Edouard Charton (1807-1890), directeur de journaux, homme politique. L.A.S., Versailles, 25 avril 1884, 1p in-12. Au poète Armand Renaud (1836-1895). « Bien cher Monsieur, on m'annonce que l'on va réimprimer votre volume de l'héroïsme. Auriez-vous à y faire quelques modifications ? Donnez-vous suite à votre idée d'un autre livre pour la Bibliothèque des Merveilles [partie illisible] ? [.] Vous savez que l'on continue, dans vos environs, à battre [mot illisible] au Magasin pittoresque parce qu'il s'y trouve des Eglises ! ». Renaud ne publiera aucun autre volume à la Bibliothèque des Merveilles. Son seul ouvrage est donc L'héroïsme : récits légendaires et historiques. Sympathique lettre autour de la Bibliothèque des Merveilles. [167]
Reference : 012352
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Edouard Charton (1807-1890), directeur de journaux, homme politique.
Reference : 012351
Edouard Charton (1807-1890), directeur de journaux, homme politique. L.A.S., Houlgate, 10 août 1879, 1p in-12. Au poète Armand Renaud (1836-1895), nommé ici M. Armand. « Cher M. Armand, Lorsque vous êtes venu me faire vos adieux, j'étais très souffrant : maintenant je suis au bord de la mer ; je voudrais que ce fût au Pirée. Heureux mortel, heureux poète ! Je vous envoie toutes mes félicitations. C'est une patrie que vous aller admirer : il nous en reviendra quelque beau poème pour nous consoler un peu ». Sympathique lettre amicale dans laquelle on apprend le voyage de Renaud au Pirée. [167]
Edouard Charton (1807-1890), directeur de journaux, homme politique.
Reference : 012354
Edouard Charton (1807-1890), directeur de journaux, homme politique. L.A.S., 5 mars 1885, 1p in-12. Au poète Armand Renaud (1836-1895). « Cher poète, Je vous lis et très sincèrement j'admire. Cette nouvelle oeuvre doit, à mon sentiment, vous placer très haut. C'est fortement pensé, senti, écrit, et intéressant. Je vous en dirai plus lorsque je serai plus avancé dans la lecture de cette belle suite d'inspirations ». Belle lettre au moment de la publication de Drames du peuple (Paris, Lemerre, 1885). [167]
Edouard Charton (1807-1890), directeur de journaux, homme politique.
Reference : 012355
Edouard Charton (1807-1890), directeur de journaux, homme politique. L.A.S., Versailles, 11 mars 1885, 2p & demi in-12. Au poète Armand Renaud (1836-1895), nommé ici « M. Armand ». « Vous me rendez sombre ! Vous accroissez en moi le sentiment de la pitié ! Grand effet d'une poésie puissante et sincère ! Mais, hélas ! Que conclure ? Il faut être bon, il faut être dévoué et juste. Voilà toute la part de devoir et d'action de chacun de nous. Le mal est immense : pourra-t-il jamais être curable ? Depuis plus d'un siècle, il n'y a plus qu'un culte, celui de l'humanité. J'ai fait tout ce qu'il m'a été possible pour montrer, prouver par mes oeuvres publiques ou privées que j'en ai toujours été un des fervents disciples. Toutefois me voici au bord de ma résurrection, et je ne sens pas moins que l'humanité, être périssable et qui peut être tout à coup anéantie entièrement dans un cataclysme matériel, ne saurait être le but final et suprême des aspirations et des travaux de la vie ». Superbe lettre. [167]
Edouard Charton (1807-1890), directeur de journaux, homme politique.
Reference : 012350
Edouard Charton (1807-1890), directeur de journaux, homme politique. L.A.S., Versailles, 3 décembre 1878. 1p in-12. Au poète Armand Renaud (1836-1895). « Je lis avec émotion votre belle poésie patriotique. Vous êtes un bel exemple comme talent et comme caractère. Vous avez l'inspiration et la sagesse. Je vous remercie vivement. [.] Il y a bien longtemps que je n'ai vu votre frère. Que devient-il ? Mes respects à madame votre mère ». Sympathique lettre au moment de la publication de « Tombés au champ d'honneur : épisode de l'Exposition de 1878 » (Paris, Lemerre, 1879). [167]
Edouard Charton (1807-1890), directeur de journaux, homme politique.
Reference : 012353
Edouard Charton (1807-1890), directeur de journaux, homme politique. L.A.S., 10 décembre 1884, 1p in-12. Au poète Armand Renaud (1836-1895). « Vous devez être content du Journal des Débats (mardi 9). Les vers de vous qu'il cite sont charmants et vont tout-à-fait à mon spiritualisme obstiné. Plût à Dieu qu'il n'y eut que le moins de corps possible ! Quelle lourde et grossière machine ont à trainer même les plus jeunes et les plus belles ! Tout à vous bien affectueusement. Avez-vous appris quelque chose au sujet du jeune Colomb, et à propos de la décoration. Je n'ai eu encore qu'une réponse vague ». Sympathique lettre amicale. [167]