Chez Mr Louis Verneuil 474 North Faring Road Holmby Hills Los Angeles California. Mes chéris, je suis venue voir Louis Verneuil qui a été très gravement malade, un caillot dans l'aorte, et malgré une amélioration, les docteurs ne sont pas certains d'une guérison complète. Nous repassons ensemble des souvenirs de tant d'années de travail. Il fait tout ce qu'il peut pour me faire rester ici, moi je fais tout ce que je peux pour le ramener dans notre pays où nous avons ensemble laissé au théâtre toute notre jeunesse. Hélas, il ne peut pas supporter les voyages, tout au moins pour le moment. Je compte rentrer entre le 15 et fin avril et en attendant je vous embrasse de tout mon coeur. Elvire." Pliure inhérente à la mise sous pli. Carlo Rim fut un écrivain provençal, auteur de "Ma belle Marseille", un caricaturiste, un cinéaste et fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob et André Salmon qu'il rencontra à Sanary. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Bureau de la revue. 14 juin 1928. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 18 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages
Sommaire : Après avoir transmis au Japon la civilisation, la Corée est aujourd'hui colonisée par lui, Notre production de sel gemme, aliment de la grande industrie chimique, place notre pays en position excellente sur le marché international, Les grands dirigeables dans la tempête Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages
Bureau du journal. 2 février 1941. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 19 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : Quelle politique suivra le Japon après la pathétique adjuration de Matsuoka a Roosevelt ?, L'Irak, pays d'Abraham et de Jacob, s'inquiète et mobilise, Les bedouins gardent les puits, L'empire intellectuel de notre pays, A travers le monde, des millions d'hommes parlents, écrivent et honorent la langue française Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux