Traduzione di V. Monti. dal Genio Tipografico, Milano, 1803. In-8 p. (mm. 210x140), cartoncino rustico coevo, pp. 118,(2). Testo latino a fronte. Precedute dalla dedica Al cittadino Francesco Melzi d'Eril Vice-Presidente della Repubblica Italiana e dalla prefazione del traduttore, le 6 "Satire" del poeta latino (34-62 d.C.) sono commentate da lunghe note (pp. 83-118). "Edizione originale" di questa ottima traduzione.Cfr. Gamba,2646: Prima edizione di un volgarizzamento in terza rima, poi da Vincenzo Monti riveduto e migliorato - Parenti, 353. Esempl. su carta distinta, ben conservato.
Reference : 65275
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Didier 1969 Didier, Coll. des Etudes Anglaises, 1969, 541 p., broché, avec un envoi de l'auteur, couverture un peu salie, bon état et intérieur très propre.
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16 fascicules réunis en un seul volume, demi-chagrin bleu foncé, de 1859 à 1867. Le fasc. intitulé "Mes soixante-dix ans" n'est pas relié à l'ensemble et est un manuscrit de Saint-Olive. Dos insolé, des frottements d'usage sur la couverture, des rousseurs sur certaines pages, ensemble en bon état.
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Genève, Droz, 1966, pt in-4°, 231 pp, biblio, reliure pleine toile écrue de l'éditeur (lég. salie), bon état (Travaux d'humanisme et de renaissance, LXXXIII)
Introduction — Première partie : Moyen Age : 1. Bourgeois et bourgeoisie au Moyen Age – 2. Satire professionnelle (marchands, usuriers, métiers, légistes) – 3. Satire politique et sociale (caractères généraux, satire d'origine noble et ecclésiastique, satire d'origine bourgeoise, satire d'origine populaire) – 4. Satire morale (tendances générales, les défauts bourgeois, les types bourgeois) – 5. Sources. — Deuxième partie : XVIe siècle : 1. Tendances générales – 2. Evolution des thèmes médiévaux (satire professionnelle, satire politique et sociale, satire morale) – 3. Thèmes nouveaux (la satire des financiers, la satire des offices). – 4. Sources.
Collectif - Baour-Lormian - (Chateaubriand) - G. Sauty - Alexis Lagarde - Ed. Corbiere - Coudurier - A. Senty - TH. Villenave - Delphine Gay - Andre Mejanel
Reference : 33228
Sous une couverture de papier fin d'epoque les plaquettes et livrets sont de divers editeurs, les dates sont entre 1816 et 1828, voir la notice qui suit, toutes au format 13x22 cm. Bon etat.
"Le classique et le romantique, premiere satire" par P.M.L. Baour-Lormian en 45 pages, 1825 / "Encore un mot, seconde satire" par P.M.L. Baour-Lormian en 31 pages, 1826 / "Epitre au Roi" par Baour-Lormian en 14 pages, 1816 / "Les classiques venges" anonyme, 15 pages, 1825 / "Le petit-neveu du Pere Aubry au paysan de la Vallee-aux-Loups" anonyme, 18 pages, 1825 / "Satire premiere" ? il manque la page de titre, 30 pages / "Satire 1824" par G. Sauty, 8 pages, 1824 / "Les coteries, Satires"par Alexis Lagarde, 20pages, 1825 / "L'art de parvenir" par M. Coudurier, 32 pages, 1824 / "Corbiere a Corbiere, epitre a son Excellence le comte de Corbiere" par Ed. Corbiere, 8 pages, 1827 / "La victoire des trois-cents" par A. Senty, 24 pages, 1827 / "Aux grecs et a Lord Cochrane" par Th. Villenave, 16 pages, 1826 / "Le retour, epitre" par Mlle Delphine Gay, 29 pages, 1828 / "Epitre a M. Casimir Delavigne" par Andre Mejanel, 8 pages, 1824 / "Chants francais" anonyme, il manque la page de titre, 48 pages / "Epitre a Contrafatto", 15 pages, 1827 / "Epitre a M. Vidocq de Saint-Jules, sur sa disgrace" par un mouchard, 24 pages, 1827.
Reference : LCS-18407
Précieux exemplaire conservé dans son vélin de l’époque provenant de l’illustre bibliothèque Guy Pellion. Paris, Claude Barbin 1667. -[Suivi de] : Satires du Sieur D. Quatriesme édition. Paris, Billaine, Thierry, Léonard, Barbin, 1668. Ensemble deux ouvrages reliés en 1 volume in-12 de: I/ (6) ff. titre compris, 71 pp.; II/ (1) f. de titre, 14 pp., (1) f. d’extrait du privilège, (2) ff. bl. Qq. ff. brunis. Plein vélin de l’époque, dos lisse avec le titre manuscrit en tête. Reliure de l’époque. 140 x 84 mm.
Très rare «édition originale de la Satire VIII petit format» de Boileau, parue simultanément avec l’in-4. Tchemerzine, i, 736. En-tête du volume fut reliée à l’époque la seconde édition des Satires I à VII, «plus rare que l’originale, avec les mêmes pièces et les mêmes caractères, «le Discours au Roy » est placé au commencement tel qu'il le sera dans les éditions ultérieures. L'avis au lecteur est considérablement augmenté. » Tchemerzine, I, 734. D’après Le Petit, l’édition originale de la Satire VIII se trouve souvent reliée à la suite de la 2e édition des satires. «Par les dates, 1636-1711, Boileau-Despréaux est bien l’homme du Grand siècle. Mais, dès 1660, il se découvre satirique. Peindre les embarras de Paris, railler des provinciaux ridicules, donner des coups de griffes à Chapelain, à Quinault, ne lui suffisent bientôt plus; et le voilà qui s'attaque aux financiers prévaricateurs, à l'indécence de certaines « preuves » judiciaires, aux mœurs fâcheuses importées d'Italie... Ce fut un beau tapage : injures, menaces, dénonciations calomnieuses tombaient sur ce « jeune fou » dont quelques-uns faisaient un criminel d'État. Comme il est naturel, les mauvais poètes furent les plus ardents aux représailles, ayant été plus vivement étrillés que personne. Ces colères divertirent l'agresseur, ces menaces lui firent lever les épaules, ces injures le firent se redresser. Fier de son désintéressement et de son indépendance, sûr de son droit, il se plaça, lui et son œuvre, sous l'égide d'un roi qui acceptait qu'un hommage ne fût pas une flagornerie, qui se félicitait qu'une louange n'aboutît pas nécessairement à une sollicitation. (Discours au Roi, 1665.) Deux ans plus tard, dans cette Satire qui est un chef-d’œuvre d'esprit allègre, ingénieux, vigoureux aussi et digne, il établissait solidement la légitimité de la Satire littéraire et le caractère d'utilité publique de son entreprise. En dénonçant de faux mérites, en démolissant des réputations usurpées, il sauvait le goût français et dégageait la place où les vrais poètes édifieraient leurs chefs-d'œuvre.» «Les satires, parce qu'elles reposent sur l'observation de la vie et des mœurs de la bourgeoisie du temps, ne manquent pas de vie, ni de justesse. Sans doute, Boileau peut être un réaliste fort spirituel dans «Le Repas ridicule » (Satire III) et dans «Les embarras de Paris (Satire VI). Mais c'est dans les satires (II, VII) qu'il nous apparaît dans son véritable rôle ; c'est par elles que nous pouvons saisir comment il a pu assainir le monde littéraire de son temps. Les traits contre les mauvais poètes ne manquent pas et Boileau revient avec acharnement sur les noms détestés de Chapelain, de Coras, de Pradon, de Scudéry, de Cotin, il les attaque de front : il les couvre de ridicule, le plus souvent en leur faisant des louanges si énormes qu'elles provoquent irrésistiblement le rire. Il ne faut pas oublier qu'à l'époque les mêmes gens qui applaudissaient à Corneille ou aux Provinciales étaient loin de demeurer insensibles aux fades madrigaux des précieux, aux interminables romans de Mlle de Scudéry, aux poèmes épiques des Chapelain et consorts. Ces plats auteurs non seulement avaient leur public, mais ils étaient appuyés par les libraires, les grands seigneurs, l'Académie et il y avait quelque courage à s'attaquer à eux. » « Fort heureusement pour Boileau et les écrivains dont il se faisait le thuriféraire, ils trouvèrent un protecteur, et quel protecteur, dans la personne de Louis XIV. C'est le roi qui fit de Boileau et de Racine ses historiographes. » Précieux exemplaire de premier tirage, avant les cartons des vers 5 et 6 page61, conservé dans sa première reliure en vélin de l’époque; provenant de l’illustre bibliothèque littéraire Guy Pellion avec ex-libris gravé. La garde du volume porte cette note calligraphiée au XIXe siècle à l’encre brune: «Seconde édition originale des sept premières satyres, bien plus rare que la première. La seconde partie de cet exemplaire renferme l’édition originale de la satyre viii».