A. Quantin 1882, petit in-32 (14,5 x 9,5 cm) broché, 111 p. (très bon exemplaire non coupé) Ravissant petit recueil de poésies traduites par M. de La Roche-Aymon, sur beau papier et enrichi de vignettes en couleurs.
Reference : 35342
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Quantin A. Broché 1882 In-12 (9.5x14.5 cm), broché, 111 pages, traduction en vers de M. de La Roche-Aymon, illustrations de P. Avril, culs-de-lampe ; pliures au dos jauni, coiffes frottées, une pliure au 4e plat, plats un peu salis, quelques rousseurs à l'intérieur, bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
QUANTIN A.. 1882. In-18. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 109 pages. Quelques gravures en noir et blanc, dans le texte. Ornements verts en marges.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Illustrations de P. Avril. Classification Dewey : 841-Poésie
A. Quantin, Imprimeur-Editeur - Collection "Petits Chefs-d'Œuvre Antiques" Paris 1882 In-16 ( 145 X 100 mm ) de 111 pages, plein chagrin poli vert sapin, dos à nerfs janséniste avec date dorée en queue, tête dorée, triple filet doré d'encadrement sur les plats, coupes et coiffes filetées d'or, dentelle intérieure dorée. ( Reliure de l'époque ). Texte encadré d'un joli motif "à l'antique". Charmantes gravures dans le texte de Paul AVRIL. Très bel exemplaire, très pur dans une reliure non signée mais d'exécution parfaite.
Précieux et superbe exemplaire relié en maroquin citron de l’époque aux armes et pièces d’armes de Jeanne-Baptiste d’Albert de Luynes, comtesse de Verrue (1670-1736). Paris, Pierre Emery, 1684. Avec Privilege du Roy.In-12 de (1) f.bl., (14) ff., 390 pp., (1) f. d‘errata, (1) f.bl. Plein maroquin citron de l’époque, triple filet doré encadrant les plats, armoiries et mention « Meudon » au centre des plats, dos à nerfs orné de pièces d’armes, pièce de titre en maroquin rouge, coupes décorées, roulette intérieure dorée, tranches dorées sur marbrure. Reliure de l’époque.158 x 90 mm.
Première édition des Poésies d’Anacréon traduite en français par Longepierre, le célèbre bibliophile du règne de Louis XIV qui avait adopté l’insigne de la toison d’or comme emblème héraldique.Brunet, I, 254 ; Barbier, III, 924.Anacréon, poète grec du VIe siècle avant Jésus Christ, s’est immortalisé par ses poésies. Avec une simplicité extrême et une grâce enjouée, Anacréon y chante non la passion, à la manière de ses devanciers, les poètes de Lesbos, mais les jeux de l’amour, les caprices du désir, les plaisirs qui passent. Cette douceur exquise, cet abandon aux plaisirs tels qu’ils se présentent font d’Anacréon le plus ionien des poètes grecs. Son génie aisé lui valut un très grand nombre d’imitateurs.« Anacréon connut une longue gloire posthume ; à Rome, Horace et Catulle connaissaient par cœur ses œuvres et les imitaient. Tous ces poèmes furent repris par Henri Estienne lorsque celui-ci publia, en 1554, les poèmes anacréontiques qui soulevèrent l’enthousiasme de la Pléiade. Rémi Belleau en fit paraître, en 1556, une jolie traduction en vers français, la première qui ait été faite. »Jacques Brosse.« Longepierre, né à Dijon en 1659, eut de bonne heure pour l’étude une passion très-vive, que son père se plut à seconder ; ce fut lui, dit-on, qui l’engagea à traduire en vers français quelques-uns de ces poètes grecs qu’il s’était rendus familiers. Très-jeune encore, il publia des traductions d’Anacréon, de Sapho, de Théocrite, de Bion et de Moschus : les notes dont ces traductions sont accompagnées prouvent que Longepierre comprenait et sentait assez bien ces auteurs ». Michaud.Précieux et superbe exemplaire relié en maroquin citron de l’époque aux armes et pièces d’armes de Jeanne-Baptiste d’Albert de Luynes, comtesse de Verrue (1670-1736), provenant de la bibliothèque de sa maison de campagne à Meudon.« La comtesse de Verrue aimait passionnément les lettres et les arts : tableaux, sculptures, estampes, dessins, meubles, porcelaines, elle collectionnait tout ce qui était beau ; sa bibliothèque, qui contenait en majorité des romans et des pièces de théâtre, comptait 18 000 volumes de choix, reliés pour la plupart par les meilleurs artistes de l’époque. Au-dessus de ses armes, elle faisait souvent frapper une mention : « Paris », « Meudon » (où elle possédait une maison de campagne) ou « St Port » (actuellement Seine-Port, près de Melun). Presque tous ses volumes portaient aussi sur le dos et aux angles des plats les pièces de ses armes alternées. »Olivier, pl. 799.Provenance : des bibliothèques de la Comtesse de Verrue (armoiries) et Edouard Moura (ex-libris gravé).
1716 reliure hollandaise, dorure passée. in-12, 3 gravures, XIV-300pp., (2ff.), et XXIV-104pp. (1f.), Amsterdam Vve Paul Marret 1716,
Hennebert : Hist. des trad. fr. d'ouvrages grecs et latins. "Convaincu des difficultés presque invicibles que rencontre la traduction fidèle dans les exigences de la rime et de la mesure, elle proclamait cet axiome téméraire pour le fonds, paradoxal pour la forme - les poètes traduits en vers cessent d'être poëtes-". La traduction en vers de La Fosse en est la parfaite illustration !Texte grec en regard.
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