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Geoffroy, E.-L.
Hygieine sive ars sanitatem conservandi. Poema./ L'hygieine ou l'art de conserver la santé. Poëme latin.
Parisiis Petrum-Guillermum Cavalier 1771XI-191 pages.+ Paris Pierre-Guillaume Cavelier 1774, XLVII-269 pages. Deux ouvrages reliés en 1 volume in-8, basane marbré époque, dos à nerfs orné, tranches rouge. Quelques petits frottements sur les plats mais bel exemplaire. 600gr.
Reference : DZN-1060
Editions originales du traité versifié néo-latin du médecin et naturaliste français E.-L. Geoffroy et de sa traduction en prose par le médecin et poête Antoine de Launay. L'ouvrage traite de l'air, des aliments, de la boisson (vin, café, thé, chocolat), du mouvement, du sommeil, des affections de l'âme...
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[ Pierre Guillaume Cavelier] - GEOFFROY, Stephanus Ludovicus ; [ GEOFFROY, Etienne Louis ] ; (LAUNAY, M. de)
Reference : 66752
(1771)
Hygieine sive Ars Sanitatem conservandi. Poema [ Edition originale ] [ Suivi de : ] L'Hygieine ; ou L'Art de Conserver la Santé. Poëme Latin de M. Geoffroy, Ecuyer, Docteur Régent de la Faculté de Médecine en l'Université de Paris, &c. Traduit en François par M. de Launay
Apud Petrum-Guillelmum Cavelier [ Pierre Guillaume Cavelier ], Paris, 1771 et 1774, xi-191 pp. ; XLVII-269 pp.
Etienne-Louis Geoffroy (1725-1810), naturaliste et médecin fort distingué, professeur de la faculté de médecine de Paris, fut reçu docteur en 1748. Il suivit longtemps encore les hôpitaux et la pratique de Bourdelin avant de se livrer à l'exercice de l'art. Il faisait diversion à ses travaux scientifiques en sacrifiant non aux plaisirs, mais aux muses, et renferma les préceptes de l'hygiène dans des vers d'une latinité pure et élégante. On raconte que c'est dans sa voiture, dans les moments où il ne pouvait plus lire, que Geoffroy composa cet ouvrage, auquel on donne un rang honorable parmi les poëmes modernes. L'ouvrage traite notamment des aliments et des boissons dont le vin, le café, le thé ou le chocolat. L'édition originale latine est ici suivi de sa traduction par le médecin Antoine de Launay. Etat très satisfaisant (remontage maladroit de la première garde volante et des 2 premiers feuillet, coiffe sup. arasée, petit travail de vers en marge en queue aux 10 derniers feuillets, bon état par ailleurs). Dezeimeris, II, 522 ; Vicaire, 399
