Poème autographe signé, 21 novembre 1858. A Cécile Boileau (1813-1892), épouse du militaire et hydraulicien Pierre-Prosper Boileau (1811-1891), amis versaillais de Deschamps. Quand Cécile, votre patronne (Et qui le mérite si bien !) Vous sourit du haut de son trône. Les voux mortels ne sont de rien. Souffrirez-vous que sur ses ailes, Le vent porte en votre séjour, Près des fleurs qui vivent un jour Mes vers qui meurent plus tôt qu'elles !. Puissent-ils du moins, sur leurs pas, Réveiller la harpe indocile Que votre patronne Cécile Vous donna. mais qu'on n'entend pas ! Emile Deschamps Suis une petite note : « merci madame de votre si obligeante lettre et des bons renseignements ». Sympathique poème amical. [178b]
Reference : 011613
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