[Pierre Benoit (1866-1962), écrivain] Georges Robert, directeur de l'office cinématographique Français. 5 L.S., 1955, 5p in-8 & 1p in-4. À L. Wallmann, de Meyer Bros Ltd. 5 lettres relatives aux droits d'adaptation pour la télévision canadienne de La Dame de l'ouest sous le titre La Signora dell Ouest et Les compagnons d'Ulysse sous le titre Rosa di sangue. On joint la copie de deux réponses de Wallmann (2p in-4). Discret cachet de la collection Jean-Louis Debauve. [314]
Reference : 012058
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Ensemble de 9 lettres Autographes signées, et 2 lettres signées de Gilbert Cesbron (1913-1979) à Monsieur Jean Le Marchand.2 grandes lettres autographes signées et datées de 1948, format (27x21),2 lettres dactylographiées datées et signées de 1950, format (27x21),1 lettre autographe signée, format (21x19),6 lettres autographes signées dont 2 de 1950 et 1 de 1948, format (21x13).Correspondance relative à sa collaboration à la revue "la table ronde". Il envoie des textes "promenades" ou "humeurs". Quelques lettres évoquent le sort de "qui se souviendra de Babylone ?" ou de son article sur Albert Schweitzer "aux yeux des américains le plus grand homme du monde". Il souhaite une collaboration suivie avec l'équipe de la revue, demande des réponses promptes, relance Mr Le Marchand pour savoir quand ses textes passeront.
MARIE FEODOROVNA (Sophie-Dorothée de Wurtemberg) princesse allemande qui devint en 1776 par son mariage, avec le futur tsar Paul 1er, impératrice de Russie sous le nom de Marie Féodorovna (née en 1759 et morte le 5 novembre 1828 à Pavlovsk).
Reference : 42gC27
Ces lettres datées du 3 août 1827 au 3 octobre 1828, comprenant la période de la guerre Russo-turque (1828-1829), sont les derniers témoignages avant sa disparition. Elles sont écrites en français, trois de ces lettres sont sans date, le billet est rédigé au crayon d’une écriture difficile. Belle et rare correspondance dévoilant un aspect de l’intimité des Romanov où l’on découvre la sensibilité d’une impératrice douairière, très proche de ses enfants et petits enfants. Elle est très attentive à la santé de l’impératrice Alexandra. « Nos deux lettres, chère Mademoiselle Wildermeth, se sont croisées de près et je vous remercie de tout mon cœur. Je suis persuadée que la saignée fera grand bien à notre chère Impératrice, elle se sentira défoulée, le mal passera et cela influera aussi sur la lourdeur des jambes … ». Elle la questionne de nouveau sur sa santé, en janvier 1827. « Je m’adresse à vous pour vous prier de me dire si notre chère Impératrice a passé une bonne nuit et si elle ne se désole pas de son mal de tête ; elle en soufrait hier, je le voyais quoiqu’elle eut voulu prendre sur elle. La promenade ne l’a-t-il pas augmenté… ». Pavlovsk, 9 Mai 1828, elle tient à informer la gouvernante du dernier voyage de l’impératrice, nouvelles qu’elle a reçues hier : « l’Imp. me parait satisfaite et de bonne humeur, elle me donne des détails de leur voyage… Elle me parle aussi d’une synagogue qu’elle a vue et de l’impression désagréable qu’elle lui a faite, tout comme à moi lorsque j’étais dans le cas d’un soir. Marie s’amuse beaucoup de ce voyage et écrit à sa sœur et à son frère… ». Elle lui demande également de communiquer ces nouvelles à « Guillaume », (Guillaume 1er, empereur allemand) ne pouvant lui écrire aujourd’hui, et lui raconte sa visite chez lui. Le souverain l’a trouvé « bien docile », entourée des petits enfants « qui faisait le train autour de moi ». Elle lui apprend que son fils Nicolas, arrive à Dresde le 11 mai (1828) et que l’impératrice espère le voir. Elle a supporté « admirablement bien le voyage », ainsi que la petite Alexandra. Le 16 juin 1828, de Pavlovsk, elle se sert « d’une main étrangère » pour lui annoncer sa grande peine, causée par la mort du Gand duc de Weimar, « en songeant que ce malheur accélère le départ de mes enfants, en m’ôtant en même temps l’espoir de les revoir ! Jugez de l’état de mon âme ». Toujours de Pavlovsk, le 27 juin 1828, elle lui apprend la reddition « de Brahilev » (pour Braïla), la forteresse de Matte Chine (pour Matchin), de Hirsova et finalement d’Anapa ». C’est l’impératrice qui lui a donné ces nouvelles, qu’elle avait appris par une lettre provenant « du même bâtiment à vapeur », qui avait permis l’acheminement du courrier et le débarquement de l’empereur Nicolas 1er. Sa joie est totale avec la soumission d’Anapa et lui annonce que c’est « une grande et importante nouvelle qui peut nous donner de grands résultats » 11 Juillet 1828, elle répond à son ancienne gouvernante qui l’avait félicité des succès de Nicolas 1er en Turquie. « Je vois que vous avez pris, ainsi que je l’ai prévu, beaucoup de part aux triomphes de l’Empereur… ». L’éloignement de l’Empereur concerné par cette guerre est bien pénible à Alexandra, très inquiète, le sachant « s’approcher toujours d’avantage des forces de l’ennemi ! La confiance seule dans la protection Divine, qui repose si visiblement l’Empereur peut seule donner des forces pour supporter une situation de l’âme aussi pénible… Que Dieu le protège… ». Saint-Pétersbourg, 15 septembre 1828. Au moment « même » de répondre à sa « chère Wildermeth », elle reçoit une lettre de l’impératrice qui lui précise la date de son départ. « Sa santé et celle de petite Marie (future Marie Nikolaïevna, grande duchesse de Russie qui épousa en 1839 Maximilien de Leuchtenberg) sont bonnes. Elle sera le 4 octobre à Gatchina où j’irai la recevoir avec le petit Alexandre… ». Elle attend des nouvelles de la chute de Varna « d’un moment à l’autre, c’est un temps d’angoisse et d’inquiétude, que les paroles ne peuvent dépeindre sur ce que l’âme l’éprouve trop vivement… ». Gatchina, 3 octobre 1828, l’impératrice est arrivée à Gatchina et elle a éprouvé un grand bonheur en retrouvant ses enfants. « Aujourd’hui nous allons en ville, où j’attends une nouvelle jouissance, celle de revoir chez nous son beau Constantin, avec son air de prospérité. Vous avez fait un des premiers sujets de notre entretien. J’ai parlé à l’Impératrice du plaisir que j’espérais avoir de vous revoir chez nous et elle le partageait vivement ». Elle lui recommande d’être prudente concernant sa santé, lors de sa venue, « mais je me dis quelque fois que le plaisir de revoir notre chère Alexandrine redonnera, je le crois certain et sera aussi d’un bien à votre santé et je me flatte que de vous embrasser ». Un mois après l’impératrice s’éteignait.
R.BAILLET-DEHEZ. 1928-1931. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. LOT DE 3 LETTRES DACTYLOGRAPHIEES DE R.BAILLET-DEHEZ ENTREPOT D'HUILE D'OLIVE DE NICE D'ARACHIDE & DE SESAME - DATANT DE 1928 - DESTINEE A MESSIEURS A.LANDE & CIE - LETTRES SIGNEES.. . . . Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine
Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine
STE DES FORGES MODERNES. 1937. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. LOT DE 2 LETTRES DACTYLOGRAPHIEES SOCIETE DES FORGES MODERNES A & L NOEL FRERES MACHINES OUTILS & PETIT OUTILLAGE DE PRECISION - DATANT DE 1937 - DESTINEE A MONSIEUR DE A.LANDE - LETTRES SIGNEES.. . . . Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine
Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine
[Taffard] - BERTHAUD, Pierre Louis ; ( BOURCIEZ, Edouard)
Reference : 56626
(1942)
Ensemble 3 vol. à savoir : Un des 250 exemplaires du tirage à part sur papier bouffant Mondial des Papeteries de Condat, Préface de M. Edouard Bourciez, 1 vol. in-8 br., Taffard, Bordeaux, 1942, 89 pp. [On joint : ] La Littérature gasconne du Bordelais, 1 vol. in-8 br., Société d'Editions Les Belles Lettres, Paris, 1953 [ On joint : ] Deux Journaux Bordelais en Gascon. Lou Raouzelet (1870) et La Cadichounne (1877), Les Belles Lettres, 1949
On joint 4 lettres tapuscrites signées de l'auteur évoquant sa "Bibliographie gasconne" et adressées à Edouard Massoneau, ainsi que 2 L.A.S. d'André Goujas et Louis-Marie Planes adressée également à Edouard Massonneau et concernant l'ouvrage. Bon ensemble (couv. un peu frottée avec petite fente en mors pour le premier titre, très bon état par ailleurs).