Antoine d'Argout (1782-1858), homme politique, ministre, gouverneur de la Banque de France. L.S., Paris, 3 novembre 1832, 1p in-folio. Concernant le paiement d'un fonctionnaire. [226]
Reference : 012270
Librairie Trois Plumes
Benoît Galland
131 rue du haut Pressoir
49000 Angers
France
+33 6 30 94 80 72
Conditions de ventes conformes aux usages de la librairie ancienne et moderne
[s.n.] - Service Central de l'Ingénieur en Chef Compagnie des Chemins de fer de l'Est ; SAUVAGE ; DIETZ, David
Reference : 56071
(1870)
Lot de 14 courriers dont 11 adressés à David Dietz, chef d'atelier à la Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870, du 20 juillet 1870 au 5 août 1870 (en général 1 ou 2 pages par lettres) : I : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 20 juillet 1870, précisant le rôle de leurs services et l'organisation des Corps Francs des Chemins de fer. M. Dietz est nommé dans ce cadre chef du matériel roulant, 2 pp. ; II : Lettre de nomination à ce poste signée du Directeur de la Compagnie M. Sauvage, 1 p. ; III : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 ; IV : Copie manuscrite de la décision de nomination d'un second, M. Doré ; IV : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 à M. Dietz, précisant les "divers travaux ou fournitures qu'exigent les transports militaires" qui sont de deux sortes, "les uns qui restent à la charge de la Compagnie, tels que confections de strapontins... les autres directement demandés par l'autorité militaire et restant à la charge de l'Etat" ; V : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 2 août 1870 à M. Dietz, approuvant notamment les hamacs installés par Dietz [ pour le confort des blessés ] ; VI : Copie conforme signée par Vuillemin d'une réquisition de l'Armée du Rhin ; VII : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 3 août 1870, évoquant la livraison de bidons, d'urinoirs et de deux modèles de hamacs ; VIII : Lettre à en-tête de l'Exploitation de la Compagnie, datée du 4 août 1870 "J'ai immédiatement adressé à Messieurs les médecins de la Cie de l'Est une circulaire pour les inviter à prêter leur concours tant pour le transport que pour la visite des blessés de l'armée" ; IX : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 4 août 1870, relative à l'envoi d'un troisième modèle de hamac, de 30000 pitons, etc. ; X : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 5 août 1870 ; XI : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef signé de Vuillemin à M. Dietz, datée du 5 août 1870 : "J'ai remarqué que pour les transports des blessés militaires, sur vos hamacs dans les wagons N ou autres, il faut un temps assez long pour amener les blessés aux wagons et pour les placer sur les hamacs. En supposant que les gares dans lesquelles doit s'effectuer l'embarquement soient pourvues de hamacs avec les cordes et leurs pitons, nos hommes seraient en mesure de tout disposer dans le premier wagon venu, pour peu qu'ils soient prévenus quelques heures d'avance. Il ne serait donc pas nécessaire de garnir tous nos wagons de pitons, mais il faudrait toujours avoir aux gares d'embarquement des pitons que nos ouvriers placeraient dans les wagons..." ; XII : on joint 3 autres pièces
Lot de 14 courriers dont 11 adressés à David Dietz, chef d'atelier à la Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870, du 20 juillet 1870 au 5 août 1870 (en général 1 ou 2 pages par lettres) [ Dossier de 11 courriers manuscrits adressés à David Dietz, chef d'atelier : La Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870 ] I : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 20 juillet 1870, précisant le rôle de leurs services et l'organisation des Corps Francs des Chemins de fer. M. Dietz est nommé dans ce cadre chef du matériel roulant, 2 pp. ; II : Lettre de nomination à ce poste signée du Directeur de la Compagnie M. Sauvage, 1 p. ; III : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 ; IV : Copie manuscrite de la décision de nomination d'un second, M. Doré ; IV : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 à M. Dietz, précisant les "divers travaux ou fournitures qu'exigent les transports militaires" qui sont de deux sortes, "les uns qui restent à la charge de la Compagnie, tels que confections de strapontins... les autres directement demandés par l'autorité militaire et restant à la charge de l'Etat" ; V : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 2 août 1870 à M. Dietz, approuvant notamment les hamacs installés par Dietz [ pour le confort des blessés ] ; VI : Copie conforme signée par Vuillemin d'une réquisition de l'Armée du Rhin ; VII : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 3 août 1870, évoquant la livraison de bidons, d'urinoirs et de deux modèles de hamacs ; VIII : Lettre à en-tête de l'Exploitation de la Compagnie, datée du 4 août 1870 "J'ai immédiatement adressé à Messieurs les médecins de la Cie de l'Est une circulaire pour les inviter à prêter leur concours tant pour le transport que pour la visite des blessés de l'armée" ; IX : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 4 août 1870, relative à l'envoi d'un troisième modèle de hamac, de 30000 pitons, etc. ; X : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 5 août 1870 ; XI : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef signé de Vuillemin à M. Dietz, datée du 5 août 1870 : "J'ai remarqué que pour les transports des blessés militaires, sur vos hamacs dans les wagons N ou autres, il faut un temps assez long pour amener les blessés aux wagons et pour les placer sur les hamacs. En supposant que les gares dans lesquelles doit s'effectuer l'embarquement soient pourvues de hamacs avec les cordes et leurs pitons, nos hommes seraient en mesure de tout disposer dans le premier wagon venu, pour peu qu'ils soient prévenus quelques heures d'avance. Il ne serait donc pas nécessaire de garnir tous nos wagons de pitons, mais il faudrait toujours avoir aux gares d'embarquement des pitons que nos ouvriers placeraient dans les wagons..." ; XII : on joint 3 autres pièces
Michel Clémenceau (1873-1964), homme politique, député, fils de Georges Clémenceau.
Reference : 012736
Michel Clémenceau (1873-1964), homme politique, député, fils de Georges Clémenceau. L.A.S. & L.S., 27 mars 1939, 1p et demi in-4. Courte lettre autographe signée à un ami lui demandant de publier la lettre qu'il a envoyée au directeur du journal Paris-Soir, Pierre Lazareff (1907-1972). Il joint à cette lettre une longue lettre tapuscrite qui détaille les erreurs d'un article de Paul Bringuier publié le même jour sous le titre « le règne de Marianne » et concernant le scandale de Panama. Il mentionne notamment que l'article reprend les mensonges de calomniateurs tels que « Judet, Déroulède, Millevoye, Arton et bien d'autres ». Cet article est en fait une longue série d'articles publiés dans Paris-Soir. La lettre de Michel Clémenceau sera bien publiée en page 4 du numéro du 30 mars 1939, sur le côté de la suite de l'article de Bringuier. Belle lettre de défense de son papa. [69-2]
Henry [Henri] de Bourbon (1573-1608), duc de Montpensier, dauphin d'Auvergne & Anne d'Alègre (morte en 1619), comtesse de Laval.
Reference : 002284
2 documents signés dont un sur peau de vélin, 30 janvier 1591 & 10 février 1591, 1p in-4 oblong (47*17cm) & 1p in-4. Lot de deux documents, anciennement attachés ensemble. Le premier est une lettre signée par Henri de Bourbon, et contresignée par une autre personne. Cette lettre est abîmée avec un gros manque en haut, et est datée du 10 février 1591. Elle est adressée à Gédéon Le Pennec de Boysjollan, vraisemblablement pour accompagner le second document. Le second document est donc une lettre signée par Anne d'Alègre (qui signait Anne D'Allegre), sur peau de vélin. Il s'agit d'une lettre adressée à M. de Boysjollan, commandant le chasteau de la Bretesche, qu'on qualifiait alors de commission, afin de nommer Boysjellan comme commandant de La Bretesche. On sait qu'avec une lettre du 18 décembre 1590, Henri de Montpensier envoyait sa commission (nomination comme commandant) datée du 16 décembre 1590 (que nous vendons séparément). Dans la lettre du 18 décembre, il demandait que Boysjellan d'obtenir la nomination et la provision de madame de Laval. Il est notamment question dans ce document d'une somme d'argent semble-t-il (texte difficile à déchiffrer). Très beau document avec le timbre à sec. Intéressants documents historiques, signatures rares. Sur Gédéon Le Pennec de Boysjollan : suite au départ de Carentoir, il fut nommé le 16 décembre 1590 commandant du camp de La Bretesche, citadelle huguenote près de Nantes. Fait prisonnier en 1591, il fut libéré grâce à l'intervention de sa tante auprès du duc de Mercoeur et moyennant une rançon payée par un cousin. Pour rembourser ce cousin, il vendit notamment la seigneurie de Bois-Jolland à un autre cousin qui la revendit ensuite à la veuve de Gédéon (mort en 1607 ou 1608) en 1612.
Phone number : +33 6 30 94 80 72
FORBIN (Louis Nicolas Philippe Auguste de, comte) peintre français d’histoire, de compositions animées, directeur des musées royaux, membre de l’Institut (1777-1841)
Reference : 14C26
a) Lettre signée pré-imprimée à l’en-tête des Musées Royaux et datée du Louvre, le 7 août 1832. 1 p. in-8. « Les Suisses et Gardiens des Musées Royaux du Louvre et du Luxembourg laisseront entrer tous les jours Mr Fabien Pillet et sa Société jusqu’au 1 er janvier 1833 ». b) Lettre autographe signée au journaliste et administrateur français Fabien Pillet (1772-1855) S.l. 1 p. in-8. 22 avril 1822. Il est « charmé de trouver l’occasion de faire une chose qui soit agréable » à son correspondant. c) Lettre autographe signée aux « Bureaux de la Presse ». S.l.n.d. Il informe qu’il reçoit en double le journal de la Presse.
L’ensemble des 3 pièces
Il s’agit reçus signés en faveur de son éditeur pour des sommes reçues en échange de droits à publier ses ouvrages. Pierre-Jean-Baptiste Nougaret (1742-1823) est originaire de La Rochelle. Il fut un polygraphe très productif, parmi la centaine d’ouvrages qu’on lui connaît on compte des pièces de théâtre, recueils de poésie, romans licencieux ou non, écrits politiques, historiques, recueils d’anecdotes, anas, etc.- Lettre de la main de Claude Brunot-Labbé, signée par Nougaret, du 1er décembre 1814, 1 p. et 3 lignes in-4. “Entre nous soussignés (...) de me composer pour en jouir comme chose à moi appartenant pour toujours, un ouvrage intitulé Beauté de l’histoire des États Unis d’Amérique Septentrionale ou récit des découvertes (...) trois cent francs lorsqu’il me remettra le manuscrit et je lui donnerai en outre quinze exemplaires (...)”- Lettre autographe portant trois fois la signature de Nougaret pour des sommes reçues pour son ouvrage sur l’Amérique Septentrionale en avril 1815. 1 p. in-8.- L.A.S. du 21 juillet 1817 “(...) reconnais avoir cédé et transporté pour toujours à Monsieur Brunot Labbé (...) Beautés de l’histoire de Sicile et de Naples moyennant la somme de trois cent francs (...)” 7 lignes in-4.- L. A. S. du 10 mars 1818. “(...) avoir reçu de M. Bruno-Labbé, libraire à Paris la somme de trois cents vingt francs en son billet à mon ordre pour un ouvrage de ma composition intitulé Beautés de l’histoire de Prusse (...)” 8 lignes in-4.- L. A. S. du 4 nov. 1818. “(...) avoir reçu de M. Bruno-Labbé la somme de six cent francs pour l’ouvrage de ma composition que je lui ai vendu Beautés et merveilles de la Nature (...)” 7 lignes in-4. Cet ouvrage n’a jamais paru.- L. A. S. du 26 février 1821. “Je soussigné P. J. B. Nougaret (...) avoir vendu à M. Lerouge, libraire, un manuscrit ayant pour titre Beautés du règne des Bourbon (...)” 15 lignes in-4. Signée par les 2 contractants : Lerouge et Nougaret. Au verso, note signée de Lerouge du 8 nov 1832 : “Je cède et transporte mon droit de propriété dont il est parlé d’autre part à Mr. Brunot Labbé moyennant la somme de cinquante francs (...)” 4 lignes in-4.