Paris Émile Paul Frères 1934 In-8 Broché Satisfaisant
Reference : 005671
couverture noir et rouge date 894 en fond ; 128pp ; publié dans la collection "Le crime dans l'histoire et la vie ; papier intérieur roussi ; dos recollé, légers frottements à la couverture
Au Point du Jour
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( Pastiche Sherlock Holmes - Affaire Dreyfus ) - Michael Hardwick.
Reference : 4034
(1980)
Editions Balland 1980. Fort in-8 broché de 332 pages au format 23,5 x 15,5 cm. Couverture illustrée. Dos carré. Plats et intérieur frais malgré un minuscule frottis au mors du 4ème plat . Excellent pastiche où Sherlock Holmes, aidé du Dr Watson, résout l'Affaire Dreyfus. Superbe état général. Rare édition originale.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
( Affaire Dreyfus ) - Colonels Frédéric Delebecque et Georges Larpent sous le pseudonyme de Henri Dutrait-Crozon.
Reference : 17830
(1924)
Paris, Nouvelle Librairie Nationale / Collection " Les Ecrivains de la Renaissance Française " 1924. Fort in-8 broché de 674 pages au format 20 x 5,5 x 13,5 cm. Couverture avec titre imprimé. Dos carré, légèrement insolé. Plats avec bords des plats brunis, petite trace brune au 1er plat et frottis au 4ème plat, affectant des lettres. Intérieur frais. Exemplaire non coupé. Ce livre est écrit par deux colonels : Frédéric Delebecque et Georges Larpent, sous le pseudonyme collectif de Henri Dutrait-Crozon. Les auteurs furent militants de l'Action Française et collaborateurs de la Revue d'Action Française ( qui deviendra L'Action Française sous la direction de Charles Maurras en 1908 ). Ce texte paru en 1909 influença considérablement les milieux nationalistes et antidreyfusards au tournant du siècle. Il se présente comme une étude de caractère scientifique autant par sa description minutieuse des faits, par ses nombreuses citations, sa bibliographie abondante que par son ampleur et son index analytique. Pourtant ce n’est qu’un vaste plaidoyer antidreyfusard. Les faits sont orientés de manière à culpabiliser l'accusé, à faire du colonel Henry un martyr, à donner raison aux défenseurs des valeurs traditionnelles et militaires et à légitimer l'antisémitisme. Un des 5000 exemplaires numérotés sur vélin ( n° 02,570 ) après 6 Japon, 18 Hollande et 100 pur fil. Rare édition définitive en partie originale. Bel état général.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Paris, Librairie de l'Action française 1925. In-12 agrafé de 96 pages au format 19 x 12,5 cm. Couverture avec titre imprimé. Bords insolés. Cahiers solidaires, maintenus par l'agrafe, mais qui bougent un peu. Préface du Commandant Cuignet. Ce livre publié par la Librairie de l'Action Française, re-fondé par Charles Maurras en 1908, est un plaidoyer antidreyfusard où les faits sont orientés de manière à culpabiliser l'accusé, à faire du colonel Henry un martyr, à donner raison aux défenseurs des valeurs traditionnelles et militaires et à légitimer l'antisémitisme. Rare édition originale en superbe état général.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Liana Levi/Archives Juives. 1994. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 126 pages - quelques photos en noir et blanc dans le texte. 2e plat plié.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Dossier : Les juifs et l'affaire Dreyfus - Les officiers juifs et l'affaire - Theodor Herzl et l'affaire Dreyfus - Un homme politique face à l'affaire : le cas de Ferdinand Dreyfus - Une mutation politique pendant l'affaire Dreyfus, Mécislas Golberg en 1898-1899 : juif polonais, démocrate, libertaire, sioniste - Les effets de l'affaire Dreyfus en Algérie - Alphonse Lévy et l'image du juif en France au temps de l'affaire Dreyfus (1895-1902) - Le monument Henry ou le chemin français du désastre.. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Plon, 1955, in-8°, iv-271 pp, broché, jaquette, bon état
"La publication posthume de ce journal présente un grand intérêt historique, car Maurice Paléologue était chargé au Quai d'Orsay de suivre l'affaire Dreyfus et il était en constants rapports avec les officiers du Service de renseignements. II se déclare certain que de 1886 à 1896 plusieurs officiers français ont alimenté l'ambassade d'Allemagne en documents confidentiels et il met en cause en termes voilés (pp. 156-159) un « officier d'un très haut grade » qui aurait occupé « durant plusieurs années des fonctions importantes au ministère de la Guerre ». Ces révélations tardives seraient évidemment plus probantes si elles étaient plus précises et surtout si les convictions intimes de M. P. l'avaient parfois amené à se départir de la réserve diplomatique qui constitue la règle constante de son attitude. Le journal de Maurice Paléologue est le journal d'un parfait fonctionnaire ; il constitue un excellent – et parfois bien involontairement cruel – tableau du Quai d'Orsay à la fin du siècle dernier. Ce n'est pas le moindre intérêt de ce livre." (Revue française de science politique, 1956) — "Grand commis au Ministère des Affaires étrangères, Maurice Paléologue a connu, pendant sa carrière, beaucoup de secrets d'Etat. Il a vécu au plus près les péripéties shakespeariennes de l'Affaire Dreyfus et en a tenu un journal quotidien, que les Editions Plon nous font connaître. Les contemporains de cette « affaire », dont certains aspects demeurent encore troubles, liront avec passion ces pages, qui sont celles d'un grand mémorialiste. Les autres n'auront pas à superposer leurs propres souvenirs aux faits racontés par Paléologue, mais ils y ramasseront une ample moisson de faits dramatiques. Là, l'histoire est un roman quotidien avec, pour fond de décor, les coulisses des Affaires étrangères, de l'Etat-Major et du 2e Bureau." (Bernard Simiot, Hommes et mondes, 1956) — "Maurice Paléologue avait tenu un journal. Pendant les seules années dramatiques de l'affaire Dreyfus ? On ne sait. Toujours est-il que le récit qu'il en a tiré et qu'on vient de publier ne se rapporte qu'à elle. Ultérieurement, il détruisit les annales que le récit résume ; et on le regrette, car, on va le voir, il est au moins probable qu'elles comporteraient bien davantage. Paléologue reconnaît qu'il n'aimait pas les Juifs et l'aspect physique, l'attitude de Dreyfus lui furent antipathiques ; il crut à la culpabilité comme presque tout le monde. Mais, diplomate et mondain, il apprit beaucoup ; le doute s'insinua, puis la conviction s'affirma d'une erreur judiciaire ; finalement, il conclut que Dreyfus avait été victime d'une criminelle machination destinée à couvrir trois traîtres : Esterhazy ; un second officier, Maurice Weil ; et un troisième, « de très haut grade », dont la carrière n'aurait souffert aucun dommage, mais qu'il ne nomme pas. Henry, ami et débiteur d'Esterhazy, Lauth, préoccupé de sauver l'anonyme pour des motifs privés, ourdirent la trame qui perdit Dreyfus. On ne peut douter que le journal rapportait les renseignements qui appuyaient le bref exposé qu'on lit aux pages 156-157. Telle quelle, la publication rouvre le problème de l'affaire et on peut s'attendre à en voir d'autres, un jour ou l'autre, la compléter ou la contredire." (G. Lefebvre, Annales ESC, 1957)