Victor Séjour (1817-1874), écrivain américain d'expression française, afro-américain, auteur de la plus ancienne fiction écrite par un afro-américain. L.A.S., 26 juin 1852, 1p in-8. « Chère madame, J'ai absolument besoin de cent cinquante francs - absolument - je tire un trait à vue sur vous - si c'est possible, vous me rendez service. Tout à vous de coeur. Victor Séjour P.S. Ci-joint un bon qui me servira de reçu en attant que j'aille chez vous pour mettre tout cela en ordre. Bon pour cent cinquante francs, valeur reçue en espèce. 26 juin 1852 Victor Séjour ». La destinataire est madame Porcher de l'agence de droits d'auteurs en billet Porcher-Prudhommeaux qui finançait les auteurs en contrepartie d'une part des droits d'auteurs ou des billets d'entrée. Rare lettre signée deux fois ! [353-2]
Reference : 015346
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[COMTESSE D’HOUDETOT] BUFFENOIR (Hippolyte), historien, écrivain et poète français (1847-1928).
Reference : HCLM7
Belle lettre concernant la Comtesse d’Houdetot. Il demande à son correspondant un renseignement à propos de la Comtesse d’Houdetot, pour laquelle il a un grand intérêt. « Savez-vous si, vers 1857, une revue intitulée " La revue Française" a publié un article sur Madame Houdetot à Sannois, article émanant d’un Monsieur Chéron ? Je vous donne le vague renseignement que j’ai. Vous savez sans doute que tout ce qui attrait à la Comtesse d’Houdetot m’intéresse vivement. ». Il ajoute en post-scriptum : « Je cherche depuis longtemps sans les pouvoir trouver : les poésies de la Vicomtesse d’Houdetot, belle-fille de l’amie de Saint-Lambert. C’est un petit volume in-12 ou in-16 datant de 1783 à 1787, de 63 pages imprimé par Didot l’Aîné… »
CLAUSS-SZARVADY (Wilhelmine) pianiste d’origine tchèque née à Prague. Elle fut épouse en 1855 de l’écrivain hongrois Frédéric Szarvady (1834-1907)
Reference : 34C20
Très belle lettre. Elle sollicite Gatayes afin qu’il vienne « ajuster » demain, « la dernière répétition des quintets de Schumann que je ferai à 2 heures demain chez Erard, 13 rue du Mail. Je serai très heureuse si vous vouliez bien me consacrer quelques instants car je désirerai bien vous faire connaître ce bel ouvrage et de savoir là-dessus votre précieuse appréciation… ».