Editions de Fallois 2007, grand in-8 broché, 773 p. (bel état ; épuisé) Seconde édition de ce très vaste recueil de textes, parus pour l'essentiel dans des revues, présentés par Bernard Morlino et Bernard de Fallois et classés par thèmes : sur l'histoire, sur la France et l'Algérie, sur les écrivains, sur les Juifs, sur la justice, etc.
Reference : 48738
ISBN : 9782877066198
Librairie Jean-Michel de Laubrière
M. Jean-Michel de Laubrière
129 boulevard de Grenelle
75015 Paris
France
01 47 34 52 80
Conditions de vente conformes aux usages de la librairie ancienne ; les frais de port sont en sus, au tarif de la Poste en vigueur, et les ouvrages sont expédiés dès réception du règlement par chèque ou virement bancaire (possibilité de régler par PayPal pour les clients à l'étranger).
EDITIONS DE FALLOIS. 2007. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 773 pages. pages. Premier plat ilustré d'une photo en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 844-Essais
Texte recueillis et choisis par Bernard Morlino et Bernard de Fallois. Classification Dewey : 844-Essais
Paris, Editions de Fallois, (2007). Un fort vol. au format in-8 (242 x 156 mm) de 773 pp., broché.
''Auteur d'une vingtaine de livres et de plusieurs centaines d'articles, parent de Bergson et de Proust, ami de Drieu La Rochelle et de Malraux, Emmanuel Berl a occupé une place importante dans la littérature de l'entre-deux-guerres. Il est aujourd'hui très injustement oublié. Voici l'occasion de découvrir un des " grands méconnus " de ce siècle. Modèle d'esprit critique, sans conformisme, sans sectarisme, sans dogmatisme, il est un représentant très original de la pensée libérale. Il est aussi, par l'acuité de son jugement et la limpidité du style, un grand moraliste français. Essayiste, historien, pamphlétaire, journaliste politique, écrivain d'art, mémorialiste, Berl a touché à beaucoup de genres. Il passe de Tamerlan à l'affaire Dreyfus, d'un cours de Bergson à une lecture de Simone Weil, de la sagesse de Goethe à l'amour chez Proust, de la Kabbale à la psychanalyse. Il lit, il regarde, il écoute, il réfléchit, il commente. A travers mille anecdotes, portraits, souvenirs ou citations, il s'interroge aussi sur l'oubli, le progrès, le langage, la culture, la réflexion, la mort. Il avait un goût extrême de l'amitié. Dans les hommages qu'il a rendus à tel ou tel de ses amis - Daniel Halévy, Martin du Gard, Camus et bien d'autres -, c'est lui que nous voyons comme dans un miroir. Dans ces textes, classés par thèmes mais si divers, on trouvera le meilleur de Berl. Car il n'est jamais plus frappant que quand il réagit à une lecture ou à un événement, passant de la réaction à la réflexion et s'élevant avec facilité à l'essentiel. Il faut lire les écrivains morts non pour les juger mais pour la nourriture qu'ils nous apportent. La lecture de Berl est l'une des plus enrichissantes qui soient. Elle nous permet de rencontrer l'un des esprits les plus complets, les plus intelligents, les plus justes de notre temps.'' Très belle condition.
Julliard, 1985, fort in-8°, 773 pp, biographie de Berl par Bernard Morlino in-fine (57 pp), broché, couv. illustrée, bon état
Auteur d'une vingtaine de livres et de plusieurs centaines d'articles, parent de Bergson et de Proust, ami de Drieu La Rochelle et de Malraux, Emmanuel Berl a occupé une place importante dans la littérature de l'entre-deux-guerres. Il est aujourd'hui très injustement oublié. Voici l'occasion de découvrir un des "grands méconnus" de ce siècle. Modèle d'esprit critique, sans conformisme, sans sectarisme, sans dogmatisme, il est un représentant très original de la pensée libérale. Il est aussi, par l'acuité de son jugement et la limpidité du style, un grand moraliste français. Essayiste, historien, pamphlétaire, journaliste politique, écrivain d'art, mémorialiste, Berl a touché à beaucoup de genres. Il passe de Tamerlan à l'affaire Dreyfus, d'un cours de Bergson à une lecture de Simone Weil, de la sagesse de Goethe à l'amour chez Proust, de la Kabbale à la psychanalyse. Il lit, il regarde, il écoute, il réfléchit, il commente. A travers mille anecdotes, portraits, souvenirs ou citations, il s'interroge aussi sur l'oubli, le progrès, le langage, la culture, la réflexion, la mort. Il avait un goût extrême de l'amitié. Dans les hommages qu'il a rendus à tel ou tel de ses amis – Daniel Halévy, Martin du Gard, Camus et bien d'autres –, c'est lui que nous voyons comme dans un miroir. Dans ces textes, classés par thèmes mais si divers, on trouvera le meilleur de Berl. Car il n'est jamais plus frappant que quand il réagit à une lecture ou à un événement, passant de la réaction à la réflexion et s'élevant avec facilité à l'essentiel. Il faut lire les écrivains morts non pour les juger mais pour la nourriture qu'ils nous apportent. La lecture de Berl est l'une des plus enrichissantes qui soient. Elle nous permet de rencontrer l'un des esprits les plus complets, les plus intelligents, les plus justes de notre temps.
De Fallois, coll. « Litterature de fallois » 2007 In-8 broché 24,0 cm. 773 pages. Très bon état d’occasion.
Très bon état d’occasion
Julliard Julliard, 1985. Fort et grand In-8 broché de 773 pages. Très bon état.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.