Deterville, Paris, 1827-1832. In-8 p. (mm. 205x130), 2 parti in 5 tomi, mz. pelle coeva, fregi e titolo oro al dorso. Premire partie (2 volumi): Organographie vgtale ou description raisonne des organes des plantes, pp. XX,558; (4),304, con 60 tavv. inc. su rame (alc. ripieg.) e f.t., che rappresentano le principali forme e anomalie dei vegetali.Deuxime partie (3 volumi): Physiologie vgtale ou exposition des forces et des fonctions vitales des vgtaux, pp. XXXII,462; (4),1056 e (4),1579 (numeraz. continua); con 7 tabelle pi volte ripiegate. "Prima edizione".Cfr. Pritzel, 1501 e 1502 - Nissen,326 - Brunet,I,1538.Lo svizzero Augustin-Pyramus de Candolle (1778-1841), esercit influenza notevole sullo sviluppo degli studi botanici, di cui Ginevra divenne il centro per parecchi anni.Solo qualche lieve ingiallitura, altrimenti esempl. ben conservato.
Reference : 57597
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La Phytotomie, l'Organographie, la Physiologie, la Géographie, la Pathologie et la Taxonomie des Plantes. Paris, Asselin, en 1863. In-8 de 570 pages avec la "Note sur l'Anatomie et la Physiologie d'Un Cone de Pin "-16 pages-. Nombreuse figures I-T. Reliure en demi-chagrin d'époque. Bon état.
Louvain (Belgique), Manuscrit, pièce unique, 1866. 19x23cm. Reliure de lépoque en demi-veau havane, dos à 4 nerfs guillochés, pièce de titre en basane fauve, plats de papier marbré. 507 pages paginées. Manuscrit totalement inédit, qui ne semble pas avoir fait lobjet dune publication. In fine, sont inscrits un lieu et une date : Louvain, le 3 juillet 1866 (le dernier chiffre est cependant raturé). Le cahier compte 507 pages paginées, abondamment illustrées de schémas et croquis marginaux. Quelques ajouts et annotations (sans doute postérieurs) au crayon, également en marge. Le nom de lauteur, « Martens », figure sur la pièce de titre. Natif de Maastricht en 1797, étudiant brillant de luniversité de Liège, Martin Martens excelle à la fois en médecine et en sciences (physique et mathématiques) : il obtient un doctorat dans chaque discipline en 1821 et remporte les concours organisés par les deux facultés, qui publient ses travaux. Cest à Paris quil complète ensuite sa formation, aux côtés des savants les plus prestigieux du temps, tels que Dupuytren, Lamarck, Laennec, Broussais, Gay-Lussac Puis sa carrière se partage entre la pratique de la médecine et les recherches scientifiques, domaines dans lesquels il glane de nombreuses récompenses. Professeur de pharmacologie et de chimie pharmaceutique dans sa ville natale en 1825, il occupe la chaire de chimie et de botanique à lUniversité catholique de Louvain dix ans plus tard. Membre de lAcadémie royale des Sciences et Belles-Lettres de Bruxelles en 1835, il siège également à lAcadémie de Médecine dès la création de celle-ci, en 1841, et participe à la rédaction de la pharmacopée belge. Cette intense activité scientifique, jalonnée de succès, ne lempêche nullement dentretenir une véritable passion pour la botanique : de la confection dun herbier reconnu comme lun des plus remarquables de Belgique à la direction du Jardin botanique de Louvain (de 1837 à 1848), en passant par le cours gratuit quil ouvrit à Maastricht et plusieurs mémoires distingués, Martin Mertens neut de cesse denseigner et de faire progresser ce domaine. Affaibli par la maladie, il meurt littéralement à la tâche le 8 février 1863. En labsence de toute trace dédition de ce cours, malgré nos recherches, lon se bornera à formuler deux hypothèses à partir de la date indiquée à la fin du manuscrit, posthume : il peut sagir des notes par un élève du cours publics ou un étudiant de lUniversité, retranscrites de manière détaillée après le décès du professeur. Le caractère soigné et méticuleux de lécriture ainsi que labondance des illustrations incitent par ailleurs à penser que ce travail a pu être copié, puis mis en forme dans la perspective dune édition. Copieux et précieux témoignage de la qualité de lenseignement prodigué par lun des principaux scientifiques belges du XIXe siècle.
Reliure usée avec petits manques, mors du second plat fendillé en queue (mais plat solidement attaché), sinon bel état de conservation. Clients Livre Rare Book : Les frais postaux indiqués sont ceux pour la France métropolitaine et la Corse, pour les autres destinations, merci de contacter la librairie pour connaître le montant des frais d'expédition, merci de votre compréhension. Livre Rare Book Customers : The shipping fees indicated are only for France, if you want international shipping please contact us before placing your order, thank you for your understanding.
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Belin 1962 1962. L. Plantefol: Cours de botanique et de biologie végétale Tome II/ Belin 1962 Référence: LMA16G. L. Plantefol: Cours de botanique et de biologie végétale Tome II/ Belin 1962
Très bon état
CENTRE DE DOCUMENTATION UNIVERSITAIRE. 1936. In-4. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 158 pages dactylographiées + 46 planches en feuillets en noir et blanc - signature de l'auteur confirmant le privilège de l'auteur dans le première ouvrage - annotation au stylo sur le 1er plat des deux ouvrage - 2 ouvrages livres + atlas planches sous emboitage cartonné rigide conservé (annotation sur le 1er plat ) - 3 photos disponibles.. . Sous Emboitage. . Classification Dewey : 580-Botanique
Classification Dewey : 580-Botanique
Paris: Chez Méquignon l'Aîné, 1810 2 volumes in-8. cxvii-[2]-528 p.; [4]-445 p. Demi maroquin rouge, dos lisse richement orné, quelques petites usures, encadrements sur les plats, coin inférieur du 2ème plat du deuxième volume cassé sur 2 cm env., tranches dorées. Rousseurs.
Cours de botanique médicale comparée ou exposé des substances végétales exotiques comparées aux plantes indigènes, Contenant la description des Plantes, tant exotiques qu'indigènes, d'après les classifications de Tournefort, Linné et Jussieu, leurs propriétés respectives, les produits chimiques qu'on peut en tirer, leurs préparations pharmaceutiques, et leur emploi dans les diverses maladies. Ouvrage utile et nécessaire aux Botanistes, aux Chimistes, aux Pharmaciens et aux Médecins, et dans lequel on démontre qu'il est possible d'exercer la Médecine sans le secours de la plus grande partie des productions étrangères. (Paris: Chez Méquignon l'Aîné, 1810). [M.C.: botanique, médecine]