Paris, Pougin, an III [1795]. In-8, basane racinée, roulettes et filets dorés en encadrement, dos lisse orné, tranches jonquille (Reliure de l'époque)coins et coupes frottés . Xii-256 pp , in-8 (230x130 mm)
Reference : PHO-318
Première édition de la traduction française du Journal of a Voyage to New South Wales, paru en 1790 à Londres. L'ouvrage doit figurer en bonne place dans les collections regroupant des «Australiana» précoces. White arrive en Australie en 1788 en qualité de chirurgien-général de Nouvelle-Galles du Sud et planifie la construction d'un hôpital, mais est entravé par le manque de fournitures médicales. Il s'intéresse à la flore et la faune indigènes du continent peu connu et étudie le potentiel des plantes australiennes pour une utilisation en pharmacologie. Il observe les qualités olfactives de l'eucalyptus et réalise la distillation d'huile d'eucalyptus en 1788 De la bibliothèque Jouannau de Nully (Lunay), avec cachet
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Voyage à la Nouvelle Galles du Sud, à Botany-Bay, au Port Jackson, En 1787, 1788, 1789. Ouvrage où l’on trouve de nouveaux détails sur le caractère et les usages des habitans du cap de Bonne-Espérance, de l’île Ténériffe, de Rio-Janeiro et de la Nouvelle Hollande, ainsi qu’une description exacte de plusieurs animaux inconnus jusqu’à présent. Traduit de l’anglais, avec des notes critiques et philosophiques sur l’histoire naturelle et les moeurs, par Ch. Pougens, et enrichi de deux vignettes, dessinées par Monnet et gravées par Clément. Paris, Guillaume, an VI [1798]. In-8, demi veau, dos lisse orné, (Reliure XIXème) . Xii-206 pp ,table des matières 1ff,notes du traducteur 256pp,table alphabétiques, in-8 (200x130 mm),mouillure claire , seconde édition et la meilleure de la traduction française du Journal of a Voyage to New South Wales, paru en 1790 à Londres
seconde édition et la meilleure de la traduction française du Journal of a Voyage to New South Wales, paru en 1790 à Londres. L'ouvrage doit figurer en bonne place dans les collections regroupant des «Australiana» précoces. White arrive en Australie en 1788 en qualité de chirurgien-général de Nouvelle-Galles du Sud et planifie la construction d'un hôpital, mais est entravé par le manque de fournitures médicales. Il s'intéresse à la flore et la faune indigènes du continent peu connu et étudie le potentiel des plantes australiennes pour une utilisation en pharmacologie. Il observe les qualités olfactives de l'eucalyptus et réalise la distillation d'huile d'eucalyptus en 1788 (avec tampon Henry Beydier Aubenas)
Chez Pougin , à Paris 1795 (an III), in-8 (13,5x22cm), XII, 206pp. ; (2) 256pp. (8), relié.
Edition originale française de cet ouvrage paru en 1790 en anglais. La seconde partie qui occupe 256p., est une succession de notes du traducteur, particulièrement riches d'informations, sur les plantes, les animaux et la géographie physique. Reliure en plein veau brun d'époque marbré. Dos lisse richement orné de 5 fleurons dans des losanges avec palmettes angulaires et roulettes à la place des nerfs. Pièce de titre en maroquin rouge. Plat supérieur légèrement incurvé en coin bas droit, sinon, très bel exemplaire, quasi exempt de rousseurs avec quelques cahiers légèrement jaunis, une trace de mouillure pâle en coin bas de la page de titre et du feuillet suivant. Les récits de voyages content la première installation des colons en Australie. Lorsque l'empire Britannique perdit ses colonies américaines où toutes sortes de personnes indésirables étaient régulièrement envoyés, il fut choisi d'installer les déportés en Nouvelle Galles du sud (côte orientale Australie). Une escadre de 11 navires, dont 6 affectés au transport des criminels, fut placée sous les ordres du capitaine Arthur Phillip, gouverneur du nouvel établissement. La flotte partit d'Angleterre en mars 1787, atteignit Botany Bay en janvier 1788, et la colonie se fixa à Port Jackson. Le récit, à plus d'un titre passionnant, du chirurgien en chef de l'expédition, narre par le menu le voyage et l'installation des officiers et des déportés dans la nouvelle colonie, ainsi que les rencontres avec les indigènes. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Paris, Pougin, an III (1795) in-8, XII-206-[2]-256-[4] pp., broché, couverture papier rose de l'époque. Dos abîmé avec de petits manques.
Première édition de la traduction française du Journal of a voyage to New South Wales, paru en 1790 à Londres (pendant que l'auteur était toujours sur place), avec pas moins de 65 planches d'histoire naturelle, qui ne furent jamais reprises dans les traductions : seule l'édition parisienne de 1796 en comporte deux (mais pas la nôtre, contrairement à ce qu'écrit Sabin).L'ouvrage doit figurer en bonne place dans les collections regroupant des Australiana précoces : chirurgien et naturaliste, John White (1756-1832), sur lequel on est peu renseigné, exerçait les fonctions de chirurgien naval en chef lorsque les onze navires de la First Fleet appareillèrent en mai 1787 pour aller établir la première colonie européenne (en fait un établissement pénitentiaire) en Nouvelle-Galles-du-Sud. Quand il rejoignit la First Fleet à Plymouth en mars 1787, il constata que les bagnards embarqués avaient vécu pendant un certain temps sur la viande de sel, une mauvaise préparation pour un long voyage. Il réussit à obtenir des ressources de viande et de légumes frais pour eux, et s'arrangea pour qu'ils pussent être autorisés à monter sur le pont à tour de rôle pour avoir de l'air frais. Son traitement humain et sensible a été sans doute la raison pour laquelle le nombre de décès parmi les condamnés pendant le voyage n'a pas été très élevé. Une fois arrivé sur place, il planifia la construction d'un hôpital, mais fut entravé par le manque de fournitures. Il s'intéressa alors à la flore et la faune indigènes de ce continent encore très peu connu et étudia le potentiel des plantes australiennes pour une utilisation en pharmacologie. Mais il ne se plaisait pas en Australie et demanda son rappel en 1792, ce qui lui fut accordé en 1794.Sabin 103 406. Ferguson, 283. Wantrup, 17 (pour l'originale anglaise ; cf. chapitre III pour une notice très développée).Exemplaire de Jouannau de Nully (Lunay), avec cachet humide. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris: chez Pougin, An 3 de la République (1795 vieux style). In-8 ; plein veau de l'époque, dos ornés de dessins de bâteaux en dorés, tranches marbrées, xij, 206(2); 256(4) pp.
Première édition française. [La première édition à été publié à Londres en 1790]. Importante relation de voyage sur l'Australie. L'auteur était chirurgien à bord d'un des bâteaux de la flotte britannique qui transportait les condamnés en Australie. Bel exemplaire malgré des auréôles sans gravité dans les marges des premières pages de 1 à 15. Photos sur demande.
1795 Paris, Pougin, 1795, in 8 de XII-256 pp., 2 planches gravées hors-texte, rel. d'ép. plein veau brun raciné, dos lisse orné de roulettes et fers dorés, pièce de titre de mar. rouge, encadrement de roulettes dorées sur les plats, tranches jaspées, la coiffe supérieure manque, cachetagréable ex.
1re édition française de cette importante relation de voyage sur l'Australie. "(...)Ouvrage ou l'on trouve de nouveaux détails sur le caractère et les usages des habitans du Cap de Bonne-Espérance, de l'Île Ténériffe, de Rio-Janeiro et de la Nouvelle-Hollande, ainsi qu'une description exacte de plusieurs animaux inconnus jusqu'à présent." L'auteur était chirurgien en chef à bord de l'un des navires de l'Escadre anglaise qui transportait les condamnés, déportés en Australie.