Caroline von Pichler, Olivier. Paris, Arthus Bertrand, 1823. 2 tomes in-12 en 1 volume, frontispice-VIII-207-[4]-243p Edition originale de la traduction de Madame de Montolieu. L'ouvrage avait paru anonymement en allemand en 1802. Complet de la seule gravure (le titre annonce « avec figure »). Cartonnage bradel d'époque, pièce de titre maroquin. Petits défauts, rousseurs éparses. Etiquette bibliothèque de Cangé n°1408 (Château de Cangé à Saint-Avertin, Indre-et-Loire). Rare
Reference : 009451
Librairie Trois Plumes
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, , 1659-1670. Manuscrit in-4 (20 x 27 cm) à l’encre brune de 582 pp. chiffrées 593, à 40 lignes par page, vélin souple à rabat, dos lisse muet, super-libris manuscrit "O.D. Mottet" sur la tête, traces de lacet (reliure de l’époque).
Livre de raison renseigné pour la période 1659-1670 provenant d’une des familles les plus illustres de Provence présentée dès 1693 par Robert de Brianson dans L'État de la Provence dans sa noblesse (II, p. 412) : « La famille de Mottet de la ville de Tarascon est une des plus anciennes de cette ville et elle conserve encore les provisions de la Commanderie de Bordeaux qui fut donnée le 28 de Novembre de l’an 1417 à Galiot Mottet, Chevalier de Rhodes (…} Rostan de Mottet sieur de Molières marié l’an 1609 avec Jeanne de Georges, fille d’Olivier de Georges Seigneur de Fons en Languedoc. Rostan de Mottet laissa deux fils, Olivier et Jean de Mottet. Olivier fut maintenu dans sa noblesse par le même arrêt que Nicolas et Charles de Mottet ses cousins. Et Jean fut reçu Chevalier de Malte l’an 1628 et enfin pourvu de la Commanderie de Bordeaux l’an 1665 ». Premièrement ledit jour premier septembre 1659 noble Roustan de Mottet mon feu père est décédé ab intestat âgé de soixante douze ans et six mois environ l’heure de midi avant été attaqué d’une apoplexie entre six et sept du matin il n’a point été surpris d’une mort si soudaine puisqu’il se préparait de bien mourir de longue main se confessant et communiant toutes les semaines et même le samedi avant sa mort qui arriva le lundi il s’était confessé et communié dans l’église des RR Pères de la doctrine chrétienne et ce petit mémoire servira de consolation pour ses successeurs (…) Plus ledit N. Roustan de Mottet a laissé après son trépas trois enfants deux mâles et une fille savoir moi Olivier de Mottet âgé de quarante-neuf ans complets et révolus depuis le premier septembre étant né un pareil jour et une même heure que mon père est mort (…) Plus ce jour d’huy 8 de septembre 1659 j’ai fait faire ce présent livre de raison à Monsieur Sauret et bénéficié de Sainte Marthe (Incipit).Recueil dense et copieux d’une décennie d’activités de la Maison Mottet occupée aux vendanges de ses deux vignobles mais aussi à la culture des oliviers réparties sur leurs domaines de Tarascon et Marguerittes - nécessitant des voyages à Aix, Arles, Avignon, Nîmes, Beaucaire etc.Cette remarquable archive provençale est à la fois le témoin de la gestion d'un important domaine terrien et de la comptabilité domestique d’une maison noble au XVIIe siècle tenue chaque jour avec son résumé en manchettes : "louage et soins des chevaux", "taille des grains", "antimoine", "chapeau à la forme ronde", "vignes arrachées", "souliers des laquais", "foires", "mon cousin Charles de Mottet", "Catherine d’Archambault apothicaire à Tarascon", "cinquante huiles", "Raymond de Modene", "grains perçus à Marguerittes", "main de papier" etc.Pièce manuscrite d'une grande lisibilité copiée d'une même main avec très peu de biffures. Coupes et dos de la reliure partiellement déchirés avec petits manques de peau ; deux petits trous de ver sur les quinze premiers feuillets, galerie de ver marginale sur les derniers feuillets.
Stéphane Halgan - Olivier de Gourcuff - Stéphane Halgan, le Comte de Saint-Jean - Olivier Pierre Charles comte de Gourcuff - René Pocard du Cosquer de Kerviler
Reference : 46549
(1884)
1884 Nantes, Société des bibliophiles bretons et de l'histoire de Bretagne, 1884 - Reliure 12 basane cerise - Dos à nerfs - Grand In-4, grandes marges, sur Vergé - EDITION ORIGINALE numérotée, tirage à 350 exemplaires, celui-ci N° 137 au nom de René de Saint-Pern - Couverture conservée (petite tache) - Frontispice , portrait de René Le Pays - Bandeau, Lettrines et Culs-de-lampe - XVI-283 pages + Table - Bel exemplaire
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La Crèche, Geste éditions, 2003, gr. in-8°, 300 pp, 16 photos, un fac-similé, 3 cartes, notes, index, broché, couv. illustrée, bon état
Fin juillet 1914, alors qu'il est en permission dans son village des Deux-Sèvres, Olivier Guilleux, jeune instituteur, se réjouit d'aller à la balade où l'attendent amis, stands de tir, berlingots... Un télégramme arrive et lui enjoint de partir à la guerre. Saint-Pardoux, Mamers : il rejoint sa section du 115e et se met en marche pour Charny. Dès lors, il va tout consigner : notes, photos et croquis. Après maintes péripéties, il est fait prisonnier à Magdeburg. D'ici, s'établit un va-et-vient de lettres avec sa famille, ce qui constituera pour lui un lien très fort de résistance, comme une chanson de survie. De camp en camp, pendant toutes ces années, une idée qui ne le quitte pas : s'évader... Olivier Guilleux a rédigé le texte de son évasion sur les routes allemandes quelques années avant de mourir. — "La Grande Guerre d'Olivier Guilleux se présente d'entrée comme un document rare qui combine trois grands types d'écriture de guerre : un carnet de campagne, une correspondance croisée – ce qui n'est pas des plus fréquents – et un récit rédigé a posteriori. Le premier de ces documents, le moins original, est entièrement consacré à la mobilisation et aux premières semaines du conflit où l'on découvre, avec le jeune instituteur des Deux-Sèvres, la violence du feu. Olivier Guilleux ne tarde d'ailleurs pas à être blessé, dès septembre 1914, et, abandonné sur le champ de bataille, à être fait prisonnier par l'ennemi. En effet, la guerre d'Olivier Guilleux c'est avant tout l'expérience de la captivité, et c'est l'intérêt majeur de ce livre. À la différence de l'expérience de la mobilisation que l'on connaît bien, les récits portant sur la captivité sont peu nombreux et les travaux scientifiques sur la question sont réellement embryonnaires. Les lettres échangées entre le prisonnier et sa famille, et plus encore, le récit de son évasion, dévoilent ici la vie quotidienne dans un camp d'officiers (Guilleux est lieutenant) où les Allemands se comportent humainement envers les Français qui, pour leur part, font tout ce qu'ils peuvent pour leur compliquer la tâche par une «résistance passive». Ces quatre années derrière les barbelés révèlent la résistance de l'instituteur et sa détermination: jamais il ne baisse les bras ni ne perd espoir, passant le plus clair de son temps à apprendre des langues étrangères et à s'adonner à divers sports, entretenant son corps en vue d'une évasion qu'il finira par réaliser en 1918. La tentative est malheureuse mais elle montre bien le caractère trempé du personnage qui espère rejoindre au plus tôt son régiment pour reprendre le combat. Ce dernier récit se lit comme un roman." (Jean-Yves La Naour, Histoire, économie et société, 2004)
Bruxelles, La Pierre d'Alun, 1983. In-8, en feuilles, couverture blanche à rabats, 57 pp. Planches illustrées hors-texte.
Deuxième publication de " La Pierre d'Alun ". Edition originale. Un des 50 ex. du tirage de tête destinés aux amis de La Pierre d'Alun enrichi d'une lithographie originale numérotée et signée par l'artiste. (36/50). Ex signé par l'auteur et l'artiste. Etat neuf. Photos sur demande.
Bruxelles. La Pierre d'Alun. 1983. In-8° en feuilles sous chemise imprimée. 10 planches hors texte d'Olivier O. Olivier. 57 pages. E.O. 1/520 du tirage de base sur périgord mat.
Très bon état.