Christian Bourgois Editeur 1977, in-8 broché, couverture illustrée à rabats, 405 p. (très bon exemplaire ; non réédité) Rare évocation de ce groupe de théâtre très révolutionnaire d'esprit, rassemblé autour de Raymond Bussières et de Jacques Prévert, baptisé Ocotobre en référence à la révolution de 1917.
Reference : 46727
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Premier Plan. Non daté. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Mouillures. 144 pages augmentées de nombreuses photos en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 928-Ecrivains
Sommaire : Jacques Prévert et le Groupe Octobre par Bernard Chardère - Une vie dans le cinéma par André Heinrich - Lumière d'été - Quai des Brumes - etc. Classification Dewey : 928-Ecrivains
Christian Bourgeois. 1977. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 402 pages - couverture contrepliée.. . . . Classification Dewey : 792-Théâtre
Classification Dewey : 792-Théâtre
Nevers Impr. de la Nièvre (maison Fortin) 1924 1 vol. broché in-8, broché, 25 pp., nombreuses reproductions en noir hors-texte. Feuillet de souscription au monument funéraire de Fernand Chalandre joint. Très bon état.
Imp.C.G.. 1943. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Agrafes rouillées, Papier jauni. 32 pages agrafées - quelques dessins en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Commissariat général des chantiers de la jeunesse section éducation - Sommaire : La patrie française - la fin de stage - pour conseiller les libérés - bilan médical du stage - rôle administratif du chef de groupe - un groupe incorporé - veillée d'accueil aux chantiers - connaissance du pays d'origine du jeune - les traditions dans le groupe - quand le chef de groupe se fait pionner - bureau du chef de groupe - réparation d'un pneu de vélo - les jeux poursuite surprise et hockey-main - le potager en octobre - composition du sac - meuble de bureau - le maire et la commune - ephémérides - transformation et châlits - le programme des cahiers. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Fayard, 1977, gr. in-8°, 428 pp, 8 pl. de fac-similés et photos hors texte, broché, couv. illustrée, ex-dono manuscrit, bon état
En juin 1940, Pierre Mendès France, lieutenant aviateur, s'embarque à Bordeaux sur le Massilia pour suivre son unité militaire repliée au Maroc et continuer la guerre contre l'envahisseur allemand. Arrêté par les autorités de Vichy, il est incarcéré à la prison militaire de Clermont-Ferrand et condamné à six ans de prison, après une procédure mouvementée. Il s'évade le 21 juin 1941 et, après dix mois de vie clandestine en France, il s'engage dans les Forces aériennes françaises libres et effectue de nombreuses missions de bombardement avec le Groupe Lorraine . Cet ouvrage est le récit écrit sur le vif, en 1942, de son "voyage affreux à travers la patrie défaite, humiliée et asservie". De ce voyage – écrit l'auteur – j'ai rapporté quelques photographies qui sont un témoignage authentique et émouvant sur le choc du printemps de 1940 – depuis la scène politique jusqu'aux prisons où on entasse les patriotes. C'est aussi le récit d'une évasion pittoresque, de la vie clandestine quotidienne dans “la faim et le froid” – du réveil du pays et des débuts de la Résistance. — "C'est en pleine guerre, en 1943, que M. Pierre Mendès-France publia à New-York son livre “Liberté, Liberté chérie”, où il raconte dans quelles conditions il fut arrêté par le gouvernement de Vichy, jugé, condamné, comment il put s'évader de la prison où il avait été enfermé, et comment il dut vivre clandestinement pendant plusieurs mois avant de rejoindre à Londres le gouvernement de la France Libre. En 1939, M. Mendès-France a trente-deux ans. Il est député. Il a déjà été Sous-Secrétaire d'État dans le ministère Blum. Il a été antimunichois. Il est lieutenant de réserve dans l'armée de l'Air (...) S'il donne des analyses fort pertinentes de l'opinion française en ce début d'occupation, M. Mendès-France ne peut parler qu'avec discrétion et sans précision de son activité propre, puisque son livre fut publié en 1943, et qu'il ne pouvait compromettre les « résistants » qu'il avait vus en France après son évasion de la prison de Clermont-Ferrand. En fait, il entra en rapports avec des patriotes, put (grâce à des contrebandiers « désintéressés ») passer clandestinement de Thonon en Suisse, y prendre contact avec les consuls anglais et américains (les seconds plus favorables que les premiers), ainsi qu'avec quelques Français qui s'y étaient réfugiés (Marius Moutet, par exemple). Il traversa plusieurs fois le lac, effectua plusieurs missions de liaison, monta lui-même un réseau qui se révéla fort utile par la suite, prit des contacts avec des fonctionnaires civils et militaires et quitta, enfin, la France, en février 1942, en se mêlant (muni de vrais visas polonais obtenus en Suisse) à un groupe de Polonais qui traversaient les Pyrénées. De là, il atteignit Lisbonne, puis Londres, où il s'engagea dans les F.F.L. Versé dans le groupe Lorraine, il participa à plusieurs raids de bombardement avant de devenir, à la demande du général de Gaulle, « commissaire aux Finances » du Gouvernement provisoire d'Alger (novembre 1943). (...) Le texte de M. Mendès-France sur “Roissy en France, l'attaque de Chevilly-Larue par le groupe Lorraine, le 3 octobre 1943” est intéressant non seulement pour les précisions qu'il apporte sur le raid de Chevilly-Larue, mais aussi pour l'analyse des sentiments des aviateurs qui y participèrent. Son livre, “Liberté, Liberté chérie...”, est important pour tout ce qu'il nous apprend sur les événements de Bordeaux, sur l'affaire du Massilia, sur les intrigues marocaines au cours de l'été 1940, sur l'acharnement avec lequel Vichy a poursuivi, à cette époque, et Mandel et Mendès-France et tous les hommes qui représentaient les idées démocratiques et, enfin, sur l'état de l'opinion publique entre 1940 et 1942." (Marie Granet, Revue d'histoire de la Deuxième Guerre mondiale, 1958)