Edouard Bamberger (1825-1910), député de Metz puis de la Seine, franc-maçon. C.A., sd [1876-1881], 10 lignes. A Arthur Mangin : « Merci mon cher Mangin de votre bon souvenir et de vos excellentes et encourageantes paroles. Je ferai tous mes efforts pour marcher dans la même voie que par le passé, conservant pour devise ces deux mots : Prudence et fermeté ». Il y a probablement ici un sous-entendu politique, Mangin et Bamberger étant proche de la gauche républicaine. [299]
Reference : 009904
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Ernest Bersot (1816-1880), philosophe. C.A., sd, 3 lignes. A Arthur Mangin : Ernest Bersot « remercie Monsieur A Mangin de la façon dont il a présenté ses livres et de l'intérêt qu'il porte à l'auteur ». [299]
Charles Giraud (1802-1881), juriste, membre de l'Institut & Maurice Block (1816-1901), statisticien & économiste.
Reference : 010024
Charles Giraud (1802-1881), juriste, membre de l'Institut & Maurice Block (1816-1901), statisticien & économiste. C.A., sd, 2 lignes. A Maurice Block. « Prière de me renvoyer mon manuscrit avant jeudi matin, pour la même raison que samedi dernier ». Block a ensuite adressé cette carte à Arthur Mangin en y ajoutant : « Je vous la transmet avec mes compliments. Le facteur vient de me l'apporter, il est 11hœ. M.B. ». [300-3]
Paul d'Abzac (1838-1904), diplomate, consul de France notamment à la Nouvelle-Orléans ou à New York.
Reference : 009897
Paul d'Abzac (1838-1904), diplomate, consul de France notamment à la Nouvelle-Orléans ou à New York. C.A., sd, 2 lignes. A Arthur Mangin : « avec la respectueuse expression de ses regrets ». [299]
Armand Lalande (1820-1894), député de la Gironde. C.A., sd [1887 ?], 1 lignes. Vraisemblablement à Mme Arthur Mangin. « avec mes plus sincères condoléances ». [301]
Auguste Valette (1805-1878), jurisconsulte, professeur de droit, homme politique.
Reference : 010191
Auguste Valette (1805-1878), jurisconsulte, professeur de droit, homme politique. C.A., sd, 4 lignes. A Arthur Mangin, au crayon : « Le vrai texte de Caesar (de Bell. Gall. Lib VI, 16) est ainsi conçu « Natio est omnis gallorum admodum dedida religionibus » ». [303-2]