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[Gavarni] -
Jules Janin, Gavarni
Les Symphonies de l'Hiver.
Paris, Morizot, 1858. In-8, XX-384-[4]p. Edition originale, illustrée par Gavarni. L'illustration comprend quinze planches, y compris le frontispice, gravées par Collin, Rouargue, Willmann et Calamatta. Notre exemplaire est enrichi du portrait de Janin, en trois états différents. Il s'agit du portrait à l'eau-forte par Staal pour l'édition de Béranger et son temps de Janin (Paris, René Pincebourde, 1866, petit in-8), tirées ici sur des feuilles plus grandes. Nos tirages sont donc un tirage sépia sur chine, un tirage sanguine sur chine et un tirage noir sur hollande. Provenance : ex-libris LLR sur le contreplat (non identifié). Reliure vers 1900, demi-chagrin maroquiné rouge, dos lisse orné, tête dorée, non rogné, couvertures et dos conservés. Petits défauts, dos de la couverture restauré, papier très bien conservé. Très bel exemplaire, rarement aussi bien conservé.
Reference : 005740
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Les symphonies de l’hiver par Jules Janin. Illustrations de Gavarni.
— Paris : Morizot (impr. J. Claye), 1858. In-8, 257 x 167 : frontispice, XX, 384 pp., (2 ff.), 14 planches. – Broché, non coupé, sous chemise et étui (Alfred Parez).
Édition originale faisant suite aux Petits bonheurs parus l’année précédente, illustrée de quinze planches en premier tirage, dont le frontispice, gravées sur cuivre par Colin, Rouargue, Willmannet Calamatta d’après les dessins de Gavarni.L’ouvrage qui débute par un beau Prélude de Janin rendant hommage à l’artiste se compose de 12 symphonies : À Madame Héléna Fould, Au vieux Dante, au mariage, À Beethoven, À madame de Pompadour, Aux chemins de fer, À l’Opéra, Au ballet, à la Tarentule, À madame Prevost, À l’orgue et À la guitare.Très bel exemplaire broché, condition très rare.Très rare rousseurs dos légèrement assombri.Provenance : de la bibliothèque de l’écrivain Paul Toinet (1924-1991) avec son ex-libris.Bibliographie : Carteret, III, p. 322.
Les Symphonies de l'hiver. Illustrations de GAVARNI.
Paris, Morizot, 1858. Grand in-8, XX, 384 pp., (1) f., demi chagrin marine, dos à nerfs orné, tranches dorées.
Illustré de 15 planches gravées sur acier. Edition originale et premier tirage des illustrations. Exemplaire joli de reliure, très frais, pratiquement sans rousseurs.
Les symphonies de l'hiver par Jules Janin. Illustrations de Gavarni.
Paris : Morizot (impr. J. Claye), 1858. In-8 demi basane, dos à nerfs orné de caissons, titre et auteur dorés, plats gravés à froid, trois tranches dorées (reliure de l'époque) frontispice, XX, 384 pages, (2 feuillets), 14 planches hors texte sous serpente - Édition originale illustrée de quinze planches, dont le frontispice, gravées sur cuivre d'après les dessins de Gavarni - rousseurs éparses sinon bel exemplaire très bien relié et doré -
Recueil d'essais consacrés à la musique : À Madame Héléna Fould, Au vieux Dante, Au mariage, À Beethoven, À madame de Pompadour, Aux chemins de fer, À l'Opéra, Au ballet, À la Tarentule, À Madame Prevost, À l'orgue et À la Paul Toinet, A l'orgue, A la guitare -
Les Symphonies de l'Hiver; Illustrations de Gavarni.
Paris, Morizot, Libraire éditeur, 1858. Grand in-8 dans une reliure en plein vélin au dos lisse avec titre, auteur et fleurons peints en rouge et bleu et le 1er plat orné des initiales ME (Morizot éditeur ?) peintes en rouge, or et bleu. 1 f. bl. xx, dont faux-titre, titre, et prélude, 384 pp, 2 ff de table, 1 f. bl. 1er tirage des 15 planches d'après Gavarni, gravées sur acier par Collin, Rouargue, Willmann, Rouargue, Calametta. Edition originale, celui-ci étant un des quelques-un tirés sur papier Hollande qui ne furent pas justifiés. Traces noires sur le cuir. Intérieur frais sans rousseurs. Exemplaire en très bel condition.
"Aujourd'hui presque oublié Janin eu tous les honneurs, nanti d'une célébrité presque indiscutée, chroniqueur qui, pendant quarante-deux ans, rédigea la page dramatique du Journal des Débats parlant non seulement des pièces, des auteurs, et des interprètes, mais " de ces choses fugitives qui pourtant on été l'évènement d'un jour, d'une heure. sur un brouillard du soir, sur un violoniste qui passe, sur une danseuse qui s'en va, il a écrit des pages délicieuses, qui méritent d'être conservées...." "Il y a beaucoup à prendre dans ses livres, même aujourd'hui, ne serait-ce que pour y saisir les reflets d'une intelligence à la Sterne et à la Diderot." Références : Carteret T.3 p. 322, Talvart T. 10 p 105, Vicaire.
Les symphonies de l'hiver
1858 Paris, Morizot, 1858, grand in 8 de 1f., XX-384 pp., 1f., rel. demi-chagrin rouge, dos à nerfs, dos orné de caissons dorés, date en pied, tête dorée, bel ex. dans une reliure de FRANZ avec son étiquette.
Ed. orig. er 1er tirage de cet ouvrage illustré de 15 gravures hors-texte d'après GAVARNI.
