Paris Imprimerie Pillet et Dumoulin 1884 in-8 demi-maroquin marine à long grain à coins, dos à nerfs, tête dorée, première couverture conservée [Rel. de l'époque]
Reference : 36889
2 ff.n.ch., pp. 5-48.Au CCFr, exemplaires seulement à la BnF, à la Bibliothèque Thiers et à Compiègne. Unique édition. Extrait de La Patrie , 16 et 18 novembre 1883 ; il s'agit de l'éloge funèbre du dernier frère d'Odilon Barrot, comme lui avocat et comme lui homme politique, mais aussi bonapartiste que son aîné était un coryphée de l'orléanisme de gauche.L'auteur de cette nécrologie, l'avocat Clément de Royer (1844-1912) était également un fervent bonapartiste, soutien farouche du Prince Victor Napoléon, avec d'autres "victoriens", contre les partisans de son père le Prince Jérôme Napoléon (Plon-Plon).Envoi autographe de l'auteur à Raymond Barrot (1842-1918), un des fils de Ferdinand Barrot.Bel exemplaire
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Paris Imprimerie Pillet et Dumoulin 1884 in-8 maroquin tête-de-nègre, dos à nerfs, double filet doré sur les coupes, tranches dorées, large encadrement de guirlande dorée sur les contreplats [Rel. de l'époque]
2 ff.n.ch., pp. 5-48.Seulement trois exemplaires au CCF (BnF, Bibliothèque Thiers, Compiègne). Rare extrait de La Patrie, novembre 1883. Frère d'Odilon Barrot, Ferdinand Barrot (1806-1883) avait attaché sa destinée à celle de Louis-Napoléon Bonaparte, ce qui lui valut une belle carrière politique sous le Second Empire, tandis que son aîné, plus célèbre, rentrait dans la vie privée. L'auteur de cette nécrologie, Clément de Royer (1844-1912) était également un fervent bonapartiste, soutien farouche du Prince Victor Napoléon, avec d'autres "victoriens", contre les partisans de son père le Prince Jérôme Napoléon (Plon-Plon).Très bel exemplaire dans une reliure signée de Petit