P.A., 8 avril 1826, 1p in-8. Lettre à un monsieur Le Coy au sujet d'une pièce qu'il n'a pu obtenir mais qu'il obtiendra bientôt. Peu commun
Reference : 002022
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1 L.A.S. et 1 P.A.S., sd [avril 1852] & 8 avril 1852, 2œp In-8 (11 lignes). Les deux documents sont adressés à son éditeur Furne et touchent au paiement de son histoire de France. Dans la lettre, il demande son double du traité qu'il a oublié et 100 francs pour la feuille 15 du tome 18. Le deuxième document est une reconnaissance de paiement pour ces 100 francs. Rousseurs
PITOËFF (Ludmilla) comédienne française d’origine russe (1895-1951)
Reference : 33C22
Belle citation extraite du rôle de Marthe, dans « l’Echange » de Paul Claudel. « Nous ne voyons pas Dieu mais nous voyons l’homme qui est l’image de Dieu ». Varvara, fille de Ludmilla et de Georges Pitoëff qui a 3 ans et demi, présente des soucis de santé. Lumilla inquiète, sollicite l’intervention de son docteur, ne se souvenant plus de la thérapie à suivre afin d’y remédier rapidement. « Vous vous rappelez peut-être que sacha a eu la même chose…la petite est fatiguée, nerveuse et a mauvaise mine… ».
Marcelle Vioux (1895-1951), écrivain. P.A.S. & L.A.S., sd, 3p. Deux courriers de remerciements à Gustave Kahn
P.A.S. « SB », sd, 1p in-12. Au journaliste André Calas. Elle remercie pour « l'excellent article » dans lequel il a fait « le maximum de ce qu'il était possible de faire en la circonstance ». Peu commun. Blum était une avocate proche de Cocteau.
S.n., Paris 16 septembre 1941, 14,5x10,5cm, une feuille recto-verso.
Lettre autographe signée du compositeur Vincent Scotto, adressée depuis son domicile parisien, à son grand ami l'écrivain provençal, caricaturiste et cinéaste Carlo Rim qui fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi d'André Salmon et Max Jacob (44 lignes à l'encre noire) Vincent Scotto insiste auprès de son ami et collaborateur Carlo Rim, qu'il estime être trop hésitant et indécis, pour qu"il trouve la motivation d'entrer en contact avec l'homme de théâtre Albert Willemetz afin que ce dernier fasse jouer la pièce que les deux marseillais ont créée ensemble de peur que leur projet ne tombe à l'eau : "Le 2 juillet Mon cher Carlo, en réponse à ta lettre je dois te dire que je pars pour Paris dimanche 6. dernier délai et que j'aurais aimé apporter à Willemetz l'autorisation et les conditions pour que notre pièce soit jouée car je sens bien qu'avec toutes ces réticences nous allons encore passer à travers et que c'est une autre pièce qu'on jouera à la place de la nôtre. J'aurais voulu que tu m'écrives une lettre dans ce sens : "Mon cher Willemetz. Il est entendu que nous vous autorisons à jouer notre pièce aux Bouffes Parisiens et à la retoucher selon les besoins de votre théâtre. Vous êtes autorisé également à faire les paroles des chansons selon les interprètes. Je vous céderai pour cela, en admettant que la pièce soit déclarée à 12%. 1% sur mes droits et M. Vinc. Scotto, 2% sur les siens ce qui fera, 3% Willemetz, 4% Scotto, 5% Carlo Rim, mais il reste bien entendu que si la pièce n'est pas jouée d'ici le 1er janvier 42 dans un de vos théâtres nous considérerons ce contrat comme nul et non avenu et nous reprenons chacun notre liberté." Voici mon cher Carlo à peu près ce que j'aurais voulu apporter à Willemetz. Bien entendu si cela ne te plait plus, je suis toujours de tout coeur avec toi mais réfléchis bien car il y a des occasions qui ne se retrouvent plus. Nos amitiés à ta femme. Je t'embrasse. V. Scotto. Au sujet de la chanson j'attends Jo Bouillon mais je te rappelle qu'elles ne sont pas complètement terminées au point de vue paroles. Vincent. Téléphone moi et écris moi : Lycée 18-68, 18-69." - Photos sur www.Edition-originale.com -
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