Henri Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., sd [1902], 1p in-8 oblong. A Alfred Vallette (1858-1935). Concernant la difficulté d'avoir de la réclame pour l'un de ses livres dans les journaux. Il mentionne un premier journal, sans le nommer, et ses conditions (1800f pour un article en première page), puis d'autres journaux : Le Figaro, l'Echo de Paris et le Gaulois. « Quand je vous disais que je sentais le four ! ». Il s'agit ici de la réclame pour Claudine en ménage dont il parle dans d'autres courriers. [291]
Reference : 009086
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Henri Gauthier-Villars dit Willy (1859-1931), écrivain. L.A.S., sd [1902], 2p in-8. A Alfred Vallette (1858-1935) appelé ici « Cher Vieux » (écrit d'une encre différente). Importante lettre pour l'édition de Claudine en ménage. « Je n'ai pu me faire recevoir, vers 6 heures Œ malgré mes coups de sonnettes éperdus. Alors, j'en ai . que vous étiez absent. Dites-moi, Simonis Empis m'écrit de lui apporter Claudine. Mais nous sommes bien d'accord, n'est-ce pas ? Je vais lui répondre que je marche avec vous ? ». Suite une note « Il n'y a pas d'urgence, de nous voir, n'est-ce pas ? On ne peut guère paraître en période électorale ». Suit ensuite ses disponibilités. 1902 est en effet une année d'élection. Claudine paraît, pour ses deux premiers volumes chez Ollendorff. Willy change d'éditeur pour le troisième, Claudine en ménage, et cette lettre prouve donc que H Simonis Empis aurait bien voulu l'éditer. Il avait déjà publié plusieurs ouvrages de Willy. Finalement, c'est bien Vallette et donc le Mercure de France qui le publiera. Très beau courrier. [291]